
Une boîte de nuit illégale, à Montpellier, s'est baptisée «Le Clubster» mélangeant les mots Club et Cluster, avant d'être découverte par les forces de l'ordre. Les policiers l'ont identifiée ce 31 juillet, rapporte Midi Libre. Ils avaient été appelés par des voisins qui se plaignaient du bruit. En arrivant, les forces de l'ordre ont découvert tout l'attirail d'une véritable discothèque : un grand appartement avec piste de danse, des jeux de lumière, des enceintes, un dispositif de sonorisation, et même un DJ. Les consommations, y compris alcoolisées, étaient stockées avec soin dans un frigo.
La trentaine de participants sans masque pouvait payer directement par carte bancaire.
Dernier détail : pour filtrer les entrées de la soirée «Clubster, underground house et techno music», comme l'expliquait le flyer, un homme endossait le rôle de videur et était équipé d'une bombe lacrymogène.
L'organisateur de l'évènement n'était pas présent lors de l'intervention. Il a été convoqué au commissariat pour s'expliquer. Des poursuites judiciaires pourraient être engagées, précise Midi Libre.
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Le nom "Clubster" montre que leur but est de créer un cluster afin de propager un virus mortel. Cela relève donc la cour d'Assise pour tentatives d'assassinats de masse en bande organisée ?
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