09/12/2019 19:13

Grève Jour 5 - Le Premier Ministre, Edouard Philippe sera au 20h de TF1 mercredi - Voici toutes les prévisions pour les transports publics pour demain en France

19h12: Le Premier ministre Edouard Philippe sera l'invité exceptionnel du JT de 20H de TF1 ce mercredi 11 décembre. Face aux interrogations des Français sur la réforme du système de retraites, Edouard Philippe répondra, en direct et en plateau, aux questions de Gilles Bouleau.

18h36: Certains conducteurs RATP des lignes 5 et 7 du métro parisien ont déjà reconduit l'arrêt du travail jusqu'à jeudi inclus. Ils n'attendent rien des annonces du gouvernement mercredi selon le Parisien. Le Premier ministre, Edouard Philippe, doit annoncer le détail de son projet en milieu de semaine. Les grévistes anticipent un «enfumage» et ne veulent pas des «miettes» qu’on leur jettera, selon eux. Une nouvelle AG est programmée jeudi. 

17h56: Jean-Paul Delevoye prend la la parole au Ministère de la santé :

"La priorité est que 1 euro cotisé donne les mêmes droits quelque soit le secteur privé, public ou député. 

Près de 130 réunions ont été tenues avec les différentes professions. Il y a un consensus pour garder un système par répartition avec une part importante de solidarité. Beaucoup réclament que l'on inscrive dans la loi que la valeur du point ne pourra jamais baisser. Le Premier Ministre apportera mercredi toutes précisions sur les options qui seront retenues"

17h42: En ce moment 432 kilomètres de bouchon en Ile de France

16h56: A Marseille, le trafic sera perturbé sur le réseau RTM: "Dans le cadre du mouvement de grève national annoncé pour demain, mardi 10 décembre, des perturbations sont à prévoir sur les réseaux de bus, métro et tramway", annonce la RTM dans un communiqué.

16h49: La RATP annonce un trafic similaire à aujourd'hui pour la journée de mardi

 

16h41: La SNCF publie ses prévisions de trafic pour demain . Elle prévoit, en moyenne, 1 Transilien sur 5, 1 TGV sur 5, ou encore 1 Intercités sur 6

Pour les TGV, la SNCF annonce un trafic "très perturbé" demain :

• Sur l'axe Est : 1 train sur 5

• Sur l'axe Atlantique : 1 train sur 4

• Sur l'axe Nord : 1 train sur 4

• Sur l'axe sud-est : 1 train sur 5

• Sur les intersecteurs : 1 train sur 10

• Pour les Ouigo : 1 train sur 6

15h49: "Demain, le trafic sera sensiblement le même que celui d'aujourd'hui", déclare Jean-Baptiste Djebbari, le secrétaire d'Etat chargé des transports.

15h43: Air France annule 25% de ses vols intérieurs et 10% de ses vols moyen-courrier demain

15h10: La direction générale de l'aviation civile prévoit pour demain une réduction de 20% des vols dans plusieurs aéroports français. Cette réduction concerne les départs et arrivées des aéroports de : Paris-Charles de Gaulle, Paris-Orly, Beauvais, Lyon, Marseille, Toulouse, Bordeaux

12h37: La direction de la SNCF annonce que le taux de grévistes est de 17% à la mi-journée. Dans le détail, 77,3 % des conducteurs sont en grève et 58,4 % des contrôleurs.

A noter que jeudi, 85,7 % des conducteurs étaient en grève.

12h36: Côté raffineries, cinq sur huit sont bloquées, selon Emmanuel Lépine, secrétaire fédéral CGT Chimie. Seules les deux raffineries Esso de Fos (Bouches-du-Rhône) et Gravenchon (Seine-Maritime) et la raffinerie Total de Donges (Loire-Atlantique) fonctionnent normalement.

Depuis la nuit de dimanche à lundi des membres de la CGT et des gilets jaunes ont bloqué l’accès au dépôt pétrolier de Frontignan (Hérault), selon des gilets jaunes.

12h02: Le point sur la situation à la mi-journée

Le mouvement de grève se poursuivait massivement lundi dans les transports publics en France, en particulier à Paris, provoquant plus de 600 kilomètres de bouchons en Ile-de-France vers 08H30, à l’orée d’une semaine déterminante pour la réforme des retraites dont le contenu détaillé doit être présenté mercredi.

Métros et RER bondés, quais noirs de monde: les passagers se sont pressés dans les gares et stations au ralenti en région parisienne.

La SNCF a assuré lundi que le trafic était conforme à ses prévisions, soit un TGV et un Transilien (RER SNCF et trains de banlieue) sur cinq, trois liaisons TER sur dix (essentiellement assurées par bus), un train Intercités sur cinq et un trafic international «très perturbé».

Le trafic RATP était «extrêmement perturbé», avec neuf lignes de métro sur seize fermées lundi, et une circulation extrêmement réduite pour cinq autres. Sept des 25 «centres bus» de la RATP étaient bloqués par des grévistes, seul un tiers des bus circulant en conséquence contre la moitié prévue dimanche par la régie, a indiqué un porte-parole.

En conséquence, de nombreux usagers ont pris le volant: environ 400 km de bouchons s’accumulaient encore à 10H00 après un pic à 620 kilomètres autour de 08H30 sur les routes d’Ile-de-France, selon le site d’information routière Sytadin.

Mettant en garde contre «un risque de saturation sur les gares et sur les quais», la SNCF avait invité «tous ceux qui le peuvent à limiter leurs déplacements en train».

A la gare Lille Flandres, Christian Cogneaux, qui fait le trajet tous les jours entre Aulnoyes Aymeries et Paris, a vu tous ses trains supprimés. «On ne me laisse pas monter dans le train en me disant que je dois repayer un billet. Mais j’ai déjà un abonnement qui coûte 300 euros par mois (...) c’est énorme pour mon salaire et je n’ai pas les moyens de payer des billets en plus», a-t-il déploré, avant de devoir rentrer chez lui.

Pour faciliter les trajets des Franciliens, les véhicules accueillant trois personnes au moins étaient autorisés lundi à circuler sur les voies réservées aux bus et taxis en région parisienne, mais pas à Paris.

A Rouen, le marché d’intérêt national a été bloqué entre 06H00 et 09H00 par environ 150 militants CGT. «On va continuer toute la semaine des opérations de blocage économique et continuer le tour des entreprises pour renforcer la grève», a déclaré à l’AFP Gérald Le Corre, de la CGT 76.

Sous pression après un jeudi de mobilisation qui a jeté dans la rue plus de 800.000 manifestants, l’exécutif doit lever le voile sur une réforme des retraites encore floue.

Il défend un «système universel» par points censé remplacer à partir de 2025, ou un peu plus tard, les 42 régimes existants et être «plus juste», quand ses opposants redoutent une «précarisation» des pensionnés.

«Je suis rentré à la RATP pour le régime spécial, pas pour le plaisir de faire tchou tchou», réagissait lundi Rachid Baioui, 36 ans, conducteur de métro sur la ligne 9. A la station Mairie de Montreuil, plusieurs dizaines de conducteurs grévistes s’étaient rassemblés, huant leurs collègues non grévistes.

Lundi à 15H30, le haut-commissaire aux Retraites Jean-Paul Delevoye et la ministre des Solidarités Agnès Buzyn reçoivent les partenaires sociaux afin de «tirer les conclusions» de la concertation relancée en septembre. Puis le Premier ministre présentera, mercredi, «l’intégralité du projet» de réforme.

Dans ce contexte, le secrétaire général de la CGT Philippe Martinez a trouvé «gênant» sur franceinfo que M. Delevoye n’ait pas déclaré sa fonction d’administrateur de l’Institut de formation de la profession de l’assurance (Ifpass) dans sa déclaration d’intérêts à la Haute autorité pour la transparence de la vie publique (HATVP), comme l’a révélé Le Parisien lundi.

Une «erreur» et «une omission par oubli», a réagi M. Delevoye auprès du quotidien, reconnaissant que «ce n’est pas responsable».

Emmanuel Macron et Édouard Philippe, qui ont déjà consulté tout le week-end, doivent recevoir les ministres les plus concernés par la réforme et les dirigeants de la majorité à un dîner de «calage» mardi.

Ce plan porte «une ambition de sauvetage du système social français, et pas du tout de démantèlement comme cela a pu être caricaturé», affirme l’entourage du chef de l’État.

«On pourra apporter des réponses extrêmement positives pour beaucoup de gens qui subissent des injustices dans le système actuel: les femmes, les agriculteurs, et ceux qui ont des parcours hachés notamment», avait assuré dimanche Édouard Philippe.

«Nous tiendrons jusqu’au retrait» de la réforme, dans laquelle «il n’y a rien de bon», a toutefois prévenu le secrétaire général de la CGT Philippe Martinez. «Je ne négocierai pas la mise en œuvre de ce que je qualifie (de) monstre, (de) danger pour les retraites de demain», a abondé le numéro un de Force ouvrière, Yves Veyrier.

Le gouvernement devra en tout cas faire preuve de pédagogie pour répondre aux inquiétudes exprimées par de nombreuses professions appelées à se mobiliser à nouveau mardi. Parmi elles, les enseignants, qui craignent que leurs pensions baissent avec les nouvelles règles.

Les internes devraient en outre entrer dans la grève à partir de mardi, alors que la situation est hautement inflammable à l’hôpital.

11h20: A Rouen, le marché d’intérêt national a été bloqué entre 06H00 et 09H00 par environ 150 militants CGT. «On va continuer toute la semaine des opérations de blocage économique et continuer le tour des entreprises pour renforcer la grève», a déclaré à l’AFP Gérald Le Corre, de la CGT 76.

10h40: La SNCF a assuré lundi que le trafic était conforme à ses prévisions, soit un TGV et un Transilien (RER SNCF et trains de banlieue) sur cinq, trois liaisons TER sur dix (essentiellement assurées par bus), un train Intercités sur cinq et un trafic international «très perturbé».

Le trafic RATP était «extrêmement perturbé», avec neuf lignes de métro sur seize fermées lundi, et une circulation extrêmement réduite pour cinq autres. Sept des 25 «centres bus» de la RATP étaient bloqués par des grévistes, seul un tiers des bus circulant en conséquence contre la moitié prévue dimanche par la régie, a indiqué un porte-parole.

10h36: La CGT "ira" cet après-midi à la réunion avec le haut-commissaire aux Retraites, Jean-Paul Delevoye, et la ministre des Solidarités, Agnès Buzyn, a déclaré ce matin le secrétaire général de la CGT Philippe Martinez, sur franceinfo. 

09h48: Neuf lignes de métro sur seize sont totalement fermées, la ligne 11 fonctionnant finalement de 06h30 à 09h30 en dépit de la fermeture de quatre stations ayant une correspondance. La situation est également moins mauvaise que prévue sur la partie ouest de la ligne 9, avec un métro sur deux contre un sur quatre prévu dimanche soir. Le reste du trafic est conforme aux prévisions.
09h32: Le point sur la situation ce matin

Le mouvement de grève se poursuivait massivement lundi dans les transports publics en France, en particulier à Paris, provoquant plus de 600 kilomètres de bouchons en Ile-de-France vers 08H30, à l’orée d’une semaine déterminante pour la réforme des retraites dont le contenu détaillé doit être présenté mercredi.

Les passagers se pressant dans les gares et stations connaissaient un lundi noir surtout en région parisienne.

La SNCF indique assurer «entre 15% à 20%» de son trafic habituel, soit un TGV et un Transilien (RER SNCF et trains de banlieue) sur cinq, trois liaisons TER sur dix (essentiellement assurées par bus), un train Intercités sur cinq et un trafic international «très perturbé».

La RATP faisait état d’un trafic en région parisienne «extrêmement perturbé», avec neuf lignes de métro sur seize fermées lundi, et une circulation extrêmement réduite pour cinq autres. Suite à un «incident technique», le trafic était par ailleurs interrompu sur une partie de ligne 4 et ne devait reprendre qu’à 09H00. Et 7 des 25 «centres bus» de la RATP étaient bloqués lundi matin par des grévistes, seul un tiers des bus circulant en conséquence contre la moitié prévue dimanche soir par la régie autonome, a indiqué un porte-parole.

En conséquence, de nombreux usagers ont pris le volant: environ 620 kilomètres de bouchons étaient enregistrés lundi autour de 08H30 sur les routes d’Ile-de-France, selon le site d’information routière Sytadin.

Mettant en garde contre «un risque de saturation sur les gares et sur les quais», Agnès Ogier, directrice de la communication de la SNCF, a invité «tous ceux qui le peuvent à limiter leurs déplacements en train». A la gare Montparnasse à Paris, les voyageurs s’agglutinaient devant l’entrée du métro, condamnée.

La gare Part-Dieu à Lyon restait inhabituellement calme: seuls deux TGV sont annoncés d’ici le milieu de matinée et la majorité des TER affichés sont assurés par des cars. A la gare Lille Flandres, Mehdi Oukaci, 20 ans, étudiant, redoute de louper un examen de comptabilité: «Je ne vois même pas mon train pour Arras... C’est leur droit de faire grève, mais ils nous coincent un peu».

Pour faciliter les trajets des Franciliens, les véhicules pratiquant le covoiturage (trois personnes au moins) étaient autorisés lundi à circuler sur les voies des bus et taxis sur les «grands axes qui arrivent sur Paris», mais pas dans la capitale, selon la ministre de la Transition écologique Elisabeth Borne.

Sous pression après un jeudi de mobilisation qui a jeté dans la rue plus de 800.000 manifestants, l’exécutif doit lever le voile sur une réforme des retraites encore floue. Il défend un «système universel» par points censé remplacer à partir de 2025, ou un peu plus tard, les 42 régimes existants (général, des fonctionnaires, privés, spéciaux, autonomes, complémentaires) et être «plus juste», quand ses opposants redoutent une «précarisation» des pensionnés.

«Je suis rentré à la RATP pour le régime spécial, pas pour le plaisir de faire tchou tchou», réagissait lundi matin Rachid Baioui, 36 ans, conducteur de métro sur la ligne 9. A la station Mairie de Montreuil, plusieurs dizaines de conducteurs grévistes s’étaient rassemblés, huant leurs collègues non grévistes.

Lundi après-midi, le haut-commissaire aux Retraites Jean-Paul Delevoye et la ministre des Solidarités Agnès Buzyn reçoivent les partenaires sociaux afin de «tirer les conclusions» de la concertation relancée en septembre. Puis le Premier ministre présentera, mercredi, «l’intégralité du projet» de réforme.

Emmanuel Macron et Edouard Philippe, qui avaient convié les ministres les plus concernés par la réforme et les dirigeants de la majorité à un «déjeuner de calage» lundi à l’Elysée, les recevront finalement mardi soir. Le secrétaire d’Etat aux Transports Jean-Baptiste Djebbari a dénoncé lundi la «désinformation» et les «manipulations, notamment de la part des oppositions politiques» sur le projet de réforme.

Ce plan porte «une ambition de sauvetage du système social français, et pas du tout de démantèlement comme cela a pu être caricaturé», affirme l’entourage du chef de l’Etat.

«On pourra apporter des réponses extrêmement positives pour beaucoup de gens qui subissent des injustices dans le système actuel: les femmes, les agriculteurs, et ceux qui ont des parcours hachés notamment», avait assuré dimanche Edouard Philippe.

«Nous tiendrons jusqu’au retrait» de la réforme, dans laquelle «il n’y a rien de bon», a toutefois prévenu le secrétaire général de la CGT Philippe Martinez. «Je ne négocierai pas la mise en oeuvre de ce que je qualifie (de) monstre, (de) danger pour les retraites de demain», a abondé le numéro un de Force ouvrière, Yves Veyrier.

Le gouvernement devra en tout cas faire preuve de pédagogie pour répondre aux inquiétudes exprimées par de nombreuses professions appelées à se mobiliser à nouveau mardi. Parmi elles, les enseignants, qui craignent que leurs pensions baissent avec les nouvelles règles: pour l’éviter, le Premier ministre s’est déjà engagé à une «revalorisation progressive» de leur traitement.

09h01: Et voilà la barre des 630 kilomètres de passés en IDF battant ainsi le record pour 2019 des embouteillages

08h30: Selon RTL, Jean-Paul Delevoye et Agnès Buzyn livreront cet après-midi les résultats des concertations sur la réforme des retraites après une dernière rencontre avec les partenaires sociaux mais plusieurs leaders de syndicats ne s'y rendront pas, notamment Philippe Martinez, de la CGT.

08h26: Les images des blocages des sites de la RATP ce matin qui empêchent les bus de circuler

08h12: La barre des 600 kilomètres de bouchons vient d'être franchie en Ile de France

En début de matinée, la Direction des routes d'Ile-de-France prévenait sur son site que la circulation serait "très difficile" sur l'ensemble de la région Ile-de-France aux heures de pointe et la météo très pluvieuse n'arrange pas les conditions de circulation.

Le gouvernement a décidé d'ouvrir au covoiturage les voies normalement réservées aux bus et taxis sur les autoroutes A1, A6a, A10 et A12.

08h04: Sept des 25 dépôts de bus de la RATP sont bloqués par des grévistes depuis dimanche soir. Selon la régie, un tiers des bus a pu circuler dimanche soir, alors que la moitié était prévue.

07h26: Désormais, les records sont explosés avec 500 kilomètres de bouchons en Ile de France

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07h01: Jamais vu, près de 400 kilomètres cumulés de bouchon en Île-de-France à 7h00 selon un nouveau point qui vient d'être fait. En plus de la grève il pleut en effet de façon abondante en Ile de France.

06h52: Pour mémoire, les véhicules pratiquant le covoiturage sont autorisées ce lundi à circuler sur les voies bus et taxis des «grands axes qui arrivent sur Paris», alors que les transports publics devraient rester très perturbés, a annoncé dimanche la ministre de la Transition écologique, Elisabeth Borne. La mesure s'applique «à partir de trois personnes dans la voiture», débutera «à cinq heures du matin» et pourra être reconduite les prochaines jours, a précisé le ministère.

Les voies accessibles seront signalées aux automobilistes via les panneaux d'information lumineux. Les axes concernés sont «l'A1, l'A6A, l'A10 et l'A12», a détaillé le secrétaire d'Etat aux transports Jean-Baptiste Djebbari sur Twitter. La mesure ne s'appliquera en revanche pas à l'intérieur de la capitale, où «plus de 50% du service de bus est assuré», selon Elisabeth Borne.

06h50: On compte déjà 280 kilomètres cumulés de bouchon en Île-de-France ce matin et la tendance est à la hausse. Une situation "exceptionnelle" compte tenu des valeurs habituelles sur cette tranche horaire.

06h18: Déjà plus de 150 km de bouchons en Ile de France contre 20 km à 6h en temps normal

.

06h01: Ce dimanche, après une réunion ministérielle à 17 heures à Matignon, le chef de l'Etat a convoqué à 19h30 à l'Elysée les piliers du gouvernement. Autour de la table : Edouard Philippe, Christophe Castaner (Intérieur), Jean-Michel Blanquer (Education), Elisabeth Borne (Transition écologique et solidaire), Agnès Buzyn (Santé), Jean-Paul Delevoye (Retraites), Gérald Darmanin (Budget) et Bruno Le Maire (Economie). Ce lundi, Buzyn et Delevoye réunissent les partenaires sociaux à 15h30 pour un dernier point.

05h50: Le point sur les prévisions pour aujourd'hui

À la SNCF, le trafic est en légère amélioration mais reste "très perturbé", avec seulement un TGV et un Transilien sur cinq en circulation. La situation est particulièrement tendue pour les trajets intersecteurs (province-province), avec un TGV sur sept. Sur le réseau des TER, comptez trois liaisons sur dix, "essentiellement assurées par bus". 

En région parisienne, la plupart des transports publics fonctionnent au ralenti : dix lignes de métro sont fermées. Il s'agit des lignes 2, 3, 3bis, 5, 6, 7bis, 10, 11, 12 et 13. Celles qui restent ouvertes le sont pour la plupart seulement aux heures de pointe, avec un fort risque de saturation, tout comme sur les RER A et B.

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Vos réactions

Portrait de fairytale
9/décembre/2019 - 19h25

Comme par hasard il vient sur TF1, pour encore mieux nous enfumer. Quelle honte cette chaîne de collabos. 

Portrait de Harriet
9/décembre/2019 - 15h29
A.Thomas a écrit :

Bonjour.C'est vrai! Toutes proportions gardées ça me rappelle les enseignants qui avaient participé à des échanges d'un an ou plus avec le Québec; Ils touchaient leur salaire plus une prime mais ce "bonus" était loin de couvrir la différence du coût de la vie au Canada. Ceux qui étaient dans de petites bourgades s'en tiraient tout juste mais ceux qui travaillaient et logeaient dans les villes plus grosses se retrouvaient dans une galère noire . J'avais une amie qui avait demandée sa mutation pour Paris afin de vivre avec le mari ,pilote de ligne. Son salaire d'instit passait dans le loyer..

Merci de rectifier les  "Légendes urbaines" ....  smiley  smiley

Portrait de A.Thomas
9/décembre/2019 - 15h14
Harriet a écrit :

Ah bon ?

Nous en sommes à notre quatorzième mutation, et je peux vous assurer qu'il n'y a pas d'"augmentation" du salaire que vous soyez envoyé à Paris ou dans la petite couronne , par rapport à la province....

Juste les problèmes de circulation , de cherté de la vie, de pollution etc ... en "bonus" !  smiley

(4h de route  ce matin pour emmener "fifille" à Kremlin- Bicêtre, vu que pas de transports en commun)

Bref ... une journée, presque, ordinaire !  smiley

Bonjour.C'est vrai! Toutes proportions gardées ça me rappelle les enseignants qui avaient participé à des échanges d'un an ou plus avec le Québec; Ils touchaient leur salaire plus une prime mais ce "bonus" était loin de couvrir la différence du coût de la vie au Canada. Ceux qui étaient dans de petites bourgades s'en tiraient tout juste mais ceux qui travaillaient et logeaient dans les villes plus grosses se retrouvaient dans une galère noire . J'avais une amie qui avait demandée sa mutation pour Paris afin de vivre avec le mari ,pilote de ligne. Son salaire d'instit passait dans le loyer..

Portrait de Harriet
9/décembre/2019 - 14h30
francaz33 a écrit :

ils gagnent 2 fois plus a paris

Ah bon ?

Nous en sommes à notre quatorzième mutation, et je peux vous assurer qu'il n'y a pas d'"augmentation" du salaire que vous soyez envoyé à Paris ou dans la petite couronne , par rapport à la province....

Juste les problèmes de circulation , de cherté de la vie, de pollution etc ... en "bonus" !  smiley

(4h de route  ce matin pour emmener "fifille" à Kremlin- Bicêtre, vu que pas de transports en commun)

Bref ... une journée, presque, ordinaire !  smiley