Un policier a mis fin à ses jours dans l'hôtel de police de Cergy (Val-d'Oise), dans son service, mercredi après-midi. Il est le 43e policier à s'être donné la mort depuis le début de l'année 2019, comme l'indique Le Parisien.
Cet officier âgé de 55 ans de l’antenne PJ de Cergy de la DRPJ Versailles, a été retrouvé dans l'armurerie de l'antenne PJ qui se trouve au troisième étage du commissariat. Il y travaillait depuis 25 ans et occupait depuis peu le poste d'adjoint au commissaire en intérim.
Ce suicide est le quatrième en trois jours au sein de la profession.
Le conseiller Police du ministre de l'Intérieur recevra aujourd'hui le syndicat Alternative Police qui lui remettra un livre blanc, « Des policiers épanouis dans leur travail pour une police nationale à hauteur des enjeux de société » contenant 50 proposition pour lutter contre le suicide massif des policier Français.
Vos réactions
Triste nouvelle !
Malheureusement, il y a des professions comme celle de policier, ou passer à l'acte est facilité par le fait que "tout le matériel nécessaire" est à portée de main.
D'autres professions sont également atteins par un taux de suicide élevé pour les mêmes raisons.
Chez les vétérinaires, par exemple, le taux de suicide est quatre fois plus élevé que chez le reste de la population, mais c'est moins médiatisé.
Même chose. Les vétos ont tout ce qu'il faut sous la main pour partir en douceur.Autre problème chez les vétos "de campagne" l’alcoolisme, professionnel.J'en ai connu trois autrefois qui se sont fait piéger par le coup de gnôle matinal et quotidien chez les paysans ..Impossible ou presque de refuser..Comme tout le reste et heureusement ça a tendance à disparaître . Le "bon vieux paysan" n'est plus ce qu’il était et goûte moins à sa production eau de vie ...
Triste nouvelle !
Malheureusement, il y a des professions comme celle de policier, ou passer à l'acte est facilité par le fait que "tout le matériel nécessaire" est à portée de main.
D'autres professions sont également atteins par un taux de suicide élevé pour les mêmes raisons.
Chez les vétérinaires, par exemple, le taux de suicide est quatre fois plus élevé que chez le reste de la population, mais c'est moins médiatisé.
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