
Ce matin, Nabila Belaidouni, avocate pénaliste, était l'invitée de Jean-Marc Morandini dans "Morandini Live" sur CNews. L'avocate, d'origine algérienne, a poussé un coup de gueule contre les enfants d'immigrés qui se plaignent de la France.
"Je ne nie pas qu'il y a des difficultés dans les cités, mais je dis tout de même que la France, avec de la volonté et le goût de l'effort, donne la chance de réussir", a-t-elle déclaré.
Et d'ajouter : "Je ne suis pas issue des cités, je n'ai pas grandi dans le 16e arrondissement de Paris. On a grandi dans l'Est parisien. Ma mère est arrivée d'Algérie en 1969. J'ai deux grands frères. Un est devenu avocat. Au préalable, il est parvenu à intégrer une université réputée et est devenu expert-comptable. Dire que l'on peut pas y arriver, c'est faux".
Pour Nabila Belaidouni, "la France donne plus de chances que nos pays d'origine". "Nos parents sont quand même venus en France pour nous offrir un avenir peut-être plus facile que nos pays d'origine. Il faut avoir le goût de l'effort", a-t-elle poursuivi dans cet extrait que Jeanmarcmorandini.com vous propose de (re)découvrir (voir vidéo ci-dessus).
Vos réactions
Ils ne savent pas la chance qu'ils ont
Bravo Mme Nabila Belaidouni de démontrer que même issue de l'immigration on peut réussir ; comme quoi être critique vis à vis du comportement de certains issus ne l'immigration même Xième génération qui ne veulent pas faire un effort pour s'insérer n'est pas du racisme ou du fascisme comme certains contradicteurs ici le soulignent.
Merci à Mme Nabila Belaidouni de dire la vérité. Ce laisser-aller social et cette posture de victime permanente chez certains jeunes issus de l'immigration est trop facile. Pour arriver à quelque chose dans la vie, il faut faire des efforts et ne pas toujours cracher sur la société française. La haine de l'autre ne conduit à rien de positif, sauf au dégout de soi-même.
Bien évidemment que c'est du cinéma, ils chouinent pour un rien ici.
Au bled les policiers donnent des coups de bâton rien que pour un mauvais regard, mais c'est ici qu'il y aurait des violences systémiques ahah
En Algérie et en Tunisie, les clandestins subsahariens sont expulsés par centaines chaque semaine. Le président tunisien s'offusque en public de l'invasion migratoire, du grand remplacement et du risque de changement culturel. Mais c'est ici qu'on serait des racistes nazis.
En Turquie, le voile est interdit dans les universités publiques. En Arabie Saoudite, l'abaya est interdite pour passer des examens scolaires. Mais c'est ici qu'on serait islamophobe.
Ils ne font que chouiner les pov' petits anges !
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