19/10/2020 21:02

Coronavirus: Le marché de Noël des Tuileries qui devait avoir lieu de novembre à janvier à Paris est annulé à cause de la crise sanitaire

21h02: Selon les derniers chiffres publiés par Santé publique France ce lundi soir, plus de 2 000 personnes (2 090 patients) se trouvent désormais dans les services de réanimation pour une infection Covid-19. Au cours des dernières 24h, 269 nouveaux malades ont été admis en réanimation (contre 147 dimanche) et sur les sept derniers jours, ce sont 1 441 qui y ont fait leur entrée.

18h24: Le marché de Noël des Tuileries qui devait avoir lieu de novembre à janvier à Paris est annulé à cause de la crise sanitaire, a annoncé lundi l'association organisatrice Le Monde Festif. Ce grand marché, appelé "La Magie de Noël", devait prendre place comme l'an dernier dans le jardin des Tuileries, au centre de la capitale, avec une centaine de stands, une patinoire, des spectacles pour enfants et une grande roue.

15h48: Le ministère de la Santé a ouvert la voie à un déploiement plus large des tests antigéniques, plus rapides que les tests virologiques RT-PCR, en prenant un arrêté qui autorise sous condition leur remboursement par la Sécurité sociale pour des personnes présentant des symptômes.

Lors de son interview télévisée mercredi soir, Emmanuel Macron avait reconnu qu’« on a rencontré de vraies difficultés » sur les tests, avec des « délais qui étaient trop longs » à cause de laboratoires d’analyse débordés.

Dans la foulée du chef de l’Etat, qui a promis une nouvelle « stratégie » pour « réduire drastiquement les délais », le ministre de la Santé Olivier Véran a annoncé le lendemain qu’il espérait que « d’ici à quelques semaines une personne qui aurait de la fièvre avec des signes respiratoires puisse être testée directement chez son médecin » avec ces tests rapides.

Jusqu’ici, les tests antigéniques n’étaient autorisés que dans le cadre d’opérations collectives de dépistage, les personnes avec des symptômes en étaient exclues, et leur résultat devait être confirmé par un test RT-PCR.

Selon un arrêté publié samedi au Journal officiel, ils peuvent désormais être réalisés dans une « situation de dépistage individuel » par les médecins, pharmaciens ou infirmiers.

Ils peuvent être pratiqués sur des « personnes asymptomatiques, hors personnes contact ou personnes détectées au sein d’un cluster » ou sur des « personnes symptomatiques », mais seulement si un test RT PCR ne peut être obtenu avant 48 heures et si le test antigénique se déroule moins de quatre jours après les premiers symptômes.

14h28: Le Pays de Galles a annoncé l’instauration à partir de vendredi d’un confinement de deux semaines pour tenter de freiner la deuxième vague de l’épidémie de nouveau coronavirus, introduisant ainsi les restrictions les plus dures au Royaume-Uni.

A partir de 18H00 (17H00 GMT) vendredi, il sera demandé aux plus de trois millions d’habitants de la province britannique de « rester à la maison », a expliqué le Premier ministre gallois Mark Drakeford lors d’une conférence de presse, ajoutant que la durée de ce « pare-feu » est la plus courte qui puisse être introduite pour être efficace.

Les commerces non-essentiels devront fermer, conduisant à une situation comparable au confinement instauré au Royaume-Uni à partir du 23 mars lors de la première vague, et qui a été levé progressivement avant l’été.

La principale différence avec cette période est que les classes de primaire et certaines de secondaire reprendront la deuxième semaine de ce confinement, la première correspondant à des vacances scolaires.

Détaillant les mesures d’une décision « difficile », le dirigeant gallois a annoncé le déblocage de 300 millions de livres sterling (330 millions d’euros).

Une telle mesure est « notre meilleure chance de regagner le contrôle sur le virus et éviter un confinement plus long, qui ferait plus de dégâts », a-t-il ajouté lors d’une conférence de presse, soulignant le risque de submersion du système public de santé, le NHS.

Le Pays de Galles avait déjà introduit depuis vendredi dernier une interdiction d’entrée pour les personnes en provenance de zones avec une forte prévalence du virus ailleurs dans le pays.

Pressé par l’opposition travailliste et les scientifiques de mettre en place une mesure similaire pour l’Angleterre, le gouvernement de Boris Johnson résiste et défend son approche locale pour éviter un confinement national qu’il n’exclut pas cependant.

Plus de la moitié de la population anglaise, soit environ 28 millions d’habitants, vit actuellement sous des restrictions locales.

Les réunions entre famille et amis de différents foyers sont notamment interdites à l’intérieur, à Londres et dans d’autres zones de l’Angleterre classées par les autorités au niveau « élevé », deuxième échelon d’un système d’alerte qui en compte trois.

Depuis vendredi, l’Irlande du Nord (1,9 million d’habitants) a fermé pubs et restaurants pour quatre semaines, tandis que les vacances scolaires ont été prolongées à deux semaines.

Dans tout le Royaume-Uni, le virus a fait plus de 43.000 morts, plus que dans tout autre pays d’Europe.

14H00: Cafés et restaurants ont gardé portes closes lundi en Belgique, une restriction pour un mois jugée dramatique par ce secteur d’activité, et que le gouvernement a justifiée par l’envolée des infections et des hospitalisations liées au coronavirus.

« On ne sent pas considérés, et ça me fait mal au coeur (...) j’en peux plus », a lâché la voix brisée par l’émotion Angelo Bussi, un restaurateur bruxellois rencontré dimanche soir par l’AFP au moment où il accueillait ses derniers clients. « Responsables, cuisiniers, plongeurs, tout le monde souffre », a-t-il ajouté, alors que le secteur a déjà dû subir près de trois mois de confinement entre la mi-mars et début juin. Lundi matin, les enseignes pratiquant la vente à emporter ont pu ouvrir, notamment dans le quartier européen de Bruxelles, mais elles constituent l’exception.

Dès l’annonce vendredi des fermetures, qui se doublent d’un couvre-feu entre minuit et 5h00 du matin (à compter de lundi soir), des responsables du secteur avaient crié à la « catastrophe ». Le Premier ministre belge Alexander De Croo a annoncé vendredi soir la fermeture des cafés et restaurants pour quatre semaines en mettant en avant la croissance « exponentielle » de la pandémie dans ce pays de 11,5 millions d’habitants. Une évaluation de la mesure sera faite au bout de deux semaines.

12h45: Le point sur la situation à la mi-journée

Couvre-feu en Belgique, masque obligatoire dans les lieux fermés en Suisse, nouveau tour de vis en Italie: les restrictions se durcissent lundi en Europe pour tenter de freiner une puissante deuxième vague de la pandémie de Covid-19 qui a déjà fait 250.000 morts sur le Vieux Continent et contaminé 40 millions de personnes dans le monde.

Pour amortir l’impact économique colossal de cette crise, l’Europe compte sur son plan de relance de 750 milliards d’euros, dont le succès est jugé «crucial» par la présidente de la Banque centrale européenne Christine Lagarde.

De son côté, la Chine, où le virus était apparu en décembre, annonce que sa croissance a repris de la vigueur avec + 4,9% au troisième trimestre.

Plus de 40 millions de cas ont été officiellement recensés dans le monde, selon un comptage réalisé par l’AFP à partir de sources officielles lundi à 07H15 GMT.

Ce sont plus de 2,5 millions de cas qui ont été déclarés ces sept derniers jours, le bilan le plus élevé sur une semaine depuis le début de la pandémie. Avec plus de 8.000 morts recensés en sept jours, l’Europe connaît aussi son plus lourd bilan sur une semaine depuis la mi-mai.

En Belgique, cafés et restaurants sont désormais fermés pour quatre semaines et un couvre-feu entre ce lundi en vigueur de minuit à 05H00 pour endiguer la «montée en flèche» de l’épidémie.

Jusqu’à présent, la fermeture des cafés ne concernait que la région de Bruxelles, et seulement jusqu’à début novembre. En outre, les restaurants n’étaient pas concernés.

Vendredi, le pays de 11,5 millions d’habitants recensait près de 192.000 cas et 10.327 décès, ce qui en fait l’un des plus endeuillés d’Europe en proportion de sa population.

En Italie, le Premier ministre Giuseppe Conte a annoncé dimanche de nouvelles restrictions qui entrent en vigueur lundi pour les bars et restaurants, l’interdiction des fêtes et foires locales, très nombreuses dans le pays, et des sports collectifs amateurs (foot, basket, etc..), ainsi que l’extension du télétravail.

Les restaurants doivent désormais afficher leur capacité d’accueil maximale, fermer leurs portes au plus tard à minuit et accueillir au maximum six personnes par tablée. Les bars fermeront à 18H00 s’ils ne sont pas en mesure de servir leurs clients à table.

Les fonctionnaires seront à 75% en télétravail et le gouvernement conseille fortement aux entreprises privées de faire de même.

«Nous ne pouvons pas perdre de temps. Nous devons mettre en œuvre des mesures pour éviter un nouveau confinement généralisé qui pourrait mettre gravement en péril l’économie», a expliqué M. Conte.

L’Italie, qui jusque fin septembre avait fait figure d’exception vertueuse, affronte désormais une hausse inquiétante des contagions: elle a pour la première fois dépassé les 10.000 nouveaux cas quotidiens vendredi.

En Suisse, relativement épargnée par la première vague du printemps mais elle aussi confrontée à une hausse exponentielle des cas, le masque devient obligatoire dans les lieux publics fermés, gares, aéroports, arrêts de bus et de tram. Les rassemblements sont limités et le télétravail recommandé.

Avec 1.822 morts pour 8,6 millions d’habitants, la Suisse est le pays d’Europe où la maladie a progressé le plus vite la semaine passée (+146%).

En République tchèque, qui a le plus fort taux de contaminations et de décès pour 100.000 habitants en Europe, le gouvernement a demandé à l’armée de construire un hôpital de campagne de 500 lits à l’extérieur de Prague.

A Varsovie, le grand stade national va se transformer partiellement en hôpital provisoire pour des malades du Covid-19. Construit pour l’Euro-2012 de football, ce stade de près de 60.000 places utilisera ses nombreuses salles de conférence et polyvalentes situées sous ses gradins.

11h01: L’Arabie saoudite a ouvert dimanche aux fidèles le site le plus sacré de l’islam pour la première fois en sept mois, et a augmenté à 15.000 par jour le nombre de pèlerins autorisés pour la «omra» dans la ville sainte de La Mecque.

En Israël, crèches, écoles maternelles, parcs nationaux, plages et entreprises n’accueillant pas de public ont rouvert. Les 9 millions d’Israéliens peuvent désormais se déplacer à plus d’un kilomètre de leur domicile.

Au printemps, Israël avait rapidement levé un premier confinement, voulant relancer son économie, avant d’enregistrer en septembre l’un des plus forts taux de contamination au monde. Au total, les autorités y ont recensé plus de 302.800 malades et près de 2.200 décès.

10h17: Le port du masque sera obligatoire dès aujourd'hui dans les lieux publics fermés dans toute la Suisse, parmi d'autres mesures pour tenter d'endiguer la croissance «exponentielle» des cas. Cette obligation s’appliquera aussi dans les gares et les aéroports ainsi qu’aux arrêts de bus et de tram.

10h04: Plus de 40 millions de cas du nouveau coronavirus ont été officiellement recensés dans le monde, selon un comptage réalisé par l’AFP à partir de sources officielles lundi à 07H15 GMT.

Plus de 2,5 millions de cas ont été déclarés ces sept derniers jours, soit le bilan le plus élevé sur une semaine depuis le début de la pandémie.

Au total, au moins 40.000.234 cas, dont 1.113.896 décès, ont été déclarés. Plus de la moitié des cas se situent aux États-Unis, en Inde et au Brésil, les trois pays les plus touchés avec respectivement 8.154.935 cas (219.674 décès), 7.550.273 infections (114.610 morts) et 5.235.344 cas (153.905 décès).

La hausse des contaminations détectées peut s’expliquer en partie par la forte augmentation du nombre de tests réalisés dans un certain nombre de pays. Malgré cette augmentation, une part importante des cas les moins graves ou asymptomatiques reste probablement non détectée.

07h33: Le point sur la situation en ce lundi matin

L'Europe, confrontée à une puissante deuxième vague, a dépassé dimanche les 250.000 morts du Covid-19, amenant la Belgique à instaurer un couvre-feu lundi et l'Italie et la Suisse à annoncer à leur tour un nouveau durcissement des restrictions. Avec plus de 8.000 morts recensés en sept jours, l'Europe connaît son plus lourd bilan sur une semaine depuis la mi-mai et de nombreux pays tentent de se protéger en multipliant les mesures sanitaires.

En Belgique, cafés et restaurants ferment lundi pour quatre semaines et un couvre-feu entre en vigueur de minuit à 05H00 pour endiguer la "montée en flèche" de l'épidémie. Vendredi, le pays de 11,5 millions d'habitants recensait près de 192.000 cas de coronavirus et 10.327 décès, ce qui en fait un des pays européens les plus endeuillés par la pandémie rapporté à sa population.

En Italie, le Premier ministre Giuseppe Conte a annoncé dimanche une nouvelle série de restrictions concernant les bars-restaurants, l'interdiction des fêtes et foires locales et des sports collectifs amateurs, ainsi que l'extension du télétravail. Ces mesures "devront nous permettre d'affronter la nouvelle vague de contagions qui touche sévèrement l'Italie et l'Europe. Nous ne pouvons pas perdre de temps. Nous devons mettre en œuvre des mesures pour éviter un nouveau confinement généralisé qui pourrait mettre gravement en péril l'économie", a justifié M. Conte. Le gouvernement italien a débloqué dimanche 39 milliards d'euros supplémentaires pour tenter de relancer l'économie nationale. L'Italie, qui jusque fin septembre avait fait figure d'exception vertueuse en Europe, fait face désormais à une hausse inquiétante du nombre de contagions: elle a ainsi pour la première fois passé la barre des 10.000 nouveaux cas quotidiens vendredi.

La Suisse, relativement épargnée par la première vague du printemps mais confrontée à une hausse exponentielle de cas, rend pour sa part obligatoire lundi le port du masque dans les lieux publics fermés, gares, aéroports, arrêts de bus et de tram, restreint les rassemblements et recommande le télétravail. Déplorant 1.822 morts du Covid-19 pour 8,6 millions d'habitants, la Suisse est le pays d'Europe où la maladie a progressé le plus vite la semaine passée (+146%), selon un décompte de l'AFP.

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Vos réactions

Portrait de LesRipoublicains
21/octobre/2020 - 10h33

Certains médias comme LCI relèvent le nombre record de morts en une journée.

Comme d'habitude, les chiffres sont actualisés quand ça peut, et donc, ils ont attendu 5 jours avant de publier le nombre de morts en Ehpad d'un seul coup, ce qui gonfle anormalement les chiffres.

C'est très bien, car comme ça, on peut continuer à faire peur au peuple et à le maintenir sous cloche. Quoi de mieux qu'un climat anxiogène pour maintenir la chape de plomb sur la contestation qui gronde en sourdine dans le pays ? Le revers de la médaille, c'est qu'un jour, la cocotte minute explosera un peu plus fortement, à force de ne pas libérer la soupape.

Portrait de stbx00
19/octobre/2020 - 17h27
Razlebol a écrit :

Arrête de raconter n’importe quoi.

Tu n’a même pas lu l’étude. Étude dont tu ne parlais pas avant que je t‘en parle, il suffit juste d’aller voir sur les sujets CoVid sur ce blog.

Raoult a  "soigné" 3737 personnes, 673 ont été hospitalisées 35 sont morts, ça fait 5,4 %, vu que ceux qui n’ont pas eu son traitement ne POUVAIT PAS LE PRENDRE. C’est ce chiffre qu’il faut comparé au 4% et pas au 19% qui ne veulent pas dire grand chose. Sachant aussi qu’un premier tri avait été fait, et les cas les plus graves sont aller directement al’APHM.

Son chiffre de 3060 patients doit être comparé au plus de 3 millions de consultations des généralistes. Pour la France pendant la crise de mars, avril, le taux de létalité réel est estimé a 0,7%.

Si on applique ce taux aux nombre de cas positif, et au nombre de morts actuels, on voit que tout concorde. Donc les décès, les tests, les hospitalisations, tout semblé logique. Contrairement aux racontars de ceux qui nous chantaient que c’était fini fin de l’été. On les entends moins.

 

PhilRai balance systématiquement les mêmes chiffres biaisés sur chaque news Covid19. Je ne comprends pas cet acharnement à balancer des fake news. A chaque fois il est mis devant ses contradictions et pourtant il recommence... Quel est l'intérêt ?

Portrait de Oh Yes It's Good
19/octobre/2020 - 16h58

A propos de l'affirmation selon laquelle il y aurait de plus en plus de faux positifs, c'est-à-dire des personnes testées positives mais sans symptômes, voici une information qui vient contredire cela :

Selon Santé publique France, le nombre de personnes symptomatiques a sensiblement augmenté parmi celles testées positives.

La semaine du 4 octobre (semaine 41) 63 % des cas positifs étaient symptomatiques. Il dépassait à peine 50 % à la fin d'août.

A comparer avec d'autres périodes...! 

Portrait de Oh Yes It's Good
19/octobre/2020 - 14h52

@ PhilRAI

Sur le débat faux ou vrais positifs et Ct, moi je constate une chose : plus le nombre de cas positifs augmentent, plus le nombre d'hospitalisations et de réanimations augmentent. Il y a donc une tendance qui se vérifie depuis plusieurs semaines.

Mais puisque vous nous expliquez que tous les chiffres sont bidons, manipulés et inventés... (sauf ceux de Raoult, bien évidemment ). smiley 

Portrait de Oh Yes It's Good
19/octobre/2020 - 14h52
PhilRAI a écrit :

Oui, c'est bidon, sauf preuve du contraire à savoir l'affichage du CT.

Raoult donne toutes les informations qu'il faut, voir Outcomes of 3,737 COVID-19 patients treated with hydroxychloroquine/ azithromycin and other regimens in Marseille, France: A retrospective analysis

Ses résultats sont sans appel : Son taux de décès parmi les malades avérés est de 0,5% actuellement, 4% pour la France entière (19% en avril contre 0,6% pour Raoult) ! 

 

... parmi les malades avérés, certes, mais avec des symptômes légers. Il est donc normal que le taux de mortalité soit extrêmement bas, et il le serait sans traitement.

Les 4% France entière inclus des cas ayant une forme modérée ou grave de la maladie, là où le taux de décès grimpe, donc qu'il soit nettement plus élevé est tout à fait logique.

Vous avez reconnu dans un message précédent que les deux taux de mortalité (Raoult / France entière) n'étaient pas comparables, pourtant vous continuez à le faire.

Portrait de Oh Yes It's Good
19/octobre/2020 - 13h07
PhilRAI a écrit :

L'escroquerie continue !

Elle s'appuie sur des résultats de tests PCR sans aucune signification vu qu'on ne donne pas le nombre d'amplifications (le CT) et que passé 40 le nombre de faux positifs monte en flèche et peut aller jusqu'à 100 % de faux positifs. De plus il ne détecte que des morceaux d'ADN, impossible de savoir si le virus est vivant, mort ou s'il ne s'agit que de débris ni si le patient est malade. Les laboratoires refusent de donner ce CT. C'est la preuve qu'il y a une magouille pour ajuster le nombre de positifs en fonction des besoins.

Le % de positifs est donné en supprimant les cas qui ont déjà été testés une fois négatifs. Ce qui fait que mécaniquement le % de positifs augmente, c’est redoutablement efficace, plus il y a de négatifs répétés plus le taux de positifs monte. Je l’ai vérifié avec les chiffres officiels. Il y a une distinction entre le nombre de personnes testées (sans les négatifs répétés) et le nombre de tests réalisés.

Les patients hospitalisés pour n'importe quoi mais qui ont un test positif passent covid et donc rentrent dans la statistique covid alors même qu'il n'ont aucun symptôme et qu'ils ne sont pas hospitalisés pour cela. Idem pour les décès.

Enfin, le traitement qui guérit les patients existe, il est proposé entre-autres par Raoult à Marseille : Son taux de décès parmi les malades avérés est de 0,5% actuellement, 4% pour la France entière (19% en avril contre 0,6% pour Raoult) !  Voir aussi la vidéo du docteur Erbstein Un médecin généraliste témoigne. "Je ne pouvais pas les laisser mourir !". Mais ce traitement est soigneusement ignoré ou diabolisé, il permettrait de résoudre le problème en quelques semaines.

Les hôpitaux sont régulièrement saturés, depuis plusieurs années, le covid n’y est pour rien. D’ailleurs les hôpitaux s’arrangent toujours pour avoir un maximum de lits occupés pour éviter leur suppression.Les hôpitaux sont régulièrement saturés, depuis plusieurs années, le covid n’y est pour rien. 

 

Autrement dit : les cas positifs, c'est bidon (ce sont des faux positifs, les tests sont bidons) ; les hospitalisations, c'est bidon (on hospitalise de faux malades covid) ; les décès, c'est bidon (on comptabilise de faux malades covid).

Par contre chez Raoult, rien n'est bidon, tout est vrai :

- décès de 30 patients à partir du 4e jour de son traitement, patients aux symptômes initialement légers (hospitalisés en ambulatoire) qui se sont donc aggravés pendant le traitement) ;

- aucune indication sur le nombre de patients décédés pendant les 3 premiers jours de son traitement ;

- un taux de mortalité extrêmement bas qui n'est pas calculé d'après des cas initialement modérés ou graves, mais uniquement légers. Pas d'hospitalisations de longue durée à l'ihu, pas de service de réa, pas de malades graves en provenance du 112, bref l'IHU est un hôpital de jour) ;

- des études envahies de très nombreux biais, très orientées, qui ne permettent pas d'affirmer que son traitement fonctionne.

Alors, c'est dommage que vous voyiez beaucoup d'escroquerie d'un côté, et absolument pas de l'autre. smiley

Portrait de LesRipoublicains
19/octobre/2020 - 09h32

Formidables les déclarations "va-t-en guerre contre le COVID-19".

Il y a 3 semaines, le porte parole du gouvernement annonçait que le président Macron voulait voir le suivi des résultats du COVID-19 mis à jour en permanence.

Résultat, depuis la mise en place de ce nouveau suivi sur le site gouvernemental, bah, du samedi au dimanche soir, et même encore ce matin, toujours pas d'actualisation des chiffres du weekend !

Des effets d'annonce, des effets de manche, jamais suivis d'effets dans les faits !

Nous sommes en macronie, c'est sans doute ce qui explique cela, des amateurs aux commandes, qui prennent des décisions d'amateurs, et qui ont des résultats d'amateurs.