03/11/2020 19:11

Election US - C'est le jour du vote et l'incertitude est totale entre Donald Trump et Joe Biden

19h11: Près de 100 millions d'Américains ont déjà voté de manière anticipée pour l'élection présidentielle, selon la base de données "US Elections Project" de l'Université de Floride. Le compteur affichait 99.657.079 "votes anticipés" mardi à 16h30 (heure belge). Selon le programme, 63.936.249 électeurs ont voté par correspondance et 35.720.830 ont voté en personne. Certains États ne font pas de différence entre les deux méthodes.

17h15: Le point sur la situation

Des dizaines de millions d’Américains se pressaient mardi vers les bureaux de vote pour départager Donald Trump et Joe Biden lors d’une présidentielle historique, dans un pays divisé à l’extrême.

Malgré un bilan plombé par la pandémie, le président républicain a assuré avoir une «très solide chance de gagner» quatre ans de plus à la Maison Blanche, lors d’un entretien sur la chaîne Fox News au petit matin.

Donald Trump a par ailleurs semblé vouloir tempérer les inquiétudes selon lesquelles il pourrait déclarer victoire avant l’annonce de résultats officiels dans les Etats. Interrogé sur le moment où il se déclarerait gagnant, il a répondu: «seulement lorsque nous aurons une victoire. Il n’y a aucune raison de tirer des plans sur la comète».

Armé de son indéniable énergie sur les estrades, le milliardaire de 74 ans s’est démultiplié ces derniers jours et mise sur l’ardeur de ses partisans, chauffés à blanc par une campagne d’une agressivité inouïe, pour créer la surprise, comme en 2016.

Favori des sondages depuis des mois, Joe Biden, 77 ans, ancien vice-président de Barack Obama, mise lui sur le rejet que suscite son rival auprès d’une large partie de l’électorat pour décrocher les clés de la Maison Blanche.

«J’ai le sentiment que nous allons vers une large victoire», a-t-il lancé lundi soir à Pittsburgh, où il avait débuté sa campagne il y a dix-huit mois.

Après une visite dans une église de son fief de Wilmington (Delaware), il s’est recueilli mardi matin sur la tombe de ses proches avant de mettre le cap, à nouveau, sur l’Etat de Pennsylvanie, qui détient peut-être la clé du scrutin.

Donald Trump se rendra lui dans un QG de campagne du parti républicain à Arlington, pour sa dernière sortie publique d’une campagne bouleversée par l’épidémie de Covid-19, qui a fait plus de 230.000 morts aux Etats-Unis.

Malgré une température proche de zéro, des New-Yorkais patientaient pour glisser leurs bulletins dès l’ouverture des bureaux, à 06H00 (11H00 GMT). «Ca fait quatre ans que j’attends, je veux en finir avec ce cauchemar», lançait un quinquagénaire, préférant ne pas donner son nom.

A l’inverse, Lynn Gionte, 60 ans, espérait une «vague» républicaine. Croisée la veille à un meeting de Donald Trump en Pennsylvanie, elle assurait ne jamais avoir vu un tel «engouement» pour un président.

Au moment où certaines villes se préparent à d’éventuels débordements violents, l’Amérique donne au monde l’image d’un pays scindé en deux blocs qui ne se parlent plus.

Pendant des mois, Donald Trump a agité le spectre d’une «gauche radicale» prête à transformer la première puissance mondiale en un «Venezuela à grande échelle». «S’ils gagnent, notre pays ne sera plus jamais le même», a-t-il encore lancé mardi sur Fox News.

Les démocrates, Joe Biden et Barack Obama en tête, multiplient eux les mises en garde contre les conséquences potentiellement dévastatrices sur les institutions démocratiques d’un second mandat Trump.

Le scrutin oppose deux hommes radicalement différents.

D’un côté, un héritier de New York, magnat de l’immobilier passé par la téléréalité avant de faire irruption en politique avec un message populiste, «l’Amérique d’abord», et qui continue de se présenter en «outsider».

De l’autre, un vieux routier de la politique issu des classes moyennes -- au compteur, 36 années comme sénateur puis huit de plus comme vice-président -- qui promet de panser les plaies d’un pays meurtri en remportant «la bataille pour l’âme de la nation».

Ce modéré s’est imposé aux primaires de son camp avec un message simple: battre Donald Trump, étrillé comme «le pire président» de l’histoire récente des Etats-Unis. Peu à peu, il a aussi fait de l’élection un référendum sur la gestion de la pandémie par le républicain.

Ce dernier n’a lui cessé d’être rattrapé par cette crise sanitaire qu’il s’est toujours efforcé de minimiser.

Jusqu’à être lui-même contaminé et hospitalisé, début octobre. «Je suis guéri» et «immunisé», martèle-t-il depuis.

La participation s’annonce historiquement élevée, avec près de 100 millions d’électeurs qui ont déjà voté par anticipation avant mardi -- par courrier ou en personne --, soit plus de 70% du nombre d’électeurs total de 2016.

Les démocrates avaient appelé à voter en amont en raison du virus, et il faudra voir si les républicains, plus enclins à se déplacer aux urnes le jour-même, seront au rendez-vous.

L’accumulation record de votes par courrier, qui dans certains Etats pourront affluer plusieurs jours après mardi, risque aussi de compliquer le dépouillement, voire retarder l’annonce d’un vainqueur si le résultat est serré. «Dès que l’élection sera terminée, nos avocats seront prêts», a prévenu Donald Trump.

Pour l’emporter, un candidat n’a pas besoin d’être majoritaire en voix au niveau national: il doit obtenir au moins 270 des 538 grands électeurs attribués au niveau des Etats.

Mardi soir, dans un premier temps, tous les regards seront braqués sur la Floride, qui a promis d’afficher la couleur dès la nuit électorale. Sans cet Etat qu’il avait gagné en 2016, c’est mission quasi-impossible pour Donald Trump.

En revanche, s’il parvient à conserver la Floride, où il est au coude-à-coude avec Joe Biden dans les sondages, l’attention se déplacera vers la Pennsylvanie, l’Etat natal du démocrate. Là, les intentions de vote sont un peu plus favorables à l’ancien vice-président, mais avec un écart proche de la marge d’erreur.

14h44: Donald Trump a assuré mardi avoir "une très solide chance de gagner" la présidentielle, lors d'un entretien accordé à la chaîne Fox le jour même de l'élection.

Le président républicain, que les sondages placent derrière son rival démocrate Joe Biden, a estimé que "les foules incroyables" présentes à ses meetings allaient "se traduire" par des votes en sa faveur et créer la surprise comme en 2016.

"On va gagner très largement au Texas, en Floride, en Arizona. Je pense que les résultats seront très bons pour nous en Caroline du Nord", a-t-il encore prédit, en référence à plusieurs Etats où les résultats pourraient être serrés. Les résultats "seront bons en Pennsylvanie", a-t-il ajouté, un peu plus prudent.

14h03: Les premiers bureaux de vote ont ouvert à New York, dans le New Jersey, le Connecticut, la Virginie et le Maine.

12h15: Le point sur ce que l'on sait à la mi-journée

Donald Trump a balayé lundi les sondages qui le placent derrière son rival Joe Biden, affichant une confiance inébranlée à la veille d'une élection aux allures de référendum sur sa présidence hors norme.

Après quatre années tumultueuses, les Etats-Unis "en ont assez du chaos", a martelé son adversaire démocrate, qui dit se battre pour restaurer l'"âme" de l'Amérique. "Il est temps de se relever et de reprendre le contrôle de notre démocratie", a lancé l'ancien vice-président de Barack Obama à la fin de son discours depuis Pittsburgh. C'est dans cette ville de Pennsylvanie (Etat remporté sur le fil par Donald Trump en 2016) qu'il avait débuté sa campagne il y a 18 mois.

Les deux septuagénaires, aussi différents sur la forme que sur le fond, sont engagés dans un sprint final après une campagne abrasive qui a renforcé la fracture entre deux Amériques aux antipodes. Fragilisé par une recrudescence de la pandémie de Covid-19, Donald Trump se démultiplie pour faire mentir les sondages et créer la surprise, comme il l'avait fait en 2016.

"Demain, nous allons gagner quatre ans de plus à la Maison Blanche", a-t-il lancé devant des partisans en Caroline du Nord. "Comme ça, on pourra finir le travail entamé", a-t-il ajouté quelques heures plus tard dans le Michigan. Comme en pied-de-nez, il s'est entre-temps rendu à Scranton, la ville natale de son rival démocrate, qu'il a accusé d'être "endormi", mais aussi "agité", "corrompu", "contrôlé par les grands médias"...

Joe Biden continuera sa campagne dans cet Etat jusqu'à la dernière minute, avec des interventions prévues mardi à Scranton et Philadelphie, une démarche légale mais inhabituelle. De son côté, Donald Trump a indiqué qu'il se rendrait mardi à son QG de campagne, situé en Virginie.

Près de 100 millions d'Américains ont déjà voté par anticipation, en personne ou par correspondance, pour éviter les bureaux de vote bondés en pleine pandémie. Depuis des semaines, Donald Trump critique cette option, l'accusant sans preuve de favoriser la fraude électorale.

Le président, qui craint de devenir le premier à ne pas être réélu depuis un quart de siècle, entretient le flou sur la position qu'il adoptera en cas de défaite, ce qui suscite l'anxiété dans le pays. "Dès que l'élection sera terminée, nos avocats seront prêts", a-t-il notamment déclaré dimanche, laissant entrevoir la possibilité d'une longue bataille judiciaire.

Signe de la tension qui règne à l'issue d'une campagne d'une agressivité inouïe, des commerces dans plusieurs villes américaines, dont New York et Washington, se barricadaient par crainte de manifestations violentes. Les derniers sondages placent le démocrate confortablement en tête dans plusieurs Etats décisifs remportés par le républicain en 2016, comme le Wisconsin et le Michigan, mais sa marge est un peu plus étroite en Pennsylvanie et les deux candidats sont au coude-à-coude en Floride.

Les observateurs répètent leurs appels à la prudence, pointant le scrutin de 2016, lors duquel Donald Trump avait créé l'une des plus grandes surprises de l'histoire politique américaine en battant Hillary Clinton. Singularité du système américain: ce sont les grands électeurs, et non le vote populaire, qui font l'élection. En 2016, Donald Trump avait recueilli près de trois millions de voix de moins qu'Hillary Clinton, mais avait remporté la majorité des 538 grands électeurs.

L'ancien président Barack Obama, très présent dans cette dernière ligne droite, a encore soutenu lundi la candidature de celui qui fut son vice-président pendant huit ans. Donald Trump "n'a jamais pris au sérieux" sa fonction et a "utilisé la présidence comme un show télévisé pour attirer l'attention sur lui", a-t-il taclé depuis Miami en Floride, appelant une nouvelle fois les électeurs à se rendre aux urnes massivement. "On ne peut pas laisser de place au doute", a-t-il estimé.

09h50: Les cinq électeurs de Dixville Notch, un hameau de douze habitants du nord-est des Etats-Unis, ont lancé symboliquement l’élection présidentielle mardi à minuit, en votant à l’unanimité pour le démocrate Joe Biden.

Ce village perdu dans les forêts du New Hampshire, près de la frontière canadienne, a perpétué une tradition établie depuis 1960, qui lui vaut le titre de « First in the Nation » (Premier du pays).

Hormis le village voisin de Millsfield qui votait également dans la nuit, la plupart des bureaux de vote de la côte est ouvriront à 06H00 (11H00 GMT) ou 07H00 (12H00 GMT) mardi. Un troisième village de la région, qui suivait la même tradition, a annulé le vote nocturne à cause de la pandémie de coronavirus.

Le scrutin n’a pris que quelques minutes, comme le dépouillement et l’annonce des résultats: 5 votes pour M. Biden, aucun pour le président républicain Donald Trump, qui brigue un second mandat.

Les Otten, « un électeur républicain depuis toujours », a affirmé qu’il voterait pour le démocrate Joe Biden.

« Je ne suis pas d’accord avec lui sur beaucoup de sujets mais je pense qu’il est temps de trouver ce qui nous unit, pas ce qui nous divise », a-t-il dit dans un message diffusé sur le compte Twitter du village.

Les lois électorales de ce petit Etat du Nord-Est permettent aux municipalités de moins de 100 habitants d’ouvrir leurs bureaux de vote dès minuit et de pouvoir les fermer lorsque l’ensemble des personnes inscrites sur les listes électorales ont accompli leur devoir civique.

Mais le fait d’être le premier ne fait pas de Dixville Notch un oracle: en 2016, la candidate démocrate Hillary Clinton y avait battu Donald Trump, qui l’avait finalement emporté.

07h04: Les réseaux sociaux Facebook et Twitter ont signalé,  un message de Donald Trump sur le vote anticipé dans l'Etat-clé de Pennsylvanie, l'accusant d'être "trompeur". Dans la soirée, le président républicain a publié un tweet où il qualifie de "très dangereuse" la décision la semaine dernière de la Cour suprême sur le vote anticipé en Pennsylvanie. La plus haute juridiction américaine a autorisé cet Etat à comptabiliser jusqu'à trois jours après l'élection les bulletins envoyés par courrier, alors qu'elle avait été saisie par les républicains, qui craignent que le vote anticipé leur soit défavorable.

Dans son tweet, Donald Trump, qui agite régulièrement, sans preuve, la menace d'une fraude électorale de masse lors du vote anticipé a affirmé que cette décision "minerait tout le système juridique américain" et "provoquerait de la violence dans les rues". Sur la page Twitter du président, le message n'est plus visible immédiatement, et il faut volontairement cliquer dessus pour l'afficher.

"Une partie ou la totalité du contenu partagé dans ce Tweet est contestée et susceptible d'être trompeuse quant au mode de participation à une élection ou à un autre processus civique", a écrit le réseau à l'oiseau bleu à côté de ce tweet, ajoutant un lien expliquant la sûreté du vote anticipé.

Twitter a déjà signalé des messages du président qu'il considérait comme "trompeurs" ou faisant l'"apologie de la violence". Sur la page Facebook du président le message est toujours visible, mais le réseau de Mark Zuckerbeg, accusé de ne pas avoir fait assez pour lutter contre la désinformation en ligne en 2016, a ajouté l'explication suivante: "Le vote en personne et le vote par correspondance font preuve depuis longtemps d'une grande fiabilité aux États-Unis. La fraude électorale est extrêmement rare, peu importe le type de vote".

06h28: Donald Trump a dénoncé lundi, à la veille de l'élection présidentielle, les sondages "bidons" qui le placent derrière son rival Joe Biden, affichant sa confiance dans une victoire. "Demain, nous allons gagner quatre ans de plus à la Maison Blanche", a-t-il lancé devant des partisans réunis à Fayetteville en Caroline du Nord, pour le premier de cinq meetings en cette ultime journée de campagne.

06h02: Joe Biden se concentre essentiellement sur la Pennsylvanie, remportée en 2016 par Donald Trump avec une avance de seulement 44.000 voix. A 77 ans, le démocrate a mené une campagne discrète, mettant un point d'honneur à respecter scrupuleusement les consignes des autorités sanitaires pour éviter de propager le Covid-19, qui a fait plus de 230.000 morts aux Etats-Unis. Il a encore une fois pris lundi le contrepied du président républicain, lequel a laissé entendre qu'il pourrait limoger l'immunologue respecté Anthony Fauci, de plus en plus critique envers la stratégie gouvernementale. "J'ai une meilleure idée", a dit Joe Biden. "Elisez-moi et je vais embaucher le Dr Fauci et virer Donald Trump!"

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Vos réactions

Portrait de labalance7000
4/novembre/2020 - 03h06

suivez l'élection minute par minute mdr plus aucune info depuis 19h11 !!!

Portrait de Lepton
3/novembre/2020 - 20h24
Alekine_Brun a écrit :

1614? 1714? 2014? 

On peut toujours trouver un truc mais c'est plutot calme.

 

Même la 13° génération, il a fallut tricher pour la trouver.

1914 smiley

Portrait de Lepton
3/novembre/2020 - 20h13
Alekine_Brun a écrit :

Non, pas celui-là. La moitié ne valent pas un pets de lapin.

Le nom des assassins ont le même nombre de lettre. Sauf que on appelait bien John Wilkes Booth pour le différencier avec son frère et je crois un autre John Booth alors qu'on n'a jamais appelé lee harvey Oswald, on disait Lee Oswald.

Quand aux secrétaires, ce n'est pas prouvé.

Et ce n'est que ce dont je me souviens.

En fait, on pourrait trouver autant de coïncidences entre moi et Macron qu'en Kennedy et Lincoln. 

Il y a une série d'années noires en France (avec un numéro maudit)  ,c’était vers le règne de Philippe le Bel vers 1314 ...les années se terminant par 14..

Portrait de Lepton
3/novembre/2020 - 19h51
lucieat a écrit :

Si j'étais candidat, je ne serais pas trop tranquille. Rappelez vous la malédiction de Tecumseh le chef indien, il avait prédit à WH Harrison qui commandait l'attaque de son village que les présidents élus les années divisibles par 20 mourraient pendant leur mandat de mort violente : WH Harrison a été élu en 1840, il est mort en 1841, A Lincoln élu en 1860 est assassiné en 1865, J Garfield, élu en 1880 est mort en 1881, W McKinley élu en 1900 est mort en 1901, WG Harding, élu en 1920, mort en 1923, T Roosvelt élu en 1940 est mort en 1923, JF Kennedy élu en 1960 assassiné en 1963, R Reagan, élu en 1980 : tentative d'assassinat en 1981, sauvé par les progrès de la science, il semblerait que de n'être pas mort aurait annulé la malédiction, car GW Bush élu en 2000, n'est pas mort pendant son mandat, bien qu'il y ait eu tentative d'assassinat, mais plus de 2000 personnes sont mortes dans le World Trade Center à sa place en 2001... Le prochain, élu en 2020...combien de temps tiendra t-il ? compte tenu de l'animosité qu'il y a dans le pays entre les deux clans, Trump lui même a fait un commentaire -douteux pour le moins - sur un possible assassinat de Biden s'il est élu. Recherchez sur le Net les articles sur cette fameuse malédiction, c'est assez troublant, tous les 20 ans, un président meurt assassiné et non entre

Tecumseh  c'est vrai c'était un descendants de Nostradamus.. On se demande même si ce n'était pas Nostradamus réincarné en Indien. On fait dire ce que l'on veut aux chiffres ..Il y a des coïncidences beaucoup plus troublantes . Tapez coïncidence entre Lincoln et Kennedy ..vous serez surprise.

Portrait de lucieat
3/novembre/2020 - 15h33

Si j'étais candidat, je ne serais pas trop tranquille. Rappelez vous la malédiction de Tecumseh le chef indien, il avait prédit à WH Harrison qui commandait l'attaque de son village que les présidents élus les années divisibles par 20 mourraient pendant leur mandat de mort violente : WH Harrison a été élu en 1840, il est mort en 1841, A Lincoln élu en 1860 est assassiné en 1865, J Garfield, élu en 1880 est mort en 1881, W McKinley élu en 1900 est mort en 1901, WG Harding, élu en 1920, mort en 1923, T Roosvelt élu en 1940 est mort en 1923, JF Kennedy élu en 1960 assassiné en 1963, R Reagan, élu en 1980 : tentative d'assassinat en 1981, sauvé par les progrès de la science, il semblerait que de n'être pas mort aurait annulé la malédiction, car GW Bush élu en 2000, n'est pas mort pendant son mandat, bien qu'il y ait eu tentative d'assassinat, mais plus de 2000 personnes sont mortes dans le World Trade Center à sa place en 2001... Le prochain, élu en 2020...combien de temps tiendra t-il ? compte tenu de l'animosité qu'il y a dans le pays entre les deux clans, Trump lui même a fait un commentaire -douteux pour le moins - sur un possible assassinat de Biden s'il est élu. Recherchez sur le Net les articles sur cette fameuse malédiction, c'est assez troublant, tous les 20 ans, un président meurt assassiné et non entre

Portrait de hummerH2
3/novembre/2020 - 12h32
KenShiro a écrit :

Que j'aimerais une victoire surprise pour la seconde fois de Trump. Ce serait d'une sublime délectation supplémentaires.

Le match que l'on disait plié semble pour finir bien plus sérré. Il y en a qui doivent avoir le sphincter serré, comme Barthés de l'émission Quotidien. smiley

Il y en a qui semblent y croire dur comme fer !!!

Selon le journal The Sun, un mystérieux homme d'affaires britannique aurait parié cinq millions de dollars sur une victoire de l'actuel locataire de la Maison Blanche contre son adversaire démocrate Joe Biden.

Avec une cote actuellement à 37/20 pour une victoire de Donald Trump, si le président des Etats-Unis était réélu, ce joueur empocherait un chèque de 15 millions de dollars !

C'est encore mieux que le casino !! smiley

Portrait de aeronautica
3/novembre/2020 - 12h26
hummerH2 a écrit :

Il est vrai que des le lendemain de l’élection de Trump, et chaque jour durant les 4 ans de son mandat, les Democrates ont démontrés qu'ils avaient acceptés leur défaite avec fairplay !

Comme vous dites !!!

Portrait de hummerH2
3/novembre/2020 - 10h25
Angelussauron a écrit :

Si défaite il y a pour lui, il l'acceptera jamais. Donc il fera monter la colère de ces partisans et des suprémacistes blancs qui eux sont armés en grande majorité. On pourrait assister à des manifestations très violentes et meurtrières.

Il est vrai que des le lendemain de l’élection de Trump, et chaque jour durant les 4 ans de son mandat, les Democrates ont démontrés qu'ils avaient acceptés leur défaite avec fairplay !

Portrait de preshovich
3/novembre/2020 - 10h10

incertitude totale non. Sauf grande surprise c'est Biden.

Portrait de Tony satch
3/novembre/2020 - 10h10 - depuis l'application mobile
Angelussauron a écrit :

Si défaite il y a pour lui, il l'acceptera jamais. Donc il fera monter la colère de ces partisans et des suprémacistes blancs qui eux sont armés en grande majorité. On pourrait assister à des manifestations très violentes et meurtrières.

@Angelussauron j’ajoute que beaucoup d’afro-américains et de sud américains votent pour lui, je rappelle que Trump a mis fin à la guerre en Syrie et n’a pas fait de guerres pendant son mandat contrairement à son prédécesseur le gentil Obama. Ce sont les démocrates qui mettent de l’huile sur le feu en créant des divisions, je ne suis pas fan de Trump mais les médias font de la propagande, c’est tellement flagrant, en France pareil...

Portrait de Angelussauron
3/novembre/2020 - 08h58

Si défaite il y a pour lui, il l'acceptera jamais. Donc il fera monter la colère de ces partisans et des suprémacistes blancs qui eux sont armés en grande majorité. On pourrait assister à des manifestations très violentes et meurtrières.