12/03/2021 18:52

Coronavirus - Plus de 4.000 patients sont en réanimation en France, une première depuis novembre 2020 - La France donne son feu vert au vaccin Johnson & Johnson - L'Italie reconfinée en grande partie lundi

20h19 : La France passe ce soir la barre des 90.000 morts victimes du virus

19h18: La majeure partie de l'Italie, confrontée à la troisième vague de la pandémie, sera de nouveau confinée à partir de lundi, annonce le ministère italien de la Santé. Les régions les plus peuplées de la péninsule, notamment la Lombardie, poumon économique du pays, et le Latium, la région de Rome, seront classées en "rouge" (risque élevé), entraînant la fermeture des écoles ainsi que des bars et des restaurants. Les déplacements seront limités aux impératifs de travail, à l'achat de produits de première nécessité et aux urgences de santé.

18h19: La France donne son feu vert à un 4e vaccin, celui de Johnson & Johnson. La Haute autorité de santé (HAS) a autorisé en France le vaccin monodose contre le Covid-19 de Johnson & Johnson, au lendemain du feu vert européen, en recommandant de l'utiliser "de manière préférentielle" dans les zones où l'épidémie est "particulièrement active". L'autorité sanitaire estime que ce vaccin américain à injection unique, le quatrième à être autorisé en France, "peut être utilisé à partir de l'âge de 18 ans", "y compris chez les personnes âgées de 65 ans et plus et/ou" à risque de faire des formes graves de Covid.

17h46: 228 patients sont morts du Covid-19 dans les dernières 24 heures en France, selon les chiffres de Santé Publique France publiés ce vendredi. Actuellement, 24.749 patients sont hospitalisés des suites du Covid-19, dont 1.448 admissions en 24 heures. 4.033 malades sont en réanimation en France, dont 306 qui y ont été admis dans les dernières 24 heures.

16h30: Le Premier ministre Mario Draghi a déploré que l’Italie se retrouve face à une « nouvelle vague de contagions » plus d’un an après le début de la pandémie, appelant « à la plus grande prudence ». « Plus d’un an après le début de la crise sanitaire, nous nous retrouvons malheureusement face à une nouvelle vague de contagions », a-t-il affirmé lors d’un déplacement au centre de vaccination mis en place à l’aéroport romain de Fiumicino.

« Au cours de la dernière semaine, 150.175 nouvelles contagions ont été enregistrées contre 130.816 la semaine précédente, soit une augmentation de presque 15% », a souligné le Premier ministre. « Ces deux dernières semaines, l’augmentation du nombre d’hospitalisations de patients positifs s’est élevée à presque 5.000, et le nombre de patients en réanimation a augmenté de plus de 650 », a-t-il précisé. L’Italie, qui a passé cette semaine la barre des 100.000 morts dus à la pandémie, enregistre une forte hausse des contaminations et des décès, due en grande partie au variant britannique. Jeudi, les autorités ont fait état de 26.000 nouveaux cas et 373 morts en 24 heures.

14h59: Des allergies sévères devraient être ajoutées à la liste des effets secondaires possibles du vaccin contre le Covid-19 AstraZeneca, après l’identification de liens probables avec des réactions de ce type au Royaume-Uni, a déclaré l’Agence européenne des médicaments (EMA).

Le régulateur européen avait annoncé jeudi enquêter sur un problème distinct liés à des troubles de la coagulation, qui a incité le Danemark, suivi d’autres pays européens, à suspendre l’utilisation du vaccin développé par le laboratoire britannique AstraZeneca et l’université d’Oxford. L’EMA a toutefois déclaré que celui-ci restait sûr à utiliser.

L’EMA a indiqué dans un communiqué vendredi avoir « recommandé une mise à jour des informations sur le produit pour inclure l’anaphylaxie et l’hypersensibilité (réactions allergiques) comme effets secondaires ».

« La mise à jour est basée sur un examen de 41 rapports d’anaphylaxie possible observés parmi environ 5 millions de vaccinations au Royaume-Uni », a expliqué l’agence basée à Amsterdam, dans le résumé de son comité chargé d’évaluer les risques des médicaments.

« Après un examen attentif des données, (le comité) a estimé qu’un lien avec le vaccin était probable dans au moins certains de ces cas », a-t-elle ajouté.

L’EMA a toutefois précisé que l’anaphylaxie, ou ce qu’elle appelle « réactions allergiques sévères », était déjà un « effet secondaire connu pouvant survenir, très rarement, avec les vaccins ».

Les informations sur le vaccin AstraZeneca/Oxford indiquent déjà que les personnes recevant l’injection devraient être maintenues sous « étroite surveillance pendant au moins 15 minutes » après son administration, en cas de réactions allergiques.

14h00: Le chancelier autrichien a accusé vendredi certains Etats membres de l’Union européenne (UE), sans les nommer, d’avoir négocié en coulisses « des contrats » avec des laboratoires, fustigeant une répartition inégale des vaccins anti-Covid entre pays. « Il y a des indications selon lesquelles il existait une instance, un bazar où des accords supplémentaires ont été conclus entre des Etats membres et des firmes pharmaceutiques », a déclaré devant des journalistes Sebastian Kurz, qui dit avoir partagé des informations avec les dirigeants belge, grec, polonais, slovène et tchèque.

« Beaucoup n’en croyaient pas leurs oreilles (à la découverte de ces informations), car cela contredit clairement l’objectif politique de l’UE » d’une répartition équitable, a souligné le chancelier. « Nous devons trouver qui a signé les contrats », a ajouté M. Kurz, soulignant qu’ils étaient « secrets » et qu’il n’avait pu lui-même les consulter. Et de lancer un appel « urgent à la transparence totale ».

Selon lui, Malte recevra ainsi « jusqu’à trois fois plus de doses par habitant que la Bulgarie » d’ici à l’été. Les Pays-Bas seraient aussi avantagés, avec « deux fois plus de doses que la Croatie d’ici fin juin ». La Lettonie serait de même lésée, tandis que l’Autriche se situe dans la moyenne. L’Union européenne (UE) a cependant défendu l’existence d’un tel mécanisme. « La Commission a pour point de départ de distribuer les doses sur la base de la population, mais les Etats membres peuvent demander de recevoir un vaccin plus qu’un autre », a expliqué lors d’un point presse un porte-parole, Stefan de Keersmaecker.

« Ces échanges peuvent intervenir directement entre un Etat membre et un laboratoire en particulier dans le cadre d’un comité directeur, après la tenue des discussions entre tous les Etats membres », a-t-il expliqué lors d’un point presse.

12h44: Le point sur la situation à la mi-journée

Des transferts de «dizaines, voire centaines» de patients se préparent pour éviter la saturation des hôpitaux en Ile-de-France, région la plus peuplée du pays et aussi celle où l'épidémie de Covid-19 provoque le plus d'inquiétudes. «Toutes les 12 minutes, un Francilien est admis en réanimation», a indiqué le ministre de la Santé, Olivier Véran, jeudi soir lors de sa conférence de presse hebdomadaire.

Pour éviter que les services de réanimation débordent, «nous préparons des transferts importants de patients vers les autres régions», a dit M. Véran, en mentionnant «des dizaines, voire des centaines de patients».

Selon le ministère, ces transferts pourraient débuter dans «les prochains jours», avec en outre des déprogrammations d'opérations pour libérer des lits. «Je suis inquiet», a confirmé le Dr Benjamin Rossi, infectiologue à l'hôpital Robert Ballanger, en Seine-Saint-Denis, vendredi sur LCI.«Le flux des patients hospitalisés est moindre, mais les formes graves chez des jeunes qui vont en réanimation restent là, les patients restent longtemps hospitalisés, les réa restent saturées», a-t-il poursuivi.

Pour contrer l'épidémie, les autorités parient sur une accélération de la campagne de vaccination, avec un objectif de 10 millions de premières injections d'ici mi-avril. Mais la décision de plusieurs pays de suspendre l'utilisation du vaccin AstraZeneca à cause de craintes liées à la formation de caillots sanguins risque de nourrir la défiance même si il «n'y a pas de raison de ne pas utiliser» ce vaccin, a assuré vendredi l'OMS.

En effet, ce risque de troubles de la coagulation n'est statistiquement pas plus fort chez les patients vaccinés avec AstraZeneca que chez les autres, a expliqué Olivier Véran jeudi. «Il faut rassurer nos concitoyens. Quand on peut être vacciné par AstraZeneca, il faut le faire avec l'assurance très forte d'être ensuite protégé», a exhorté vendredi sur Radio Classique le «monsieur vaccins» du gouvernement, le Pr Alain Fischer.

Pour l'instant, 4,5 millions de personnes en France ont reçu au moins une injection d'un des trois vaccins disponibles, et 2,2 millions deux doses. Et à terme, la France disposera d'un quatrième vaccin, après l'autorisation européenne accordée jeudi à celui de Johnson & Johnson.

De son côté, le secteur de la culture va célébrer vendredi soir la fête annuelle du cinéma, les César, alors qu'une dizaine de théâtres sont occupés pour réclamer la réouverture des lieux culturels. «Il y a une réunion avec le monde du cinéma ce matin pour préparer des protocoles de réouverture», a assuré la ministre Roselyne Bachelot sur France Culture.

12h15: L'OMS a déclaré qu'il "n'y a pas de raison de ne pas utiliser" le vaccin anti-covid d'AstraZeneca, après la suspension de son utilisation par mesure de précaution dans plusieurs pays européens. "Oui nous devrions continuer à utiliser le vaccin d'AstraZeneca", "il n'y a pas de raison de ne pas l'utiliser", a déclaré Margaret Harris, une porte-parole de l'Organisation mondiale de la santé vendredi lors d'un point de presse de l'ONU à Genève.

11h32: Plus de 4000 forces de l’ordre seront mobilisées ce week-end « pour veiller au bon respect des règles sanitaires » , annonce la préfecture dans un communiqué de presse

11h28: La Bulgarie annonce à son tour la suspension du déploiement du vaccin d'AstraZeneca

10h25: La Thaïlande a décidé de retarder le lancement de sa campagne de vaccination avec l'AstraZeneca, a annoncé un responsable des autorités sanitaires vendredi, alors que ce vaccin fait l'objet de craintes liées à la formation de caillots de sang.

La campagne de vaccination avec l'Oxford/AstraZeneca devait débuter vendredi, le Premier ministre Prayut Chan-O-Cha devant être le premier à se voir injecter ce produit.

"L'administration de vaccins aux Thaïlandais doit être sûre, nous ne devons pas nous presser", a déclaré lors d'un point presse Piyasakol Sakolsatayadorn, conseiller auprès du comité national en charge de la campagne de vaccination contre le Covid-19 dans le pays.

"Bien que la qualité d'AstraZeneca soit bonne, certains pays ont demandé que (son utilisation) soit retardée" et "nous allons la retarder aussi", a-t-il ajouté.

La veille, le Danemark, l'Islande et la Norvège ont annoncé la suspension des injections du vaccin d'AstraZeneca contre le Covid-19 en invoquant le principe de "précaution".

L'Agence nationale danoise de la Santé, la première à annoncer cette décision, a invoqué la prudence face à des "cas graves de formation de caillots sanguins chez des personnes vaccinées", même si "à l'heure actuelle" un lien entre le vaccin et les caillots sanguins n'a pas été établi.

En début de semaine, l'Autriche a cessé d'administrer un lot de ces vaccins après le décès d'une infirmière de 49 ans suite à de "graves troubles de la coagulation" quelques jours après avoir été vaccinée.

Le laboratoire anglo-suédois et le gouvernement britannique ont réagi jeudi pour défendre un vaccin "sûr" et "efficace".

"Nous retardons, le temps que les autres établissent si (les effets secondaires) sont causés par le vaccin ou si c'est seulement sur un lot spécifique", a déclaré le virologue Yong Poovarawan, ajoutant que le lot reçu par la Thaïlande a été fabriqué en Asie.

09h23: Le groupe pharmaceutique français Sanofi a annoncé vendredi le lancement des premiers essais sur l'Homme de son second projet de vaccin contre le Covid-19, le premier étant lui toujours en phase de tests après avoir pris du retard dans son développement.

"Sanofi et Translate Bio", une biotech américaine associée au français, "débutent un essai clinique 1/2 consacré à leur candidat-vaccin à ARN messager contre la Covid-19", a annoncé le groupe dans un communiqué.

Les essais de phase 1 et 2 sont les premiers à être effectués sur l'Homme dans le cadre du développement d'un traitement. Ils visent à vérifier qu'il n'est pas dangereux et à donner de premiers éléments sur son efficacité mais c'est la phase 3, réalisée sur bien plus de patients, qui permet de déterminer s'il est vraiment efficace.

Dans le cas présent, Sanofi réalisera ces premiers essais sur 415 personnes, et attend de premiers résultats pour le troisième trimestre en vue du lancement de la phase suivante.

Ce projet de vaccin fonctionne sur le principe de l'ARN messager, une technologie novatrice qui est aussi à la base des vaccins Pfizer/BioNTech et Moderna, déjà autorisés dans l'Union européenne et aux Etats-Unis.

C'est le second vaccin développé par Sanofi face au coronavirus. Le premier, élaboré avec le britannique GSK, doit fonctionner différemment, sur la base d'une protéine recombinante.

Mais son développement a pris plusieurs mois de retard par rapport au calendrier prévu et les essais n'en sont qu'à la phase 2. Le groupe espère pouvoir le lancer à la fin 2021.

Sanofi va par ailleurs aider à la mise en flacon de vaccins anti-Covid développés par d'autres groupes: Pfizer et Johnson & Johnson, dont le vaccin vient d'être autorisé dans l'UE.

07h31: Lors de son point presse hebdomadaire sur l’évolution de l’épidémie, ce jeudi soir, le ministre de la Santé Olivier Véran a confirmé les pronostics quant aux jours à venir : pas de nouvelles mesures pour le moment, mais pas non plus d’allégement des restrictions déjà en place. Les différents indicateurs ne sont cependant pas au beau fixe, et la situation sanitaire se dégrade dans plusieurs départements.

Si l’absence de Jean Castex lors de cette conférence presse présageait d’une absence de nouvelle mesure contraignante, l’intervention d’Olivier Véran était toutefois attendue, notamment sur la question de la situation épidémique des 23 départements sous surveillance renforcée.

Olivier Véran a par ailleurs qualifié ce soir la situation de «tendue et inquiétante». Olivier Véran a exprimé ses inquiétudes quant à la situation sanitaire en Ile-de-France. Il a notamment rappelé que le taux d’incidence y dépasse 350 cas pour 100.000 habitants, et même plus de 400 cas pour 100.000 habitants dans le Val-de-Marne et la Seine-Saint-Denis.

La tension dans les hôpitaux de la région est d’ailleurs extrêmement forte : «Toutes les 12 minutes, un Francilien entre en service de réanimation», affirme-t-il.

La pression en réanimation arrive progressivement au même niveau que lors du pic de la deuxième vague de la pandémie, et le ministre affirme que, si la tendance se poursuit, le seuil de 1.500 patients en réanimation en Ile-de-France sera atteint d’ici à la fin du mois de mars.

07h22 : La pression dans les hôpitaux, et notamment les services de réanimation, est toujours forte et oblige à des transferts de malades du Covid-19. La France est "toujours sur une ligne de crête", a résumé  le porte-parole du gouvernement, Gabriel Attal. Les autorités sont confrontées à une tension croissante sur les services de réanimation, mais souhaitent aussi écarter de nouveaux confinements, au coût économique et social important.

Gabriel Attal a aussi annoncé "un certain nombre d'évacuations sanitaires" d'Ile-de-France vers d'autres régions. Quatre patients venant de Nice et deux venant d'Aix-en-Provence ont été transférés mercredi et jeudi à Toulouse, Cahors et Tarbes, selon le CHU de Toulouse.

06h11: Après sept semaines de couvre-feu à 18h en métropole et plus de quatre mois de fermeture pour les restaurants, bars, lieux culturels et salles de sport privées notamment, l'exécutif veut tout faire pour éviter un confinement strict de l'hexagone comme au printemps. Les considérations économiques ont sans doute joué alors qu'en un an la pandémie a coûté 360.000 emplois.

Et que l'Etat a déboursé plus de 300 milliards d'aide l'année dernière. Signe d'une fatigue croissante face aux restrictions, le mouvement d'"occupation" des théâtres pour réclamer la réouverture des lieux culturels s'est étendu jeudi au théâtre toulousain de la Cité. Le gouvernement a annoncé jeudi de nouvelles mesures pour l'emploi dans le secteur culturel et l'accès des intermittents aux congés maladie et maternité.

"J'ai obtenu du Premier ministre que 20 millions supplémentaires soient mobilisés pour soutenir les équipes artistiques en région, aider les plus fragiles, préparer la reprise qui se profile mais aussi accompagner les jeunes diplômés (...)", a affirmé à l'AFP la ministre de la Culture, Roselyne Bachelot. Ces vingt millions s'ajouteront aux 30 millions d'euros déjà prévus dans le plan de relance pour 2021. A défaut de confinement national, des confinements locaux le week-end restent en vigueur, comme dans les Alpes-Maritimes ou à Dunkerque et dans le Pas-de-Calais.

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Vos réactions

Portrait de Galileo.
12/mars/2021 - 20h43
muzo 28 a écrit :

c'est mouse-win, le retour, la souris en plastoc.

le schtroumpf grognon !  smiley

Portrait de Wouhpïnaise
12/mars/2021 - 19h21

Le nombre de patients en réa ne cesse d'augmenter. C'est quand même inquiétant. Et on vient de dépasser les 90.000 morts. smiley

Portrait de hummerH2
12/mars/2021 - 19h14
benvoyons a écrit :

une chance pour votre voisin il va pouvoir liquider son stock car un nouveau confinement on y va pas on y court

Si nouveau confinement il doit y avoir, j'espère qu'il sera ciblé et ne concernera que Paris et l'ile de France  !

Je ne vois pas pourquoi les habitants de départements comme la Creuse ou les Pyrénées Atlantique par exemple qui sont en vert avec un taux d'incidence de 47 cas pour 100 000 habitants devraient etre confinés dans les mêmes conditions que les habitants de Paris ou l'ile de France ,départements qui tournent autour de 400 cas pour 100 000 habitants. smiley

Portrait de Azrael68
12/mars/2021 - 19h01 - depuis l'application mobile

Pour ou contre le vaccin... chacun son opinion, perso je ne suis pas contre la vaccination mais j’aimerai quand même pouvoir choisir lequel on m’injecte et non pas qu’on me l’impose

Portrait de lucieat
12/mars/2021 - 14h58

on fait tout un plat pour pas grand chose, quelques cas de thromboses sur des personnes qui en auraient peut être fait de toute façon. Il suffit de prendre de l'aspirine 2 jours : anticoagulant et antipyrétique si fièvre . Pour n'importe quel vaccin ça peut arriver. Je me demande si l'affaire n'a pas été lancée par le concurrent qui voit le marché s'étendre vu que la conservation se fait dans n'importe quel frigo et non plus dans un super congèle introuvable sur le marché normal...En tout cas, moi, je prends, quelqu'il soit , je fait partie de ceux qui peuvent crever car on n'a droit à rien : plus de 65 ans, moins de 75, pas de comorbidité, mais des petits enfants que je ne peux plus voir comme je veux, une vieille mère qu'il me faut protéger et que je vois  moins  et jamais sans masque... vivement qu'on soit tous vacciné et qu'on retrouve une vie à peu près normale

Portrait de hummerH2
12/mars/2021 - 11h59
Climato a écrit :

seule la franace n'applique pas le principe de precaution pour ses concitoyens

Il y a peut-être un juste milieu entre le principe de précaution, et le principe de panique ou d'hystérie dès qu'une mouche pète ! smiley

Portrait de jarod.26
12/mars/2021 - 10h31

il y a un an un certain macron annonçait que nous étions en guerre contre le covid ! #séquenceémotion smiley