05/12/2020 19:46

Loi Sécurité Globale - Plusieurs voitures brûlées, barricades en feu, magasins saccagés... Le chaos au coeur de la manifestation parisienne - Au moins 30 personnes ont été interpellées - Vidéo

19h46: Le ministère de l'Intérieur indique que 52 350 personnes ont manifesté contre la proposition de loi "sécurité globale" aujourd'hui en France, dont 5 000 personnes à Paris.

19h37: La situation était tendue à 19h30 place de la République à Paris où les forces de l'ordre tentent de disperser les derniers participants à la manifestation contre la loi sécurité globale émaillée d'incidents, ont constaté des journalistes de l'AFP. Des scooters et du mobilier urbain ont été incendiés sur la place, point final de la marche partie de la porte de Lilas, dans l'est de la capitale, en début d'après-midi. Un peu plus tôt, la préfecture de police de Paris avait lancé sur son compte Twitter un appel à la dispersion, précisant que les forces de l'ordre "effectuaient les sommations".

Une journaliste de l'AFP présente sur place a vu des manifestants se ruer dans les bouches de métro. Plusieurs avenues et boulevards menant à la place étaient bloquées par la police, a constaté un autre journaliste de l'AFP. Selon la préfecture de police, trente personnes ont été interpellées tout au long du parcours par les forces de l'ordre et 19 d'entre elles ont, selon le parquet de Paris, été placées en garde à vue.

18h44 : Le point sur la situation - Trente personnes avaient été interpellées samedi à 18H00 en marge de la manifestation à Paris contre la loi "sécurité globale" émaillée de nombreux actes de vandalisme et heurts entre des centaines de casseurs et les forces de l'ordre, a annoncé la préfecture de police sur Twitter.

Au total, entre "400 et 500 éléments radicaux", selon une source policière, ont commis de nombreuses dégradations, avec des commerces vandalisés et plusieurs voitures incendiées, dès les premiers hectomètres du parcours emprunté par le cortège, parti peu après 14H00 de la porte des Lilas, à l'est de la capitale.

Peu avant 18H, seule une petite partie des participants, environ 2.000, était arrivée place de la République, terme prévu de la manifestations, a constaté un journaliste de l'AFP. Plus de 90 rassemblements étaient prévus ce samedi en France pour protester notamment contre la loi sur la "sécurité globale". Quelques milliers de personnes ont manifesté dans les principales villes du pays.

18h42: Situation toujours tendue Place de la République

 

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18h36: Deux CRS ont été blessés cet après-midi à Nantes lors de la manifestation contre la loi sécurité globale, dont l'un a été touché par un cocktail molotov, a-t-on appris auprès de la préfecture de Loire-Atlantique. D'après un photographe de l'AFP présent sur les lieux, les deux policiers ont été évacués par le Samu, non loin du palais de justice. La manifestation, partie vers 15H00, a attiré environ 3.000 personnes, selon la préfecture de Loire-Atlantique. D'après le compte twitter de la police du département, il y a eu cinq interpellations. Vers 18H00, la situation était toujours très tendue dans le centre de Nantes, selon un photographe de l'AFP.

18h20: Au moins 30 interpellations à Paris selon la Préfecture de police

17h50 - Le point sur la situation un peu avant 18h à Paris : Des scènes de vandalisme et de violence, ponctuées par 22 interpellations, ont émaillé la manifestation contre la loi sécurité globale samedi en milieu d'après-midi à Paris, alors que de nombreux rassemblements ont eu lieu en France "Pour les droits sociaux et la liberté". Plus d'une heure trente après le départ du cortège parisien, des projectiles ont été lancés sur les forces de l'ordre, qui ont répliqué en faisant usage de gaz lacrymogènes. Au moins six voitures et un camion stationnées le long de l'avenue Gambetta, dans le 20e arrondissement, ont été incendiées et plusieurs vitrines de banques et agences immobilières ont été endommagées par des casseurs, vêtus de noir et très mobiles.

Des feux sporadiques ont été allumés le long du parcours de la manifestation et des barricades sommaires ont été érigées. Pour permettre l'intervention des pompiers, les forces de l'ordre ont scindé en deux la tête de cortège, composée de quelque 4 à 500 personnes parmi lesquelles des "gilets jaunes" et des militants "antifascistes", selon un journaliste de l'AFP présent sur place. A 16h30, vingt-deux personnes avaient été interpellées, selon le ministre de l'Intérieur Gérald Darmanin qui a évoqué sur son compte Twitter des "individus très violents".

Au total, près de 90 rassemblements étaient annoncés par les organisateurs en France. Initialement prévue comme un rassemblement syndical contre la précarité, traditionnellement organisé par la CGT le premier samedi de décembre, la journée a vu s'agréger la contestation contre les violences policières et la proposition de loi sécurité globale. Le texte est accusé par ses détracteurs de porter atteinte "à la liberté de la presse, à la liberté d'expression et à la liberté de manifester", et aussi d'instaurer "des outils de surveillance de masse".

La défiance à son encontre a été renforcée par le passage à tabac filmé du producteur de musique Michel Zecler par des policiers, le 21 novembre.

17h33 : Calme relatif dans les rues de Paris alors que plusieurs incendies ont été organisés dans les rues de Paris et en particulier devant une banque qui a été pillée et tous les papiers ont été sortis et les casseurs ont allumé un incendie avec.

 

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17h20: Dans un tweet, la préfecture de police de Paris a indiqué qu'un incendie était en cours dans le secteur Gambetta, à l'ouest de Paris, en marge de la manifestation, et elle demande aux manifestants de laisser passer et de laisser intervenir les soldats du feu. Des interventions qui sont très difficiles en raison de la foule de manifestants mais également en raison des violences qui se déroulent.

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17h00; Il y a eu 22 interpellations ont eu lieu en marge de la manifestation parisienne, a annoncé le ministre de l'Intérieur Gérald Darmanin, sur Twitter. "Merci aux forces de l’ordre mobilisées aujourd’hui, parfois face à des individus très violents", a-t-il ajouté.

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16h27: Désormais près de 500 casseurs seraient repérés dans la manifestation parisienne

16h25: Avant les incidents, plusieurs milliers de personnes dont de nombreux "gilets jaunes" ont commencé à défiler samedi à Paris contre la précarité et pour les libertés, ont constaté des journalistes de l'AFP. Derrière une banderole proclamant "Liberté, Égalité, Fraternité, pour qui!", les manifestants se sont ébranlés vers 14H15 de la Porte des Lilas en direction de République. Au milieu de ballons syndicaux, notamment de la CGT, FSU et FO, le défilé se déroulait au milieu des fumigènes et du bruit des pétards, au son notamment de "Tout le monde déteste la police".

La présence policière était conséquente, par crainte de débordements. Initialement prévue comme un rassemblement syndical (CGT, FSU, Solidaires, Unef, UNL, Fidl, MNL) contre la précarité, la journée de samedi voit s'agréger la contestation contre les violences policières et la loi sécurité globale, emmenée par la "coordination #StopLoiSécuritéGlobale, collectif de syndicats et d'associations, dont plusieurs organisations de journalistes.

"En deux ans, j'en ai vu des violences, c'est anormal qu'on ne puisse pas filmer", a déclaré à l'AFP Nadine, "gilet jaune" de 53 ans, qui gagne 1.300 euros par mois dans les services à la personne. Mais selon elle, "la violence date d'avant les +gilets jaunes+, dans les banlieues, les jeunes y ont droit depuis longtemps".

Sous une pancarte demandant le "retrait de la loi Sécurité globale", le secrétaire général de la CGT Philippe Martinez a estimé que les causes convergeaient: "Il n'y a pas d'opposition entre les libertés publiques et individuelles et le fait de se battre contre la précarité et le chômage, surtout dans la période", a-t-il déclaré à l'AFP, en citant les "abus des employeurs" et "les plans sociaux qui tombent". "Mon avenir est en danger", s'est inquiété Maxime, 15 ans, dont deux de "gilet jaune". "Je défile contre la violence policière", a-t-il ajouté.

16h16: Au moins trois voitures sont en feu selon les images diffusées par les chaînes d'information, en direct depuis Paris. Une vitrine d'une agence immobilière de l'avenue Gambetta, dans le 20e arrondissement, a été cassée et des jets de pétards ont également été constatés le long du cortège qui est parti à 14 heures de la Porte des Lilas en direction de la place de la République.

16h11: Un barrage a été formé avenue Gambetta à Paris avec de plus en plus de casseurs et des vitrines cassées

 

15h51: Les forces de l'ordre reçoivent de très nombreux projectiles alors qu(au moins une centaine de black bloc sont repérés par les autorités à cette heure

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15h36: La situation est en train de dégénérer à Paris avec des affrontements au milieu de la manifestations alors que jusque là tout se déroulait dans le calme. Plusieurs individus masqués attaque les forces de l'ordre qui ripostent. Les forces de l'ordre sont présentes en nombre pour encadrer la manifestation et éviter les débordements.

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14h01: A Toulouse, le cortège de plusieurs milliers de manifestants arrive à destination. Un autre rassemblement interdit par la préfecture est prévu à 17h, à côté du Capitole.

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13h45: D'après la police, 1200 personnes se sont rassemblées à Rennes, place Charles de Gaulle à l'occasion de la manifestation "pour les droits sociaux et la liberté" et contre l'article 24 de la loi "sécurité globale". Sur son compte Twitter, la police fait état de "jets de projectiles à l'encontre des forces de l'ordre. Des gaz lacrymogènes ont dû être utilisés" au niveau de la d'Isly, secteur interdit à la manifestation par la préfecture.

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11h51: Certaines villes craignent de nouveaux débordements violents. A Bordeaux et Montpellier, les préfets ont ainsi interdit tout cortège dans l'hypercentre. A Lyon, la manifestation n'est autorisée que sur la rive gauche du Rhône. Les "marches des libertés" de ce samedi ont été rebaptisées "des libertés et des justices", car elles vont souvent se tenir "en convergence avec les actions menées dans le cadre de la journée nationale contre le chômage et la précarité".

11h12: A Paris, un premier rassemblement a eu lieu dans la matinée, devant la Préfecture de police. Une cinquantaine de personnes, pour l'essentiel des "Gilets jaunes", ont demandé vers 10h30 une hausse du pouvoir d'achat et la destitution d'Emmanuel Macron. Jean Christian Valentin, membre des GJ Paris et co-organisateur du rassemblement, a qualifié de "scélérate" la loi sécurité globale. "On se battra toutes les semaines pour que cette loi soit retirée", a-t-il lancé.

Samedi dernier, les "marches" organisées par la "coordination #StopLoiSécuritéGlobale", un collectif de multiples syndicats et associations, dont plusieurs organisations de journalistes, ont fortement mobilisé dans le pays: entre 133.000 personnes, selon le ministère de l'Intérieur, et 500.000 selon les organisateurs.

07h45: la mobilisation en cours contre la loi "sécurité globale" convergera samedi avec celle prévue contre la précarité, maintenant la pression sur l'exécutif. Près de 90 rassemblements sont annoncés par les organisateurs dans les villes, grandes et moyennes, de France. A Paris, la manifestation partira à 14h00 de la Porte des Lilas en direction de la place de la République, sous surveillance après les heurts de samedi dernier près de la Bastille.

Initialement prévue comme un rassemblement syndical contre la précarité, la journée de samedi voit s'agréger la contestation contre les violences policières et la loi sécurité globale. Le texte est accusé par ses détracteurs de porter atteinte "à la liberté de la presse, à la liberté d'expression et à la liberté de manifester", et aussi d'instaurer "des outils de surveillance de masse". La défiance à son encontre a été renforcée par le tabassage filmé du producteur de musique Michel Zecler par des policiers.

Samedi dernier, les "marches" organisées par la "coordination #StopLoiSécuritéGlobale", un collectif de multiples syndicats et associations, dont plusieurs organisations de journalistes, ont fortement mobilisé dans le pays: entre 133.000 personnes, selon le ministère de l'Intérieur, et 500.000 selon les organisateurs.

Face à cette colère, le gouvernement n'a à ce jour annoncé qu'une concession: la réécriture de l'article 24, le plus polémique, encadrant l'image des policiers. La coordination réclame son retrait pur et simple, avec les articles 21 et 22 du texte, et conteste le "nouveau schéma national du maintien de l'ordre (SNMO)" qui limite la couverture médiatique des manifestations. 

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Vos réactions

Portrait de Antivirus
6/décembre/2020 - 08h33
Papeau a écrit :

Monsieur le Premier ministre,

pourquoi vous imposez à l'honnête citoyen de ne pas sortir plus de 3h dans un rayon de 20 Km du domicile, ou de ne pas faire des groupes à plus de 6 personnes, alors que vous autorisez chaque semaine les manifestations de rue sans limitation de personnes ?  

Comme vous autorisez les manifestations de rue, quelle case faut-il cocher sur l'attestation de sortie ? 

 

les manifs, ça s'appelle la liberté d'expression. Déjà qu'on n'a plus le droit de rien faire, manquerait plus qu'on n'ait plus le droit de s'exprimer !! Ça s'appellerait une dictature. Pour l'autorisation, elle se trouve sur internet, il suffit de taper "autorisation manifestation" dans Google et vous la trouvez

Portrait de popeye55
5/décembre/2020 - 20h06

Quand est-ce que  l'on va mettre Mélencon en prison ?

Portrait de Jilou1994
5/décembre/2020 - 19h35

On a le pays que l'on mérite. On vote pour des mous du genou, des sentimentaux, et voilà le résultat. Nous pouvons être certains que cela va devenir encore plus violent.   

Portrait de hamilton
5/décembre/2020 - 19h32
LeGaulois a écrit :

Au lieu de radoter en vous en prenant encore une fois au préfet Lallement, ouvrez les yeux et prenez-vous en à votre gourou Mélenchon !!

Et on vous a déja expliqué à de multiples reprises que c'est Lallemend et non Allemand ! Décidément, vous faites parti des moins de 70 ! Et je ne parle pas d'âge mais de QI.

Votre seul but ici est de créer la haine. 

Vous etes dur avec le légume du jour !

Au depart il me faisait rire, mais en fait et après quelques temps, le spectacle qu'il donne me ferait presque de la peine pour lui.Etre connecté ici du matin au soir, a radoter sans cesse les mêmes choses avec les mêmes mots, a poster des posts volontairement provocateurs, a les remonter sans cesse si personne ne réagit, tel le sale gosse un peu simplet, qui gesticule et grimace devant des adultes en espérant enfin qu'on s’intéresse à lui, c'est un bien triste spectacle qui résulte certainement d'une bien triste vie.En plus, comble de malchance, on a greffé à ce sale gosse un logiciel vieux de 50 ans et qui n'a manifestement jamais été mis à jour depuis !! Bref, plutôt un bien triste spectacle à contempler en fait ! smiley

Portrait de nataflo1
5/décembre/2020 - 18h21

Pauvres commerçants!!!!!

Portrait de Libellule65
5/décembre/2020 - 17h47 - depuis l'application mobile

Et alors.... que devrait faire Macron ? Envoyer l’armée? Demander aux policiers d’user de la force pour faire cesser ce merdier ? Ha ha ha.... je vois déjà les titres des journaux demain et les vidéos qui circuleront sur les réseaux sociaux: scandaleux... dictature... gouvernement de m..... flics assassins...etc.... Aux armes citoyens, ne nous laissons pas faire ! Et hop, ça repart pour un tour. Et je ne parle même pas de ceux qui, pendant cette pandémie, se sentent brimés parce qu’ils doivent porter des masques, parce qu’ils ne peuvent pas aller skier, qui imaginent on ne sait quel complot inventé par on ne sait qui pour les priver de leur liberté..... ce monde me fatigue ! Une chose est claire, nous ne sommes pas prêts de sortir de cette galère avec ces innombrables crétins !!!

Portrait de Manchester1
5/décembre/2020 - 17h31

Pauvre France, le pays a besoin d'une vraie autorité....et d'une vraie justice pour ces voyous

Portrait de darkosy
5/décembre/2020 - 17h27
francaz33 a écrit :

dans mon pays les policiers ou les militaires tirent sur les manifestants avec de vrais balles et on est vite debarrassé de cette racaille vous les francais vous etes  vraiment des nuls de laisser sacager tous ces magasins et les voitures ne vous laissez pas faire tirez sur ces voyous

 

Je crois bien que c'est la seule solution pour arriver à bout de ce merdier.

Portrait de hummerH2
5/décembre/2020 - 16h59
LOIC 33 a écrit :

La police devrait utiliser des fusils à flèches tranquilisantes comme le font les vétos ou les maquignons, ces racailles seraient neutralisées et au trou direct....

Au risque de choquer certains, je dois avouer qu'a titre personnel , je ne serai pas choqué du tout le jour ou je verrai un gouvernement répondre a ces véritables actes de guerre, par une réponse équivalente .

Les casseurs et autres violents d'ultra gauche seraient prévenus à l'avance que la récréation est finie, et qu'en cas de tels actes, la réponse se fera dorénavant par tir à balles réelles.

Quelques blessés et malheureusement quelques morts seraient à déplorer, ce qui sera bien triste !! , mais à mon avis, les "courageux casseurs" et autres "ultra violents en bandes organisées" seraient comme par enchantement beaucoup, beaucoup, beaucoup moins nombreux par la suite, voir disparus pour longtemps !

Si c'est le prix à payer avant de sombrer dans la chienlit totale...  je ne pleurerais pas sur leur sort !

Portrait de Libellule65
5/décembre/2020 - 16h53 - depuis l'application mobile

Magnifique ! Oui, vraiment... quel pays de fous !!! Quel exemple ! C’est très français ça, comparé aux 3/4 des pays au monde, nous avons le cul bordé de nouilles, oui oui.... allez donc voir ailleurs et vous verrez ! Et malgré cela on râle tout le temps, on se rebelle, on casse tout.... Allez donc vivre en Amérique du sud, dans certains pays d’Asie, en Afrique.... et vous verrez combien vous êtes gâtés ! Mais finalement, c’est peut-être ça le problème ? Marre de tous ces co.....

Portrait de francaz33
5/décembre/2020 - 16h33

dans mon pays les policiers ou les militaires tirent sur les manifestants avec de vrais balles et on est vite debarrassé de cette racaille vous les francais vous etes  vraiment des nuls de laisser sacager tous ces magasins et les voitures ne vous laissez pas faire tirez sur ces voyous

Portrait de Alexdelouest
5/décembre/2020 - 16h16
LOIC 33 a écrit :

La police devrait utiliser des fusils à flèches tranquilisantes comme le font les vétos ou les maquignons, ces racailles seraient neutralisées et au trou direct....

Pour que Jupiter vienne pleurer à la violence policière dans les médias ?

Portrait de Alexdelouest
5/décembre/2020 - 16h15

Macron se félicite d’une si belle manifestation ! Après tout, c’est ce qu’il souhaite, lui qui est profondément ACAB.

Il se murmure même qu´un conseil de défense sur les violences policières vient d’être appelé en urgence ! 

Portrait de LOIC 33
5/décembre/2020 - 16h13

La police devrait utiliser des fusils à flèches tranquilisantes comme le font les vétos ou les maquignons, ces racailles seraient neutralisées et au trou direct....

Portrait de jarod.26
5/décembre/2020 - 15h47 - depuis l'application mobile

Quelle surprise ça déborde

Portrait de supbernard
5/décembre/2020 - 13h28

Marre de ces cons de manifestants

Moi.cet après-midi je sote la femme d un manifestant 

Pas con supbernard

Portrait de Jiben79
5/décembre/2020 - 11h24

Et ce sont ces mêmes personnes qui pleureront quand on aura un reconfinement en janvier.....