
Ce mardi après-midi, le ton est rapidement monté à l'Assemblée Nationale lorsque Elisabeth Borne a pris la parole.
La première ministre a notamment évoqué les femmes qui seraient "les grandes perdantes" de la réforme. "Je ne peux pas laisser dire que notre projet ne protégerait pas les femmes, au contraire", a-t-elle martelé.
Et d'ajouter: "Les femmes seront les premières bénéficiaires de la revalorisation des petites pensions."
C'est alors que dans l'hémicycle, l'ambiance s'est rapidement tendue, laissant place à une véritable pagaille, obligeant d'ailleurs Yaël Braun-Pivet, la présidente de l'Assemblée nationale, à intervenir.
Vos réactions
Hé bien oui, pagaille, comme d'hab. Comment pourrait-il en être autrement, avec un gouvernement qui se fout pas mal de l'opinion des élus des autres camps, dont les représentants de macron se montrent souvent hautains et méprisants, et que lorsqu'ils pensent qu'ils ne sauront pas faire ce qu'ils veulent, ils sortent leur 49.3 pour passer en force des lois dont personne ne veut. Alors oui, pagaille, foutoir, foutage de gueules, on peut appeler ça comme on veut, mais c'est quand même un peu de leur faute.
Et ce n'est pas la bonhommie (mme "mes chers collègues, mes chers collègues", le manque de charisme et d'autorité de la présidente braun-pivet qui est de nature à ramener le calme dans cette assemblée d'enfants gâtés.
Démission !!!
ils ont été élus grâce au rejet des RN , et ils ont oublié qu'ils sont minoritaires à l'assemblée nationale , mais malheureusement rien ne les bloque, espérons que les français vont rester mobilisés........
elle est menteuse cette Borne.
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