
Le journaliste Jean-Jacques Bourdin a fermement nié mardi l'accusation d'agression sexuelle, qui fait l'objet d'une enquête à Paris, ou les comportements sexistes formulés dans un article de Mediapart lundi. Le journaliste, écarté temporairement de l'antenne sur BFMTV et RMC, "conteste fermement avoir eu des agissements ou des attitudes susceptibles d'être réprimés par la loi, tant dans sa sphère professionnelle qu'en dehors", dans un communiqué transmis à l'AFP par son avocat Me Christian Saint-Palais. "Dès lors que la justice est saisie, y compris pour des périodes couvertes par la prescription, il attend sereinement les décisions qui seront rendues", poursuit le texte.
La journaliste Fanny Agostini, ancienne présentatrice météo de RMC-BFMTV, passée ensuite par Thalassa, a indiqué lundi dans Mediapart être à l'origine de la plainte pour "tentative d'agression sexuelle" déposée contre l'intervieweur, pour des faits qui se seraient produits en 2013 en Corse, à Calvi. Les faits dénoncés par Mme Agostini pourraient être prescrits puisque le délai en la matière est de six ans et que la plainte date de janvier 2022.
L'article de Mediapart recueille d'autres témoignages visant M. Bourdin, certains anonymes, d'autres identifiés, dont celui de Sidonie Bonnec qui évoque des commentaires considérés comme déplacés dans la sphère professionnelle. "Jean-Jacques Bourdin découvre dans la presse les griefs formulés contre lui pour la première fois, souvent sous couvert d'anonymat, pour de prétendus faits parfois anciens de plus de vingt ans", poursuit le communiqué. "Il exprime sa reconnaissance à celles et ceux qui lui apportent leur soutien", ajoute le texte. Une enquête a été confiée par le parquet de Paris au commissariat du XVIe arrondissement et une enquête interne a été ouverte par Altice, maison mère de BFMTV et RMC.
Vos réactions
Bourdin ne m'est pas plus sympa que cela mais il faut bien avouer que cela sent la cabale autour de lui, accusation de faits prescrits, pseudos affaires dans les quelles il y a 12 ans il aurait demandé a une fille d'apporter un maillot de bain car il y avait une piscine dans la maison ou a la terrasse d'un café dire qu'il écrivait des nouvelles érotiques (comme Schiappa) et que la fille se serait sauvée en courant, demain ce sera : "il m'a demandé de lui apporter un café avec un regard lubrique, je suis traumatisée depuis des années" les médias et peut être la police sont entrain volontairement de briser la vie de cette personne.
Les enquêteurs de C8 ont donné leur avis hier soir et l'étau se resserre ........
Bourdin ... Gros Bourrin !!!
J'allais le dire !
Ca commence à bien faire toutes ces femmes qui attendent bien la fin de la prescription pour porter des accusations pour régler leurs comptes avec des hommes publics.
Comme ça le mec n'a aucun moyen de se défendre, et le tribunal médiatique le condamne toujours.
Il est vrai que -très curieusement- la plupart se réveillent 5 à 20 ans après les soi-disant faits, souvent prescrits, car les tentatives (!...) de viol ont brisé leur vie et qu'un peu de "blé" leur permettrait sans doute de retrouver la paix intérieure
Il a beau se défendre, son passé ne plaide pas pour lui. "Avant l’affaire du Sofitel [en 2011, NDLR], on savait J.J Bourdin très proche de DSK . À la rédaction, on les appelait les deux chauds lapins", confie une journaliste qui a plus de 15 ans d’ancienneté à RMC puis BFM.
Dans l’affaire de proxénétisme dite du "Carlton de Lille", le nom de Jean-Jacques Bourdin a été évoqué par un témoin. Ce témoin est une ancienne standardiste de RMC, sur laquelle DSK aurait "flashé" un jour de 2007, alors qu’il était venu participer à une émission. Jean-Jacques Bourdin avait donné à DSK le numéro de la jeune femme, ce qui avait entraîné la descente aux enfers de cette dernière. Autre témoignage, celui d'une jeune stagiaire en journalisme de 19 ans : Jean-Jacques Bourdin lui propose de déjeuner pour "faire le point sur son travail et l’aider pour la suite de sa carrière". "Il m’invite au café de Flore, raconte-t-elle. Très vite, il me dit qu’il écrit de la littérature érotique sous pseudonyme, que je l’inspire beaucoup et qu’il aimerait que je l’accompagne sur les berges de la Seine, lieu de ses récits." La jeune stagiaire dit avoir été "glacée". "Je suis partie. Je n’ai jamais eu de nouvelles de lui." Ce n'est pas parce qu'il est un homme public qu'il peut tout se permettre. Il aurait dit à Fanny Agostini : " J'obtiens toujours ce que je veux ! ". Comme DSK qui disait à Nafissatou Diallo : " Vous ne avez pas qui je suis " pour l'impressionner et la faire taire. Dont Acte.
@Talya
Je serais curieuse de lire ce qu’il pond en matière de littérature érotique…
C’est à peu près aussi casse gueule que la poésie.
Il a beau se défendre, son passé ne plaide pas pour lui. "Avant l’affaire du Sofitel [en 2011, NDLR], on savait J.J Bourdin très proche de DSK . À la rédaction, on les appelait les deux chauds lapins", confie une journaliste qui a plus de 15 ans d’ancienneté à RMC puis BFM.
Dans l’affaire de proxénétisme dite du "Carlton de Lille", le nom de Jean-Jacques Bourdin a été évoqué par un témoin. Ce témoin est une ancienne standardiste de RMC, sur laquelle DSK aurait "flashé" un jour de 2007, alors qu’il était venu participer à une émission. Jean-Jacques Bourdin avait donné à DSK le numéro de la jeune femme, ce qui avait entraîné la descente aux enfers de cette dernière. Autre témoignage, celui d'une jeune stagiaire en journalisme de 19 ans : Jean-Jacques Bourdin lui propose de déjeuner pour "faire le point sur son travail et l’aider pour la suite de sa carrière". "Il m’invite au café de Flore, raconte-t-elle. Très vite, il me dit qu’il écrit de la littérature érotique sous pseudonyme, que je l’inspire beaucoup et qu’il aimerait que je l’accompagne sur les berges de la Seine, lieu de ses récits." La jeune stagiaire dit avoir été "glacée". "Je suis partie. Je n’ai jamais eu de nouvelles de lui." Ce n'est pas parce qu'il est un homme public qu'il peut tout se permettre. Il aurait dit à Fanny Agostini : " J'obtiens toujours ce que je veux ! ". Comme DSK qui disait à Nafissatou Diallo : " Vous ne avez pas qui je suis " pour l'impressionner et la faire taire. Dont Acte.
Elles se jettent sur lui certainement à cause de son physique... on connait cette excuse.
Regardez le miniss,Jean-Michel Blanquer,laid comme un pou, vieux chauve style pépère,il a pêcho une jeunette, qu'on a la photo ou il gobe sa bouche dans une piscine
Elles se jettent sur lui certainement à cause de son physique... on connait cette excuse.
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