24/09/2019 17:15

Grève pour la réforme des retraites: 12.300 personnes ont défilé cet après-midi dans les rues de Paris, selon le cabinet Occurence

17h15: Selon le cabinet Occurence, 12.300 personnes ont défilé dans les rues de Paris, selon Franceinfo

16h00: Le point cet après-midi sur la journée de mobilisation

Après les avocats, la RATP ou encore Force ouvrière, des militants CGT défilent par milliers mardi dans toute la France contre la réforme voulue par l’exécutif, avec un mouvement de grève qui provoque quelques perturbations dans les transports.
Solidaires, la FSU et l’Unsa-Ferroviaire se sont joints à cet appel à manifester lancé mi-juillet en solo par la CGT au moment de la remise du rapport du haut-commissaire aux Retraites Jean-Paul Delevoye. Celui-ci prévoit de fusionner en un système unique par points les 42 régimes existants, à l’horizon 2025.
Près de 150 mobilisations étaient prévues un peu partout en France, sous un mot d’ordre large: «Emploi, salaires, services publics, retraites: stoppons la régression sociale!».
A Marseille, 3.700 manifestants selon la préfecture de police, drapeau CGT en main ou revêtant la chasuble du syndicat, se sont rassemblés sur le Vieux-Port.
A Paris, la manifestation a démarré de la place de la République vers Nation, vers 14H30. Rassemblant plusieurs milliers de personnes, avec le renfort des organisations de jeunesse Unef et UNL, le défilé était conduit par Philippe Martinez.
Conséquence d’un appel à la grève de la CGT-Cheminots et de SUD-Rail, le trafic est perturbé à la SNCF, qui prévoyait la circulation de presque tous les TGV mais deux trains Intercités sur cinq, trois TER sur cinq et un Transilien sur deux en moyenne.
Les Franciliens ont donc davantage pris leur voiture, provoquant un trafic «exceptionnel» en Île-de-France entre 08H00 et 09H00 selon le site Sytadin.
A Nice, il n’y avait ni bus ni tramways et un millier de personnes ont manifesté selon la police. De même source, ils étaient 3.200 à Lyon, 1.800 au Havre, 1.300 à Rouen, 1.200 à Rennes, 800 à Strasbourg, 850 à Grenoble, où un hôpital de campagne a été monté «pour expliquer ce que sera l’hôpital de demain (où) il faudra un système assurantiel pour bien se soigner, que seuls les plus riches pourront se payer», explique Damien Bagnis, secrétaire départemental CGT Santé-Action sociale.
Le gouvernement prévoit de faire voter le projet de loi sur les retraites d’ici juillet 2020, après une nouvelle concertation citoyenne.
«L’objectif du gouvernement, c’est faire des économies et nous faire travailler plus longtemps», a déploré dans la matinée M. Martinez. «Les discussions qu’on a avec les syndicats suédois nous disent +on en revient de ce système+» par points, a-t-il ajouté sur France Culture.
Interrogé sur la division syndicale, M. Martinez a assuré qu’il y aurait une intersyndicale «très prochainement». «Dans les entreprises il y a l’unité syndicale donc il faut que cela se fasse au niveau confédéral», a-t-il complété.
Les syndicats de la RATP, qui ont réussi un mouvement de grève massif le 13 septembre, se préparent pour une nouvelle mobilisation à partir du 5 décembre, à laquelle s’est déjà jointe la fédération SUD-Rail.

14h32: La manifestation à Paris a débuté il y a quelques minutes depuis la place de la République

13h25: A Paris, la manifestation aura lieu dans l’après-midi entre la place de la République et celle de la Nation, avec le renfort des organisations de jeunesse l’Unef et l’UNL. FO a réuni de son côté plusieurs milliers de personnes samedi.

13h15: Dans un entretien publié mardi par Le Parisien, le secrétaire d’Etat aux Transports, Jean-Baptiste Djebbari, confirme qu’il rencontrera prochainement les cheminots, agents RATP et pilotes avec Jean-Paul Delevoye, en reconnaissant qu«il faudra tenir compte des contraintes de chaque profession quand il y a de la pénibilité et de la dangerosité».

Interrogé sur la division syndicale, M. Martinez a mis cela sur le compte d’un «manque de coordination». «Ça va s’arranger», a-t-il promis mardi, laissant entrevoir des manifestations communes avec FO.

12h59: Des manifestations ont déjà eu lieu dans plusieurs villes de France

- Nice : Un millier de manifestants ont été comptabilisés dans cette ville

- Clermand-Ferrand : 1.000 selon la police, 1.500 selon la CGT

- Le Havre : 1.800 à battre le pavé, selon la police

- Rennes : 1.200 manifestants, selon une source policière

12h21: Conséquence d’un appel à la grève de la CGT-Cheminots et de SUD-Rail, le trafic était perturbé mardi matin à la SNCF, qui avait prévu la circulation de presque tous les TGV mais de seulement deux trains Intercités sur cinq, trois TER sur cinq et un Transilien sur deux en moyenne.

Les Franciliens ont donc davantage pris leur voiture: le site Sytadin faisait état d’un trafic «exceptionnel» en Île-de-France, avec un pic de plus de 475 km de bouchons atteint entre 8H et 9H.

11h17: SUD-Rail annonce avoir "décidé de rejoindre le mouvement de grève unitaire de la RATP le 5 décembre" (BFMTV). Ils rejoingnent ainsi cinq syndicats de la RATP, dont deux organisations représentatives, l'Unsa et la CFE-CGC.

0h46: Le point ce matin

Après les avocats, les médecins, les pilotes, les infirmières, la RATP ou encore Force ouvrière, c’est au tour de la CGT de défiler mardi dans toute la France contre la future réforme des retraites, avec un mouvement de grève qui provoque des perturbations sur le réseau ferroviaire.

Solidaires, la FSU et l’Unsa-Ferroviaire se sont joints à cet appel à manifester lancé mi-juillet en solo par la CGT au moment de la remise du rapport du haut-commissaire Jean-Paul Delevoye, devenu depuis membre du gouvernement.

Près de 150 mobilisations sont prévues un peu partout en France, sous un mot d’ordre large, commun aux dernières mobilisations: «Emploi, salaires, services publics, retraites: stoppons la régression sociale!».

A Paris, la manifestation aura lieu dans l’après-midi entre la place de la République et celle de la Nation, avec le renfort des organisations de jeunesse l’Unef et l’UNL. FO a réuni de son côté plusieurs milliers de personnes samedi.

Conséquence d’un appel à la grève de la CGT-Cheminots et de SUD-Rail, le trafic était perturbé mardi matin à la SNCF, qui avait prévu la circulation de presque tous les TGV mais de seulement deux trains Intercités sur cinq, trois TER sur cinq et un Transilien sur deux en moyenne.

Les Franciliens ont donc davantage pris leur voiture: le site Sytadin faisait état d’un trafic «exceptionnel» en Île-de-France peu après 9H, avec 460 km de bouchons.

«On fait une première mobilisation, il y en aura d’autres», a promis la semaine dernière Philippe Martinez, le secrétaire général de la CGT. Comme on lui demandait si l’exécutif temporisait, M. Martinez s’est exclamé: «Ah ça, ils ont la trouille!».

Le gouvernement prévoit de faire voter le projet de loi qui définira le nouveau système universel d’ici juillet 2020, après une nouvelle concertation citoyenne. La réforme prévoit de fusionner en un système unique par points les 42 régimes existants, à l’horizon 2025.

Emmanuel Macron participera jeudi à Rodez à un débat sur ce thème, avec 500 lecteurs du groupe de presse La Dépêche.

Réélu secrétaire général de la CGT en mai, Philippe Martinez s’est récemment ému de ne pas être reçu par le chef de l’Etat, contrairement à d’autres organisations comme la CFDT et l’Unsa. Mais il a depuis «reçu un mail» et un rendez-vous est dans les tuyaux, a-t-il fait savoir.

- «Tenir compte des contraintes» de chaque profession -

Début septembre, il reconnaissait néanmoins qu’il lui serait «compliqué d’avoir une influence» sur cette réforme et avait prévenu qu’il n’aimait «pas perdre (son) temps», à l’issue d’un entretien avec le Premier ministre Édouard Philippe.

Le problème reste selon lui le même: «L’objectif du gouvernement, c’est faire des économies et nous faire travailler plus longtemps». Et le débat qu’il a eu avec le haut-commissaire lors de la fête de l’Huma - ce dernier a écopé de quelques huées - ne l’a pas fait changer d’avis.

Démineur en chef de la réforme, l’ancien médiateur de la République et ancien chiraquien Jean-Paul Develoye a promis qu’il y aurait des «simulateurs individuels entre 2020 et 2025» pour que chacun puisse évaluer les effets de la réforme.

Les syndicats de la RATP, qui ont réussi un mouvement de grève massif le 13 septembre, comme il n’y en avait pas eu depuis 2007, se préparent eux pour une nouvelle mobilisation à partir du 5 décembre.

Dans un entretien publié mardi par Le Parisien, le secrétaire d’Etat aux Transports, Jean-Baptiste Djebbari, confirme qu’il rencontrera prochainement les cheminots, agents RATP et pilotes avec Jean-Paul Delevoye, en reconnaissant qu«il faudra tenir compte des contraintes de chaque profession quand il y a de la pénibilité et de la dangerosité».

«Nous écrirons ensemble cette réforme des retraites dans les transports», promet-il.

10h00: A 8h04 Sytadin a recensé 430 km de bouchons en Ile-de-France. Le cumul de bouchons est grimpé à plus de 475 km peu avant 9 heures. 

09h30: Près de 150 mobilisations sont prévues un peu partout en France mardi, sous un mot d’ordre large, commun aux dernières mobilisations: «Emploi, salaires, services publics, retraites: stoppons la régression sociale!».

09h25: Après les avocats, les médecins, les pilotes, les infirmières, la RATP ou encore Force Ouvrière, c’est au tour de la CGT de défiler mardi dans toute la France contre la future réforme des retraites, pour laquelle le gouvernement prend désormais son temps.

Solidaires, la FSU et l’Unsa-Ferroviaire se sont joints à cet appel à manifester lancé mi-juillet en solo par la CGT au moment de la remise du rapport du haut-commissaire Jean-Paul Delevoye, devenu depuis membre du gouvernement.

A Paris, la manifestation se tiendra entre la place de la République et celle de la Nation, avec le renfort des organisations de jeunesse l’Unef et l’UNL. Aussi opposée à la réforme, Force ouvrière a réuni de son côté plusieurs milliers de personnes samedi.

«On fait une première mobilisation, il y en aura d’autres», a promis la semaine dernière Philippe Martinez, le secrétaire général de la CGT. Comme on lui demandait si l’exécutif temporisait, M. Martinez s’est exclamé: «Ah ça, ils ont la trouille!»

Emmanuel Macron a récemment expliqué qu’il faudrait «faire des choix. Nous aurons des discussions sur les professions pour qui il y a des régimes spéciaux», mais «peut-être faudra-t-il plus de temps. Il ne faut rien fermer, ne rien fermer trop tôt».

Le gouvernement prévoit de faire voter le projet de loi qui définira le nouveau système universel d’ici juillet 2020, après une nouvelle concertation citoyenne. La réforme prévoit de fusionner en un système unique par points les 42 régimes existants, à l’horizon 2025.

Le président de la République participera jeudi à Rodez à un débat sur ce thème, avec 500 lecteurs du groupe de presse La Dépêche.

Réélu secrétaire général de la CGT en mai, Philippe Martinez s’est récemment ému de ne pas être reçu par le chef de l’Etat, contrairement à d’autres organisations comme la CFDT et l’Unsa. Mais il a depuis «reçu un mail» et un rendez-vous est dans les tuyaux, a-t-il fait savoir.

07h58: Dans le secteur de la santé, ce sont les personnels médicaux et non médicaux exerçant dans les hôpitaux, cliniques, maison de santé, de retraite, de cure, les officines pharmaceutique, les cabinets paramédicaux ainsi que les Ehpads, les service d'aides et de soins à la personne qui sont appelés à débrayer ce mardi 24 septembre, indique Solidaires Sud Santé Sociaux.

Une grève des laboratoires de biologie médicale démarre de lundi 23 septembre et devrait se poursuivre jusqu'au 1er octobre. Les quatre syndicats de biologistes -SDB, SNMB, SLBC, SJBM et l’Association pour le Progrès de la Biologie Médicale appellent les laboratoires de biologie médicale à faire grève partiellement en n'ouvrant que les matins du lundi 23 septembre au mardi 1er octobre 2019.

Ce mouvement national dénonce l’annonce d’une baisse de 170 millions d’euros du financement de la biologie médicale en France en 2020 sur les dépenses de biologie médicale. "C’est presque le double du montant de 95 millions d’euros qui avait été appliqué sur la période précédente, venant s’additionner au milliard de baisse cumulée depuis 10 ans", indique l'APBM. 

05h23: La CGT, FSU, Solidaires, UNEF, et UNL appellent les salariés du public et du privé à la grève et à manifester dans la rue contre la politique économique et sociale du gouvernement. "Exigeons l'augmentation des salaires, des créations d'emplois dans les services publics pour répondre aux besoins de la population, la possibilité d'un départ à la retraite dès 60 ans", écrivent ces syndicats dans un communiqué commun.

"Urgence climatique, urgence sociale, même combat : c'est le cas de la lutte en cours contre la privatisation d'ADP, qui s'inscrit dans la défense des services publics. C'est le cas également de la mobilisation pour le 'train des primeurs' menacé de fermeture par le gouvernement", poursuivent-ils, avec l'intention de faire de ce mardi une "manifestation unitaire interprofessionnelle" qui "permettra d'unifier la colère sociale dans différents secteurs (SNCF, RATP, Hôpitaux, Finances Publique…)".

Un appel à la grève est lancé pour ce mardi 24 septembre, contre le projet de réforme des retraites. 

Au niveau national, des fédérations syndicales (Sud, CGT) de l'Éducation Nationale appellent les enseignants à faire grève. Ce mouvement rejoint l'appel à la mobilisation nationale de la CGT contre la réforme des retraites qui va aussi toucher la SNCF et la RATP à Paris.

En raison d'un mouvement de grève interprofessionnel à l'initiative de la CGT contre la réforme des retraites et pour la défense des services publics, le trafic s'annonce perturbé ce mardi 24 septembre 2019, sur l'ensemble du réseau ferroviaire.

Les prévisions de trafic détaillées viennent d'être publiées:

Un trafic TGV "peu perturbé", deux trains Intercités sur cinq, trois TER sur cinq et un Transilien sur deux circuleront en moyenne mardi, jour d'appel à la grève contre le projet de réforme des retraites, a annoncé ce dimanche la direction de la SNCF. Le trafic des trains internationaux sera "normal" pour les Eurostar, Thalys, Lyria et les liaisons France-Espagne, France-Allemagne et France-Italie.

En Île-de-France :

• RER A : service normal

• RER B : 2 trains sur 5 (rupture d’interconnexion à Gare du Nord)

• RER C : 1 train sur 2

• RER D : 2 trains sur 5 (aucune circulation entre Châtelet et Gare de Lyon)

• RER E : 2 trains sur 5

• Lignes H, J et N : 1 train sur 2

• Lignes K, L et U : 3 trains sur 5

• Ligne P : 1 train sur 3

• Ligne R : 1 train sur 4

Trafic TGV :

• Axe Est : service normal

• Axe Atlantique : 4 trains sur 5 • Axe Sud-Est : service normal • Axe Nord : 4 trains sur 5

• Intersecteurs : service normal

• Ouigo : service normal

• International : service normal

Trafic régional :

• TER : 3 trains sur 5 en moyenne

Trafic Intercités :

• Intercités de jour : 2 trains sur 5

• Intercité de nuit : 1 train sur 4

• Paris-Clermont-Ferrand : 3 trains sur 5

• Paris-Nevers : 1 train sur 3

• Paris-Limoges-Toulouse l : 3 trains sur 5

• Bordeaux-Marseille : 1 train sur 2

• Nantes-Bordeaux : 3 trains sur 5

• Nantes-Lyon : 1 train sur 2

• Clermont-Ferrand-Béziers : aucune circulation

• Clermont-Ferrand-Lyon : aucune circulation

• Caen-Le Mans-Tours : aucune circulation

• Toulouse-Hendaye : aucune circulation

• Paris-Rouen-Le Havre : 1 train sur 3

• Paris-Caen-Cherbourg : 2 trains sur 3

• Paris-Granville : 2 trains sur 5

Ailleurs sur le web

Vos réactions

Portrait de popeye55
25/septembre/2019 - 23h26

@loujacob

Vous ne comprenez pas ce que je veux  dire. Si j'avais été employé de la SNCF je serais quand même aujourd'hui un priviligié. Le problème, c'est que les privilégiés ne veulent pas admettre qu'ils le sont. Je suis pour la justice sociale. Pourquoi les français n'ont pas tous  le même régime ? Mais je sais maintenant que vous faites partie de ces privilégiés qu'il va falloir combattre !!

Portrait de popeye55
24/septembre/2019 - 23h47
Lou Jacobs a écrit :

le chiffre que vous indiquez pour le déficit SNCF est en fait le montant de son endettement en 2018 , ce qui est fondamentalement différent

en 2018 (derniers résultats connus), 

la sncf c'est

un chiffre d'affaires de 33.3 milliards

une marge opérationnelle de 4 milliards

un bénéfice net de  141 millions, et non pas un déficit

sur la même période,  DEUTSCHE BAHN c'est

un chiffre d'affaires de 44 milliards

un bénéfice de 542 millions, soit une chute de 30 % par rapport à l'année précédente

En sachant que le marché potentiel de la DEUTSCH BAHN est de 25 % plus important que celui de la SNCF

N'empêche que la SNCF à bien 47 Milliards de dette ! Est-il normal que ce soit toujours le contribuable qui paie ? 

D'autre part, je ne vois pas pourquoi les salariés de la SNCF doivent partir en rétaite 10 ans avant les autres ! C'est ça aussi la justice sociale ! !

Portrait de popeye55
24/septembre/2019 - 23h34
Nono75 a écrit :

Cherchez l'erreur : le populisme voyons.

Je te laisse googler les origines de la dettes SNCF.

Indices : 19e siècle, compagnies privées, faillites, nationalisation en 1937 et reprise de la dette équivalente à 23 milliards d'euros, démagogie, mégalomanie...

Et sinon t'étais né en 1937 ?

Et la DB ? Facile : effacement de la dette en 1994.

Comparer l'Allemagne à la France, premier pays européen en surface ? Lol.

Depuis l’État schizophrène premier actionnaire de la SNCF fait n'importe quoi : constructions de nouvelles lignes non nécessaires, achat de matériel non nécessaire dans le but de renflouer un constructeur, le coup de la LGV Tours Bordeaux n'est pas mal non plus, etc.

Donc oui, cherchez l'erreur, elle s'appelle le politique.

Dernière chose il ne faut pas hésiter à comparer les prix et les durées avec la DB par exemple, on va vite rire.

La SNCF possède une dette de 47 Milliards. En France c'est le contribuable français qui doit payer. Le régime de retraite de la SNCF n'est pas équilibré et là encore c'est le contribuable français qui doit payer. Est-il normal aujourd'hui que des personnes SNCF partent à 52 ans alors que c'est au moins 10 ans de plus pour la majorité des français  !!!

Portrait de soly
24/septembre/2019 - 20h02
Encore une fois, on retrouve les fonctionnaires notamment de la sncf. Des nantis qui peuvent partir à la retraite à partir de 52 ans, avec une retraite de plus de 3000 euros par mois. Pour tous ce qui ne manquerons pas de dire que ce n'est pas vrai, je connais des retraités de la sncf dans cette situation. La vrai révolte est les petites retraites qui sont données à des gens qui ont parfois travaillé toute leur vie.
Portrait de Marine-One
24/septembre/2019 - 17h54
La République C'est Moi a écrit :

Votre raisonnement est respectable mais est complètement à côté de la plaque.

A partir du moment où nous parlons finance publique, nous devrions les gérer justement comme un gestionnaire d'entreprise. Ce n'est pas de l'argent qui tombe du ciel. Il provient de gens qui se privent parfois pour ça.

Quant à la remarque démagogique mainte fois entendue ou lue, sur les retraites des élus, je vous dirais que ce n'est qu'une goutte d'eau. Mais vous ne me croiriez pas.

Bien sûr que c'est une goutte d'eau mais c'est symbolique! On demande à pas mal de français de se serrer la ceinture,ils le feront avec moins de grogne si l'exemple vient d'en haut. C'est comme le homard de l'autre grand personnage de l'état.

Portrait de Marine-One
24/septembre/2019 - 17h51
CARAMEL MOU a écrit :

vous pensez certainement  Johnny, Delon et bien d'autres célébrités.

Oui les fraudeurs du fisc professionnels.

Portrait de Marine-One
24/septembre/2019 - 14h55
La République C'est Moi a écrit :

Coût de la retraite: 13,8% du PIB

25% de notre population est en retraite!!

42 régimes qui un coût exorbitant!!

Et nos retraités vivent mieux que le reste des français avec un ratio de 1,08 contre 0,95 pour le reste de l'Europe.

Quand allons-nous devenir raisonnables et arrêter de saigner les travailleurs pour que des retraités dépenses tout leur pognon à l'étranger?

Il faut taxer les retraités qui partent vivre au Portugal ou au Maroc pour passer la retraite et qui reviennent en France juste pour se soigner aux frais de la sécu!

Portrait de Marine-One
24/septembre/2019 - 14h41
La République C'est Moi a écrit :

C'est toujours la faute du politique avec vous mais pas celle des syndicats qui sont dans le refus total d'évoluer.

Mon père travaillait à la SNCF. Il jouait aux cartes avec ses collègues dans le poste d'aiguillage. Ils n'avaient que ça à faire.

Pensez-vous que ce soit normal? Comment un société privée pourrait se permettre ça????

La SCNF, la RATP, la SNCM, Air France (pour ne citer qu'eux) ne devraient plus être dépendantes de l'état et pourrir nos budgets que nous pourrions consacrer aux hôpitaux, aux forces de l'ordre, à la justice.

Il y en a plus que marre de ces fonctionnaires ingrats et sur-protégés qui feraient mieux de passer dans le privé pour devenir enfin ce qui devraient être depuis longtemps.

Visiblement ,il ne faisait pas que "jouer aux carte" puisque vous là!

Portrait de Tonton FL
24/septembre/2019 - 10h46

C'est notre régime général qui finance ce déficit ???

Portrait de popeye55
23/septembre/2019 - 13h28
cbor33 a écrit :

vivement que des privés comme thomas cook s'installent à la place de la SNCF !!!! Vous voulez du privé, vous allez voir ce que cela donne... Faudra pas pleurer ...

En Allemagne, la Deutshe Bahn a été partiellement privatisée et c'est une entreprise modèle qui fonctionne très bien. 

Thomas Cook : déficit 300 millions d'euros

SNCF : 47 Milliards d'euros. Oui vous avez bien lu ! 47 Milliards !! Et c'est le contribuable qui finance. Au moins avec le privé on ne financera pas !

Cherchez l'erreur ...

Portrait de cbor33
23/septembre/2019 - 09h25

vivement que des privés comme thomas cook s'installent à la place de la SNCF !!!! Vous voulez du privé, vous allez voir ce que cela donne... Faudra pas pleurer ...

Portrait de poulpeg
23/septembre/2019 - 08h55

Vivement que la concurrence nous débarrasse enfin de ces tire-aux-flancs !!

Portrait de popeye55
22/septembre/2019 - 23h00

L'abolition des privilèges c'était pas en 1789 ?