Au moins 15.000 décès en Europe sont directement liés aux graves vagues de chaleurs ayant affecté le continent durant l’été 2022, selon une estimation encore incomplète publiée lundi par l’OMS à l’occasion de la COP27 sur le climat. L’été 2022 a été le plus chaud enregistré sur le Vieux continent, provoquant de nombreux records de températures et de dramatiques incendies.
« Sur la base des données nationales déjà publiées, il est estimé que 15.000 personnes sont mortes spécifiquement à cause de la chaleur en 2022 », indique la directeur de la branche européenne de l’OMS, Hans Kluge, dans un communiqué. Ce bilan, qui inclut 4.500 morts en Allemagne, près de 4.000 en Espagne, plus de 3.200 au Royaume Uni et un millier au Portugal, « devrait augmenter, plusieurs pays ayant rapporté des surmortalités liées à la chaleur », précise-t-il.
L’OMS souligne ainsi que l’Institut français de la statistique, l’Insee, a enregistré une surmortalité de 11.000 personnes durant l’été 2022 par rapport à l’été 2019 précédant la pandémie de Covid, « probablement » expliquée par les très fortes chaleurs enregistrées en juin et juillet notamment.
Selon les données de l’OMS, les températures extrêmes sont responsables de 148.000 décès en Europe depuis 50 ans. Avec 15.000 morts et sans doute plus en une seule année, 2022 représenterait à elle seule plus de 10% de ce total.
Vos réactions
Graves vague de chaleur ? N'importe quoi !
climato-realistes.fr/ À propos des vagues de chaleur de juin et juillet 2022
Mais on nous parle de 15 000 mort à cause d'une période exceptionnelle, mais pas inhabituelle, d'irruptions de Râ...
Deux possibilités :
La première: vous avez vous-même obtenus des résultats qui étayent l’hypothèse que les climatologues se sont trompés. La hausse de la moyenne de la température depuis la révolution industrielle ne serait pas la conséquence d'une augmentation de la concentration en gaz à effet de serre dans l'atmosphère mais d'irruptions solaires. Dans ce cas je vous conseille vivement d'écrire dès que possible un article dans une parution scientifique, vu l'immense enjeu qu'implique la réduction des émissions de carbone, si votre article est validé par les pairs, ça serait une révolution extraordinaire et vous êtes assuré d'être couronné du prix nobel (environ 900 000 euros à la clé) et vous serez à coup sûr embauché dans les meilleurs labos du monde avec un salaire à 7 chiffres.
La deuxième : vous avez lu ou entendu une théorie jamais validé par les pairs prononcée par un incompétent comme on en voit à la dizaine tous les jours sur les chaînes info et vous la répétez ici.
La hausse moyenne des températures est fortement exagérée par les bidouillages des mesures qui abaissent systématiquement les températures du passé pour arriver à une courbe continuellement croissante.
pgibertie.com
LES TEMPERATURES OBSERVEES PAR SATELLITE SONT COMPLOTISTES: il n’y a pas d’accelération du « réchauffement climatique » depuis 25 ans , les reconstructions des températures du passé par le Giec sont des créations mathématiques contestées
realclimatescience.com/2021/05/altering-data-to-match-theory/
La théorie radiative de l'effet de serre du CO2 est connue comme étant fausse et contraire à des principes fondamentaux de la physique depuis la fin du 19ième siècle. Les prévisions faites en son nom depuis plus de 35 ans ne se sont pas vérifiées. Les variations climatiques relativement faibles observées sont tout à fait naturelles.
Ecrire dans une parution scientifique ? Impossible, ceux qui ne sont pas d'accord avec la théorie imposée par le GIEC sont censurés, et même virés comme le météorologue Philippe Verdier viré de France télévision, juste pour avoir émis l'hypothèse dans un bouquin privé que le réchauffement pouvait avoir des avantages !
Climat, chaleur, CO², etc.. Nouvel alibi pour faire oublier le reste.
Selon les données de la Commission européenne modélisées par le Telegraph, on pourrait passer de 25.000 morts de bactéries multi-résistantes (INFECTIONS NOSOCOMIALES ) en Europe en 2014 à 392.000 en 2050. Au niveau mondial, la projection passerait de 700.000 à 10 millions de morts.
Mais on nous parle de 15 000 mort à cause d'une période exceptionnelle, mais pas inhabituelle, d'irruptions de Râ... (je sais, le GIEC ne parle jamais de l'activité du soleil, et pour causes... ca risquerait de mettre ses "experts" en porte à faux)
Mais on nous parle de 15 000 mort à cause d'une période exceptionnelle, mais pas inhabituelle, d'irruptions de Râ...
Deux possibilités :
La première: vous avez vous-même obtenus des résultats qui étayent l’hypothèse que les climatologues se sont trompés. La hausse de la moyenne de la température depuis la révolution industrielle ne serait pas la conséquence d'une augmentation de la concentration en gaz à effet de serre dans l'atmosphère mais d'irruptions solaires. Dans ce cas je vous conseille vivement d'écrire dès que possible un article dans une parution scientifique, vu l'immense enjeu qu'implique la réduction des émissions de carbone, si votre article est validé par les pairs, ça serait une révolution extraordinaire et vous êtes assuré d'être couronné du prix nobel (environ 900 000 euros à la clé) et vous serez à coup sûr embauché dans les meilleurs labos du monde avec un salaire à 7 chiffres.
La deuxième : vous avez lu ou entendu une théorie jamais validé par les pairs prononcée par un incompétent comme on en voit à la dizaine tous les jours sur les chaînes info et vous la répétez ici.
Climat, chaleur, CO², etc.. Nouvel alibi pour faire oublier le reste.
Selon les données de la Commission européenne modélisées par le Telegraph, on pourrait passer de 25.000 morts de bactéries multi-résistantes (INFECTIONS NOSOCOMIALES ) en Europe en 2014 à 392.000 en 2050. Au niveau mondial, la projection passerait de 700.000 à 10 millions de morts.
Mais on nous parle de 15 000 mort à cause d'une période exceptionnelle, mais pas inhabituelle, d'irruptions de Râ... (je sais, le GIEC ne parle jamais de l'activité du soleil, et pour causes... ca risquerait de mettre ses "experts" en porte à faux)
Encore une fois, les cycles du soleil n'y sont pour rien dans ce réchauffement climatique, ils se datent tous à plusieurs milliers d'années dans leur fréquence.
Et là, on se tape un mois d'octobre anormalement chaud même dans les régions peu ensoleillées.
Et vous arrivez encore à nous dire que l'on y est pour rien.
Climat, chaleur, CO², etc.. Nouvel alibi pour faire oublier le reste.
Selon les données de la Commission européenne modélisées par le Telegraph, on pourrait passer de 25.000 morts de bactéries multi-résistantes (INFECTIONS NOSOCOMIALES ) en Europe en 2014 à 392.000 en 2050. Au niveau mondial, la projection passerait de 700.000 à 10 millions de morts.
Mais on nous parle de 15 000 mort à cause d'une période exceptionnelle, mais pas inhabituelle, d'irruptions de Râ... (je sais, le GIEC ne parle jamais de l'activité du soleil, et pour causes... ca risquerait de mettre ses "experts" en porte à faux)
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