
22h47: Vladimir Poutine ordonne à l'armée russe "de maintenir la paix" dans les territoires séparatistes d'Ukraine.
22h12: Emmanuel Macron, dans un communiqué, "condamne la décision prise par le Président de la Fédération de Russie de reconnaître les régions séparatistes de l'est de l'Ukraine".
"Il s’agit clairement d'une violation unilatérale des engagements internationaux de la Russie et d'une atteinte à la souveraineté de l'Ukraine. Il demande une réunion d'urgence du Conseil de sécurité des Nations unies ainsi que l'adoption de sanctions européennes ciblées", ajoute la présidence de la République.
22h06: LE PONT COMPLET
Vladimir Poutine a décidé lundi de reconnaître l'indépendance des séparatistes prorusses d'Ukraine, et a signé dans la foulée des accords "d'amitié et d'entraide" avec ces territoires.
"Je juge nécessaire de prendre cette décision qui était mûre depuis longtemps: immédiatement reconnaître l'indépendance de la République populaire de Donetsk et de la République populaire de Lougansk", a dit le président russe dans une allocution télévisée.
Il a demandé au Parlement russe "d'approuver cette décision puis de ratifier les accords d'amitié et d'entraide avec les deux républiques".
Il a signé dans la foulée les accords avec les dirigeants de ces deux territoires, parrainés depuis huit ans par la Russie dans la guerre qui les opposent à Kiev. Le contenu n'a pas été dévoilé.
Une reconnaissance russe des séparatistes vient court-circuiter le processus de paix issu des accords de Minsk de 2015, signé par la Russie et l'Ukraine, sous médiation franco-allemande, et qui visait justement un retour sous souveraineté ukrainienne de ces zones.
Cette décision ouvre la voie à un appel à l'aide à la Russie de la part de ces territoires en tant qu'Etats souverains et donc l'entrée de forces russes dans ces régions.
Le scénario a un précédent : en 2008, le Kremlin a reconnu l'indépendance de deux "républiques" séparatistes prorusses en Géorgie, l'Abkhazie et l'Ossétie du Sud, après une guerre éclair contre Tbilissi, ex-République soviétique qui, comme l'Ukraine, ambitionne de rejoindre l'Otan.
Dans son discours long de 65 minutes, Vladimir Poutine a passé en revue l'histoire des relations russo-ukrainiennes depuis des siècles et exposé une thèse selon laquelle l'Ukraine est une nation créée de toute pièce à l'époque soviétique avec des territoires essentiellement pris à la Russie.
20h51: Boris Johnson dénonce une décision qui est "une violation flagrante de la souveraineté" du pays et une "répudiation" des accords de paix de Minsk. "C'est clairement contraire au droit international. C'est une violation flagrante de la souveraineté et de l'intégrité de l'Ukraine, c'est une répudiation des accords de Minsk", a déclaré Boris Johnson lors d'une conférence de presse, y voyant un "mauvais présage" pour la situation en Ukraine.
20h39: « Il me semble de prendre une décision : reconnaître immédiatement la souveraineté des républiques populaires de Donetsk et de Louhansk » annonce Vladimir Poutine. "Je considère qu'il est nécessaire de prendre une décision attendue depuis longtemps pour reconnaître [les républiques du Donetsk et de Lougansk]", a déclaré Vladimir Poutine lors de son allocution. Il annonce avoir signé les décrets de reconnaissance d'indépendance et avoir demandé à l'Assemblée fédérale de ratifier les documents.
20h26: Vladimir Poutine s'adresse à la Russie, et débute par une leçon d'histoire sur les origines de l'Ukraine, qui n'est pas seulement "un pays voisin" mais également "une partie de l'histoire" russe, selon lui. Avant d'ajouter que l'Ukraine moderne a été créée par la Russie et que la situation dans le Donbass est devenue critique.
" La question est très grave", a-t-il indiqué. "La situation dans le Donbass revêt de nouveau un caractère très grave et je m'adresse en direct à vous pour vous informer des décisions que nous allons prendre et des mesures qui vont peut-être suivre. L'Ukraine n'est pas simplement un pays voisin, c'est une partie intégrante de notre histoire, de notre culture", estime le chef du Kremlin.
Vladimir Poutine évoque aussi une « négation de la Russie » en Ukraine et des « erreurs graves de l'URSS », évoquant des « tromperies », des « mensonges », louant le rôle de la Russie qui a continué à « aider les autres pays », dont l'Ukraine. Le chef du Kremlin égrène des aides financières de la Russie vers l'Ukraine. Il évoque, en Ukraine, une « négation de la Russie », les « humeurs anti-russes ».
Avant d'accuser l'Ukraine d'être gérée depuis « l'extérieur »: « Tout cela n'a pas rapproché l'Ukraine de la démocratie, ils ont conduit leur pays vers une guerre civile. L'Ukraine connaît une crise politique, sociale et économique très profonde », estime Vladimir Poutine. Il évoque un effondrement industriel en Ukraine, et accuse le pays d'être géré depuis « l'extérieur ».
Et d'ajouter: «Si l'Ukraine veut avoir l'arme nucléaire, elle peut réellement l'avoir, d'autant plus avec le soutien d'autre pays. Et cela, nous ne pouvons l'exclure. Aujourd'hui, l'Ukraine, avec des armes de destructions massives est une menace pour l'Europe et la Russie. Nous ne pouvons pas rester les bras croisés devant ça».
Vladimir Poutine indique également: « Des milliards de dollars du budget américain ont été dédiés à cela (...) Des drones sont venus souvent explorer les frontières russes et cela permet de faciliter la navigation de l'Otan, dotés d'armement contre la Russie et ses structures. »
Vladimir Poutine estime également que l'Ukraine "est un régime fantoche". "L'Ukraine a construit son État en renonçant à tout ce qui la reliait avec la Russie", a déclaré le chef du Kremlin, ajoutant que le pays ne s'était "jamais vraiment formé (...) à cause de la corruption et du nationalisme".
Et d'ajouter: « J'attire l'attention du danger d'une frappe imprévue, immédiate » contre la Russie. « Des missiles balistiques peuvent toucher des cibles situées à pus de 5 000 kilomètres », estime-t-il. « C'est vraiment le couteau sous la gorge ».
20h24: "S'il y a annexion, il y aura des sanctions et s'il y a reconnaissance, je mettrai les sanctions sur la table et les ministres décideront", a précisé Josep Borrell à l'issue d'une réunion des ministres des Affaires étrangères de l'Union européenne à Bruxelles. Les sanctions devront être prises à l'unanimité lors d'un sommet réunissant les ministres des Affaires étrangères de l'Union européenne.
19h17: Emmanuel Macron a convoqué ce soir un Conseil de défense annonce l'Elysée. Par ailleurs, le président de la République s’est entretenu successivement avec le président russe Vladimir Poutine, le président ukrainien Volodymyr Zelensky, le chancelier allemand Olaf Scholz – à deux reprises –, le président du Conseil européen Charles Michel et la présidente de la Commission européenne Ursula von der Leyen. D'autres contacts sont prévus en soirée.
19h13: Vladimir Poutine va reconnaître l'indépendance des deux territoires séparatistes du Donbass, a annoncé le Kremlin, cité entre autres par l'agence RIA Novosti. Il devrait signer prochainement un décret en ce sens.
18h55: Vladimir Poutine va prendre la parole à la télévision ce soir et il devrait se prononcer notamment sur la reconnaissance ou non de l’indépendance des deux territoires séparatistes de l’est ukrainien. La reconnaissance de l'indépendance des régions séparatistes en Ukraine par la Russie constituerait "une rupture unilatérale" des accords de Minsk de 2015, a jugé le chancelier allemand Olaf Scholz.
17h21: Moscou assure qu’au moins 61 000 personnes avaient été « évacuées » des zones séparatistes vers son territoire. « C’est la guerre, la vraie », estime Tatiana Nikoulina, 64 ans, qui fait partie de ces personnes acheminées de la région de Donetsk vers la ville russe de Taganrog. Depuis le début du conflit en 2014, « ils n’ont pas pu trouver de compromis et c’est pourquoi tout cela continue ». Les rebelles ont fait état de trois civils morts dans des bombardements ces dernières 24 heures, ce qui n’a pu être vérifié de manière indépendante.
15h58: Les accords de paix de Minsk sur le conflit opposant l’Ukraine à des séparatistes prorusses n’ont aucune perspective de mise en oeuvre, a jugé lundi le président Vladimir Poutine, accusant Kiev de les saboter. « Nous avons bien compris qu’ils n’ont absolument aucune perspective », a-t-il dit, au cours d’une réunion du Conseil de sécurité russe, retransmise en différé à la télévision russe. Cette remarque faisait suite à une présentation de son chargé des négociations de paix en Ukraine, Dmitri Kozak, selon lequel le processus de négociation « est au point mort depuis 2019 » et « jamais » les autorités ukrainienne ne mettront en oeuvre les accords.
14h12: Un sommet entre Joe Biden et Vladimir Poutine pour tenter d’éviter la guerre en Ukraine est « possible », mais il appartient au chef de l’Etat russe de « faire son choix » pour qu’il se concrétise, a déclaré lundi la présidence française. « Aujourd’hui, les conditions du dialogue existent. Il est possible d’aller vers un sommet, de réunir les parties prenantes, de négocier l’ordre du jour de cette discussion », a dit l’Elysée après une série d’échanges en ce sens entre le président français Emmanuel Macron et ses deux homologues américain et russe.
« Maintenant, il s’agit pour le président Poutine de faire son choix. Il en la possibilité », a ajouté la présidence française après avoir annoncé dans la nuit un accord de principe de MM. Poutine et Biden pour une rencontre. « Il appartient aux Russes et aux Américains de s’entendre sur les conditions d’un sommet », a également souligné l’Elysée.
Le Kremlin a toutefois jugé « prématuré » lundi un tel sommet, douchant les espoirs suscités par l’annonce française visant à désamorcer le risque d’une invasion de l’Ukraine. Selon la présidence française, le Kremlin et la Maison Blanche sont bien d’accord sur le fait qu’un certain nombre de conditions doivent encore être réunies pour la tenue d’une telle rencontre.
Ces conditions sont « pas d’invasion russe de l’Ukraine et que les ministre russe et américain des Affaires étrangères puissent travailler à la substance de ce qui devra être discuté dans un sommet », a dit l’Elysée. Le Russe Sergueï Lavrov et le secrétaire d’Etat américain Antony Blinken doivent se voir jeudi en Europe pour en parler. « La situation reste très dangereuse » et toutes les parties avancent sur « un chemin de crête », a concédé un conseiller du président Macron, rappelant les tirs d’obus dans l’est de l’Ukraine aux mains des séparatistes et le risque que le moindre « prétexte » n’y soit utilisé pour déclencher une opération militaire de « grande envergure ».
14h00: L’Union européenne a réaffirmé être « prête » à imposer des sanctions « dévastatrices » si Moscou attaque l’Ukraine et a finalisé l’octroi une aide de 1,2 milliard d’euros à Kiev lors d’une réunion de ses ministres des Affaires étrangères à Bruxelles avec leur homologue ukrainien.
Un accord de principe a en outre été donné pour l’envoi d’une mission d’instructeurs militaires européens en Ukraine, a affirmé le chef de la diplomatie ukrainienne Dmytro Kouleba à l’issue de la rencontre avec ses homologues. Le projet, dont les modalités doivent encore être arrêtées, est en discussion depuis l’été dernier, souligne-t-on de source européenne.
Les ministres letton et lituanien ont soutenu la demande de Dmytro Kouleba d’imposer immédiatement certaines des sanctions prévues contre Moscou afin de « démontrer que l’Union européenne passe à l’action ». L’UE « doit commencer à imposer des sanctions à la Russie » en raison de « l’escalade de la situation dans le Donbass et la décision de laisser les troupes russes au Bélarus », a déclaré le Letton Edgars Rinkevics.
12h42: Olaf Scholz doit s’entretenir aujourd'hui avec le président russe Vladimir Poutine dans un nouvel effort diplomatique visant à désamorcer la crise russo-occidentale autour de l’Ukraine, a déclaré lundi le porte-parole du chancelier allemand. Le dirigeant allemand « s’entretiendra à nouveau par téléphone avec le président russe en fin d’après-midi aujourd’hui, ce qui est étroitement lié et convenu avec le président français » Emmanuel Macron, a affirmé le porte-parole du chancelier, Steffen Hebestreit, lors d’une conférence de presse régulière à Berlin.
« Tous les efforts diplomatiques que nous déployons actuellement tous ensemble ont pour but d’éviter une catastrophe » en Ukraine, a-t-il ajouté. La veille, M. Scholz s’était déjà entretenu « longuement » sur ce sujet avec le président français.
11h22: Air France a annulé ses deux vols Paris-Kiev et Kiev-Paris prévus mardi «au regard de la situation sur place et à titre conservatoire», a indiqué lundi la compagnie aérienne. «Air France réévaluera régulièrement la situation et rappelle que la sécurité et sûreté des vols, de ses clients ainsi que de ses équipages, sont un impératif absolu», a-t-elle ajouté. Jusqu'à présent, la compagnie assurait deux rotations par semaine entre Paris et Kiev, le mardi et le dimanche.
11h15: Le point sur ce que l'on sait ce matin
Le Kremlin a jugé lundi « prématuré » de parler d’un sommet des présidents Vladimir Poutine et Joe Biden, annoncé pourtant par la France pour désamorcer la crise russo-occidentale autour de l’Ukraine et le danger d’une invasion russe. « Il y a une entente sur le fait de devoir continuer le dialogue au niveau des ministres (des Affaires étrangères). Parler de plans concrets d’organisation de sommets est prématuré », a déclaré à la presse le porte-parole du Kremlin, Dmitri Peskov.
« Une rencontre est possible si les chefs d’Etat (russe et américain) le jugent utile », a-t-il ajouté, relevant que MM. Biden et Poutine ont toujours la possibilité « quand c’est nécessaire » de se parler « au téléphone ou d’une autre manière ». Vladimir Poutine doit présider lundi à la mi-journée une réunion de son Conseil de sécurité, puissant organisme qui regroupe les principaux décideurs russes, notamment les dirigeants de l’armée et des services de renseignements.
La présidence française avait annoncé dans la nuit de dimanche à lundi que MM. Biden et Poutine avaient chacun « accepté le principe d’un tel sommet », précisant que ces pourparlers seraient ensuite élargis à « toutes les parties prenantes » à la crise ukrainienne à condition que la Russie n’attaque pas son voisin ukrainien. Cette annonce intervenait après que le président Emmanuel Macron eut parlé deux fois au président russe et à une reprise avec le dirigeant américain. Une rencontre des chefs des diplomaties russe et américaine, Sergueï Lavrov et Antony Blinken, est prévue jeudi.
Le Kremlin a par ailleurs souligné de nouveau que la « situation reste extrêmement tendue » sur le front de l’Est ukrainien, entre les forces ukrainiennes et les séparatistes prorusses soutenus par Moscou. « Cela est inquiétant », a dit M. Peskov, dont le pays rend l’Ukraine responsable de l’aggravation de la situation sur le terrain, l’accusant de vouloir commettre un « génocide » des populations russophones.
Les Occidentaux voient la main de Moscou derrière l’intensification des combats depuis plusieurs jours sur la ligne de front et craignent que cela ne serve de prétexte à la Russie, qui a massé 150.000 soldats aux frontières ukrainiennes, pour lancer une attaque massive contre son voisin pro-occidental. Moscou se défend de tout projet d’invasion de l’Ukraine mais réclame que le pays n’intègre jamais l’Otan et également le retrait de l’Alliance d’Europe de l’Est, autant de demandes rejetées par les Occidentaux jusqu’ici.
09h41: Le Kremlin juge "prématuré" d'organiser un sommet entre Vladimir Poutine et Joe Biden. «Il y a une entente sur le fait de devoir continuer le dialogue au niveau des ministres (des Affaires étrangères). Parler de plans concrets d'organisation de sommets est prématuré», a déclaré à la presse le porte-parole du Kremlin, Dmitri Peskov.
Les présidents russe Vladimir Poutine et américain Joe Biden ont accepté un peu plus tôt dans la journée de se rencontrer lors d'un sommet, proposé par leur homologue français Emmanuel Macron à la condition qu'une invasion de l'Ukraine n'ait pas eu lieu d'ici-là, une annonce surprise qui intervient alors qu'une guerre était donnée pour imminente.
08h16: Le président russe Vladimir Poutine et le président américain Joe Biden ont accepté cette nuit de se rencontrer lors d'un sommet, proposé par leur homologue français Emmanuel Macron, à la condition qu'une invasion de l'Ukraine n'ait pas eu lieu d'ici-là. Une annonce surprise qui intervient alors qu'une guerre était donnée pour imminente.
Les présidents Biden et Poutine ont chacun accepté le principe d'un tel sommet», s'est félicité l'Élysée dans un communiqué, en précisant que les pourparlers seront dans un second temps élargis à «toutes les parties prenantes» à la crise ukrainienne.
Ce sommet «ne pourra se tenir que si la Russie n'envahit pas l'Ukraine», a toutefois mis en garde la présidence française. Joe Biden rencontrera Vladimir Poutine «si une invasion n'a pas eu lieu», a confirmé la Maison-Blanche, en l'absence de commentaires du Kremlin dans un premier temps.
Les États-Unis «s'engagent à poursuivre la diplomatie jusqu'au moment où une invasion débutera», a indiqué dans un communiqué la porte-parole de la Maison-Blanche, Jen Psaki.
«Nous sommes également prêts à infliger des conséquences rapides et sévères si la Russie choisit la guerre à la place», a-t-elle cependant mis en garde, «et actuellement, la Russie semble poursuivre ses préparatifs pour une attaque à grande échelle de l'Ukraine très bientôt».
Le contenu du sommet sera préparé par le secrétaire d'État américain Antony Blinken et son homologue russe Sergueï Lavrov lors de leur rencontre prévue jeudi prochain, a précisé de son côté l'Élysée.
Cette annonce par Paris survient alors que la Russie et l'Ukraine ont continué dimanche de s'accuser mutuellement d'être responsables des nouveaux combats dans l'Est séparatiste ukrainien.
Vos réactions
Pas de chance pour Macron de tomber sur Poutine.
lui qui voulait sûrement se servir de la présidence de l’Europe pour l’élection
Bla bla bla
Quel ridicule de comparer avec une situation d'il y a 60 ans et qui n'a absolument rien à voir. Tout a changé, économiquement, politiquement, géopolitiquement, techniquement, etc. Fantasmer sur une attaque au missile en 2022, faut vraiment pas être futé pour y croire.
Et il faut vraiment être con pour penser que cela ne puisse jamais arriver. Il y a suffisamment de malades pour croire que jamais il n'y en aura un qui ne fera pas un truc dans ce genre.
Ils seraient bien qu’après l’Ukraine, les médias s’interrogent sur Chypre.
un pays de l’union Européenne occupé depuis 1974 …
C'est marrant de voir que les pro Zemmour sont pro Poutine et n'espèrent qu'une chose, c'est qu'une guerre éclate pour affaiblir Macron. Des vrais patriotes !
l'affaiblissement il l'a fait tout seul...lol
Regarde Biden il a tout compris...
Macron a forcément réussi à les réunir. Les deux l'ont tellement humilié qu'ils doivent bien se marrer en parlant de lui.
C'est clair, le dindon de la farce
LeMacron qui se croyait deja le sauveur ! Lol
Pris à son propre jeu. Il annonce toujours pas sa candidature...
Poutine est un " Tigre de Papier " ...!!!
Quand les soviétiques avaient commencé a installer des missiles a Cuba, Kennedy a été prêt a déclencher une guerre nucléaire si Moscou ne les retirait pas. Et ils les ont retiré. Aujourd'hui, Poutine demande la même chose. Pas de missiles a leurs frontières. C'est un tigre de papier? En tout cas, pas un vieux chat de gouttière. Il a du pétrole, du gaz et des armes nucléaires. Il peut jouer lui aussi. Et si Ramses Biden veut déclencher une nouvelle guerre qu'il perdra, comme toutes les autres, il risque d'avoir des surprises.
On vous a reconnu. C'est sur que votre zemour (avec un seul m car ça vous exite) le terre irrait bien mieux !
Non le monde n'est pas tous blanc ou tous noir contrairement à ce que tente votre chéri de vous farcir dans votre cerveau... Il y a des tas de nuances que rien n'est simple dans ce monde comme un tweet
Comme il y a aussi beaucoup de nuances dans votre orthographe.
Bravo et merci à M. MACRON qui fait tout pour éviter la guerre.
J'espère que vous serai encore candidat, je voterai pour vous.
Macron ,la crotte de Poutine !
Mais qui peux croire en cette propagande du petit haineux? capitaliste? qui hait la France ?
j'ai peut être tort mais j'ai la vague impression que poutine est entrain de faire mumuse avec un vieux sénile Biden et Macron qui se prend pour le sauveur du monde
"Réunion à l'initiative de Macron se félicite l'Élysée " : tout est dit !!!!!
Des tensions entretenues artificiellement dans le but de vendre des armes aux pays directement et indirectement concernés.
Ou un coup de billard à trois bandes.
Poutine les occupe en Ukraine et la Chine envahit Taïwan.
C’est toujours compliqué de se retrouver sur 2 fronts en même temps.
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