Bastos, candidat emblématique de téléréalité, affirme qu’il y avait de la drogue sur le tournage des "Apprentis Champions" - La production réagit et annonce porter plainte après "ces déclarations indignes" - VIDEO

Lundi dernier, sur le plateau de "Touche pas à mon poste", Bastos, candidat de télé-réalité, a fait des révélations sur le tournage de plusieurs émissions. "J’ai participé au tournage des Apprentis Champions que j’ai fini par quitter. L’une des raisons était la présence de drogues. Je sais quelle personne a ramené de la drogue sur les tournages", a affirmé le jeune homme.

Et d'ajouter : "Quand il n’y a plus de drogue sur le tournage, il y a des gens qui demandent à la production d’aller en chercher en ville, en échange d’un peu de consommation. Deux personnes ont dit non. Mais bizarrement, à un moment, le tournage a été réapprovisionné, j'ai été témoin de ça".

"J'ai entendu des bruits comme quoi sur le tournage des Cinquante - je n'étais pas présent - il y a eu des débordements dus à de la drogue", a indiqué Bastos en précisant que le tournage "était inondé de cocaïne". "Je ne dis pas que toutes les productions laissent faire. J’ai fait Love Island il y a un ou deux ans, et là ma valise a été fouillée de fond en comble. Moi, mon truc, c’est pas les drogues".

Face aux propos de Bastos, la production Banijay France a réagi auprès de TVMag. "Depuis 48 heures, Monsieur Bastien Grimal alias « Bastos » multiplie les déclarations diffamatoires à l'encontre de Bprod et de ses équipes. Affirmer que la production fermerait les yeux sur la prise de stupéfiants par des candidats sur ses tournages et, plus grave encore, qu'elle s'en rendrait complice est faux et mensonge", explique-t-elle.

Et d'ajouter : "Si de tels comportements étaient établis, ils conduiraient à des sanctions immédiates. Ces déclarations sont d'autant plus indignes qu'elles jettent le discrédit sur l'ensemble de nos équipes sur un sujet suffisamment grave pour qu'aucun dérapage ne soit toléré".

Banijay France a décidé de déposer "une plainte pénale en diffamation publique auprès du Doyen des juges d'instruction du tribunal judiciaire de Paris afin que Monsieur Bastien Grimal soit poursuivi et réponde de ses propos devant la justice".