15h32: Randall Schewdorffer, avocat de Jonathann Daval:
"Cela s'est passé exactement comme on l'espérait"
"Ce qu'il a fait est extrêmement courageux malgré ce qu'on lui reproche"
"Jonathann n'était plus défendable dans sa dernière version des faits. Il va enfin pourvoir être défendu convenablement devant une cour d'assises."
"Il semble assez évident que sans parler de mobile, on peut parler de "rages narcissiques", sans aucune préméditation, qui provoquent en général un excès de violences. (...) L'assassinat est exclu."
"Nous ne savons pas encore ce que nous plaiderons avec mes confrères."
"Il y a un moment il faudra rentrer dans l'intimité" de leur vie, "même si ça gêne, même si c'est difficile".
"Il était extrêmement tendu et stressé, et il est parvenu à tout faire seul, tout ce qui lui était reproché."
"Le procès va être extrêmement lourd à gérer, l'un des plus difficiles à gérer émotionnellement"
"Les parents d'Alexia ont eu ces mots : 'Ce n'est pas encore le temps du pardon mais on te remercie'. Ce qui est très exceptionnel dans une affaire criminelle".
Samuel Esteve - Avocat de Jonathann Daval
"Il était dans l'intérêt de Jonathann Daval de ne pas persister dans les mensonges"
"Il nous a paru soulagé"
"C'était quelque chose de très difficile à dire"
"Il n'y a rien d'important qui reste inconnu, tout colle aux éléments objectifs du dossier."
14h30: Le point cet après-midi sur ce que l'on sait
Jonathann Daval a livré lundi des aveux complets lors d’une reconstitution judiciaire qui s’est prolongée pendant sept heures en Haute-Saône, reconnaissant avoir procédé lui-même «à la crémation partielle du corps» de sa femme Alexia et lui avoir porté des coups mortels d’une extrême violence.
Ces aveux ont levé les dernières zones d’ombre qui planaient sur ce dossier et définitivement écarté la thèse d’une complicité, avancée un temps par certains membres de la partie civile.
Une nouvelle fois dans cette affaire, l’intervention de la mère et du père d’Alexia, Isabelle et Jean-Pierre Fouillot, présents -fait exceptionnel- lors de la reconstitution, aura été décisive, conduisant l’informaticien de 35 ans à reconnaître les faits.
«Face à la demande pressante de ses beaux-parents, qui l’ont imploré de dire toute la vérité, il (Jonathann Daval, NDLR) a finalement admis qu’il avait non seulement donné la mort mais également procédé à la crémation partielle du corps», a déclaré le procureur de la République à Besançon, Etienne Manteaux, devant la presse.
Jonathann Daval a reconnu aussi la violence des coups qu’il lui avait portés lors d’une dispute, qu’il minimisait jusque-là.
La dispute, a expliqué Etienne Manteaux, avait dégénéré dans l’escalier du pavillon que le couple habitait à Gray-la-Ville, où la reconstitution a débuté à 05H00 lundi, afin de reproduire peu ou prou les conditions nocturnes du meurtre.
Après une empoignade, «il aurait frappé le visage de sa femme contre un mur en béton dans la descente d’escalier et aurait ensuite, parce qu’elle criait, (...) asséné entre 5 et 10 coups de poing au niveau du visage», a détaillé le procureur.
Puis, a-t-il dit, Jonathann Daval «a remimé le geste qu’il aurait accompli ce soir-là, en l’étranglant pendant environ 4 minutes de façon continue».
Un récit et des faits «parfaitement cohérents avec l’ensemble des lésions constatées au niveau du thorax et de la face intérieure du corps et au niveau du visage», selon les médecins légistes, également présents lors de la reconstitution, a ajouté le procureur.
A l’origine du conflit qui est «allé crescendo» au sein du couple, «un rapport sexuel» réclamé par Alexia Daval, qui «prenait à cette époque un traitement de stimulation de la fertilité dans son désir d’être mère et M. Daval (qui) a refusé ce rapport sexuel», a confié M. Manteaux.
Entamée dans le pavillon du couple, la reconstitution s’est poursuivie sous le soleil en milieu de matinée dans une zone forestière, le Bois d’Esmoulins, où le corps d’Alexia avait été découvert, partiellement brûlé, le 28 octobre 2017.
«Nous voulions la vérité, nous l’avons eue», a réagi Isabelle Fouillot qui avait déjà arraché à Jonathann Daval, dont elle était très proche, ses seconds aveux en décembre après une période pendant laquelle l’homme avait invoqué un «complot familial», accusant son beau-frère Grégory Gay d’être l’auteur du meurtre.
«Je le connais bien (Jonathann Daval, NDLR), je sais qu’il nous aime, nous avons des liens très forts avec lui. Ce n’était pas facile», a poursuivi Isabelle Fouillot, ajoutant: «Alexia va peut-être pouvoir reposer en paix maintenant».
Comme on lui demandait si elle était prête à pardonner, la mère d’Alexia a enchaîné: «C’est tellement dur pour l’instant, on l’aimait. Le pardon, ça viendra un peu plus tard. Chaque chose en son temps...».
Selon Etienne Manteaux, le procès pourrait se tenir «plutôt au deuxième semestre 2020».
Au cours de la reconstitution, à laquelle assistaient, outre les parents d’Alexia, sa soeur et son beau-frère Stéphanie et Grégory Gay, Jonathann Daval «a demandé pardon tout en disant qu’il était impardonnable», a-t-il rapporté.
C’est une «bonne journée pour la défense des parties civiles et pour la vérité», s’est félicité Me Jean-Marc Florand, conseil des parents.
«Il a fallu le savoir-faire d’Isabelle (Fouillot), accompagné par le savoir-faire du juge, pour que la situation se débloque. La justice, quelquefois, c’est de la psychologie», a ajouté Me Gilles-Jean Portejoie, autre avocat des parties civiles.
12h52: La mère d'Alexia Daval s'exprime face aux journalistes
"On lui a dit qu'on voulait la vérité. Et qu'il fallait qu'il avoue. On aurait pu soupçonner un complice", a-t-elle déclaré. Et d'ajouter : "Il nous a demandé pardon (...) Le principal, c'est la vérité. Le pardon viendra dans un second temps". "Nous voulions la vérité, et nous l'avons eue", a continué la mère.
La reconstitution était "éprouvante", pour les parents de la victime. "Il y avait toutes ses affaires dans la maison. Mais on l'a fait pour tout le monde, pour avoir le fin mot", a confié la mère d'Alexia.
12h37: Le procureur de la République, Etienne Manteaux, s'exprime
"Les parents d'Alexia participaient à cette reconstitution. La version des faits de Monsieur Daval a encore évolué"
"Cette reconstitution était nécessaire pour mettre le mis en examen face à des incohérences"
"Monsieur Daval a expliqué comment il avait chargé le corps dans son véhicule professionnel. Il a accepté de nous montrer comment il s'est rendu dans le Bois d'Esmoulins. Il a pu seul tirer le corps jusqu'à l'endroit où les enquêteurs ont trouvé le corps d'Alexia"
Jonathann Daval a admis qu'il avait "procédé à la crémation partielle du corps" de son épouse
"Monsieur Daval s'est adressé à la famille et il a demandé pardon. La famille avait besoin d'entendre la vérité"
Jonathann Daval a "vraisemblablement agi seul", a-t-il déclaré
12h10: La reconstitution judiciaire, entamée vers 05h, est désormais terminée, selon BFMTV. Tous les acteurs du dossier ont été convoqués afin de participer à cette reconstitution.
La reconstitution judiciaire du meurtre d’Alexia Daval par son mari Jonathann, entamée vers 05H00 lundi, s’est transportée en milieu de matinée dans le Bois d’Esmoulins, où le corps de la jeune femme avait été découvert partiellement brûlé le 28 octobre 2017.
L’informaticien de 35 ans a quitté sous bonne garde, peu après 9H30, le pavillon de Gray-la-Ville, où le couple résidait et où s’était déroulée la première phase de la reconstitution. Celle-ci devait répondre à une interrogation centrale: comment Jonathann Daval explique-t-il la violence des coups relevée par le médecin légiste? Le jeune homme avait jusque-là «minimisé» leur brutalité, selon une source proche du dossier.
10h51: Ce que l'on sait ce matin
La reconstitution judiciaire du meurtre d’Alexia Daval par son mari Jonathann, entamée vers 05H00 lundi, s’est transportée en milieu de matinée dans le Bois d’Esmoulins, où le corps de la jeune femme avait été découvert partiellement brûlé le 28 octobre 2017.
L’informaticien de 35 ans a quitté sous bonne garde, peu après 9H30, le pavillon de Gray-la-Ville, où le couple résidait et où s’était déroulée la première phase de la reconstitution. Celle-ci devait répondre à une interrogation centrale: comment Jonathann Daval explique-t-il la violence des coups relevée par le médecin légiste? Le jeune homme avait jusque-là «minimisé» leur brutalité, selon une source proche du dossier.
La deuxième phase, dans le Bois d’Esmoulins, à 5 kilomètres de Gray-la-Ville, vise principalement à lever les doutes sur le rôle joué par Jonathann Daval dans la crémation partielle du corps d’Alexia, sur laquelle il a jusqu’à présent refusé de s’exprimer.
Pour cette deuxième phase, la gendarmerie a déployé les grands moyens afin d’interdire l’accès à la zone aux journalistes et à d’éventuels curieux: hélicoptère, drone et patrouilles à cheval... Un photographe, qui tentait de couper à travers les champs, a été promptement intercepté par les gendarmes.
Depuis l’aube, Jonathann Daval fait face à la famille d’Alexia qui, fait exceptionnel, assiste à la reconstitution: ses parents, Isabelle et Jean-Pierre Fouillot, ainsi que sa soeur Stéphanie et son beau-frère Grégory Gay, entourés de leurs avocats.
A son arrivée à Gray-la-Ville, Isabelle Fouillot, très éprouvée, avait dit espérer que cette reconstitution ferait «bouger les choses» et que face à la famille d’Alexia, Jonathann Daval serait amené à «parler davantage».
«Est-ce qu’il y a complicité, est-ce qu’il y a préméditation, qui a brûlé le corps, et pourquoi de telles choses, pourquoi de telles horreurs, parce qu’il n’y a rien qui puisse justifier des actes aussi horribles?», s’était-elle interrogée devant les micros de France Inter et de BFMTV.
Pour Me Jean-Marc Florand, l’un des avocats des parties civiles, qui «envisage un procès l’année prochaine» aux assises, la question de la «carbonisation (partielle) du corps» d’Alexia devait être au coeur de la reconstitution.
10h03: Après avoir quitté la maison de Gray-la-Ville, Jonathann Daval se rend, accompagné de son avocat Maitre Schwerdorffer,
dans le Bois d’Esmoulins
09h55: Les parents d’Alexia Daval, Isabelle et Jean-Pierre Fouillot ainsi que son beau-frère Grégory Gay, sont arrivés sur place, entourés de leurs avocats, pour assister à cette reconstitution qui doit lever les toutes dernières zones d’ombre de cette affaire.
De nombreux journalistes sont quant à eux maintenus à distance de l’ancien pavillon de Jonathann et Alexia Daval, situé au 18 rue de Sonjour, par un dispositif de gendarmerie.
09h42: Après une première phase à Gray-la-Ville, village de 900 âmes entre Vesoul et Dijon -ville où Jonathann est actuellement détenu-, le dispositif judiciaire se transportera à cinq kilomètres de là, dans le Bois d’Esmoulins.
C’est dans ce bois que, le 28 octobre 2017, le corps partiellement calciné d’Alexia Daval, une employée de banque de 29 ans, avait été découvert dissimulé sous des branchages.
Autre avocat des parties civiles, Me Gilles-Jean Portejoie espère que cette situation créera un «choc de la vérité» qui le fera craquer, comme en décembre quand, confronté à la mère d’Alexia, il avait, en pleurs et à genoux, reconnu pour la deuxième fois le meurtre de sa femme.
Autre point capital qui reste à éclaircir: la violence des coups portés à Alexia. Jonathann reconnaît certes l’avoir frappée, mais minimise ses violences qui ne cadrent pas avec les constatations médico-légales, selon une source proche du dossier.
Les explications du jeune homme, qui a multiplié les revirements depuis son interpellation trois mois après le meurtre, sont donc très attendues et chacun de ses gestes sera méticuleusement photographié et scruté, dans la perspective d’un procès aux assises où il encourra la réclusion à perpétuité.
Arrêté à la stupeur générale en janvier 2018 après avoir campé pendant des mois le rôle du veuf éploré, ce discret informaticien de 35 ans avait avoué le meurtre en garde à vue, acculé par des éléments accablants (relevés du «tracker» sur son véhicule professionnel, fragment de drap du couple retrouvé près du corps...).
Il était ensuite revenu sur ses aveux, accusant son beau-frère et invoquant un «complot familial». Avant de reconnaître une seconde fois avoir étranglé son épouse lors d’une violente dispute, devant sa belle-mère en décembre.
09h38: Soit Jonathann Daval «continue de dire que ce n’est pas lui et l’on entend sa parole et dans ce cas-là ce n’est ni le loup-garou, ni le Saint-Esprit, donc c’est un tiers» soit il le reconnaît «et la boucle est bouclée», a-t-il déclaré devant la presse.
«L’impact de la crémation sur une cour d’assises serait très négative» dans «une civilisation judéo-chrétienne où la crémation non volontaire du corps est considérée comme un sacrilège» et «une épreuve supplémentaire infligée à la famille», a-t-il relevé.
09h30: Les parents d'Alexia Daval, accompagnés de leurs avocats, viennent d'arriver sur les lieux de la reconstitution
09h23: Le point ce matin sur la reconstitution qui a débuté à 5h
Jonathann Daval fait face depuis lundi 05H00 à la famille d’Alexia, son épouse dont il a avoué le meurtre commis en octobre 2017 à Gray-la-Ville (Haute-Saône), pour une reconstitution judiciaire décisive dans une zone pavillonnaire bouclée par la gendarmerie.
Fait exceptionnel, les parents d’Alexia Daval, Isabelle et Jean-Pierre Fouillot ainsi que son beau-frère Grégory Gay, sont arrivés sur place, entourés de leurs avocats, pour assister à cette reconstitution qui doit lever les toutes dernières zones d’ombre de cette affaire.
De nombreux journalistes sont quant à eux maintenus à distance de l’ancien pavillon de Jonathann et Alexia Daval, situé au 18 rue de Sonjour, par un dispositif de gendarmerie.
Deux points essentiels restent à éclaircir: Jonathann Daval, qui a reconnu avoir étranglé sa femme et a été mis en examen pour «meurtre sur conjoint», reconnaîtra-t-il aussi avoir tenté de brûler son corps, ainsi que la violence des coups constatés par le médecin légiste, qui devait également assister à la reconstitution du meurtre ?
Celle-ci devait débuter peu avant le lever du soleil, afin de coller peu ou prou aux circonstances du meurtre commis de nuit.
A son arrivée, Isabelle Fouillot a dit espérer que cette reconstitution ferait «bouger les choses» et que face à la famille d’Alexia, Jonathann Daval serait amené à «parler davantage».
«Est-ce qu’il y a complicité, est-ce qu’il y a préméditation, qui a brûlé le corps, et pourquoi de telles choses, pourquoi de telles horreurs, parce qu’il n’y a rien qui puisse justifier des actes aussi horribles», s’est-elle interrogée devant les micros de France Inter et de BFMTV.
Pour Me Jean-Marc Florand, l’un des avocats des parties civiles, qui «envisage un procès l’année prochaine» aux assises, la question de la «carbonisation (partielle) du corps» d’Alexia devait être au coeur de la reconstitution.
08h59: Premières images sur place par nos confrères de France 3
VIDEO. Un important dispositif de gendarmerie autour du bois de Velet-Esmoulins où va se dérouler la reconstitution du meurtre d'Alexia Daval #alexiadaval #hautesaone #gray
— France 3 Franche-Comté (@F3FrancheComte) 17 juin 2019
DIRECT https://t.co/yDWv3QleAn pic.twitter.com/kqubwO3JpP
07h47: Les parents d'Alexia, sa sœur Stéphanie et son beau-frère Grégory Gay, sont présents, selon France 3, qui précise que c'est à leur demande. "Bien sûr que mes clients seront là. C'est un moment de confrontation familiale qui sera intense", prédit maître Gilles-Jean Portejoie.
07h38: "Peut-être qu'en nous voyant il pourra parler davantage", a expliqué à franceinfo Isabelle Fouillot à propos du principal suspect, Jonathann Daval. "Je m'attends à un moment très difficile" "Ce n'est pas de gaieté de cœur que j'y vais, a poursuivi la mère de la victime, parce que c'est la maison dans laquelle j'ai grandi. J'y vais parce qu'il faut faire bouger les choses", dit-elle. "Je m'attends à un moment très difficile", continue-t-elle. Isabelle Fouillot, pour qui "rien ne peut justifier des actes aussi horribles", espère également que la reconstitution permettra de répondre aux questions qu'elle se pose : "Est-ce qu'il y a complicité ? Est-ce qu'il y a préméditation ? Qui a brûlé le corps ? Pourquoi de telles horreurs ?"
06h01: La reconstitution du meurtre d'Alexia Daval a commencé à 5 heures ce matin dans la maison du couple à Gray-la-ville en Haute-Saône, la mère de la victime espère que l'enquête pourra avancer.
Pour Me Jean-Marc Florand, l’un des avocats des parties civiles, qui « envisage un procès l’année prochaine » aux assises, la question de la « carbonisation partielle du corps » d’Alexia sera au cœur de la reconstitution.
Soit Jonathann Daval « continue de dire que ce n’est pas lui et l’on entend sa parole et dans ce cas-là ce n’est ni le loup-garou, ni le Saint-Esprit, donc c’est un tiers » soit il le reconnaît « et la boucle est bouclée », a déclaré l’avocat devant la presse peu avant l’arrivée de Jonathann Daval. « L’impact de la crémation sur une d’assises serait très négative » dans « une civilisation judéo-chrétienne où la crémation non volontaire du corps est considérée comme un sacrilège », étant aussi « une épreuve supplémentaire infligée à la famille », a-t-il relevé.
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Page spéciale sur la reconstitution, en direct, à 13h35 dans "Crimes et Faits Divers: la quotidienne" sur NRJ12
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Vos réactions
Dans combien de temps vous pensez qu'il va sortir de prison : 10 , 15 ans ? Donc récidive possible !
Je ne parle pas du temps, je parle des circonstances du meurtre.Nous n'avons pas ici un tueur en série potentiel ,du genre Emile Louis ,Fourniret Guy Georges etc ..donc peu de chances de récidive .Il a fallu des circonstances très particulières pour que le drame se produise.
Il faut remettre la peine de mort pour des cas pareils !!!
Le principal argument pour la peine de mort est d'éviter la récidive.Dans cette histoire ,il y a peu de chances que le prévenu récidive.
A l’origine du conflit qui est «allé crescendo» au sein du couple, «un rapport sexuel» réclamé par Alexia Daval, qui «prenait à cette époque un traitement de stimulation de la fertilité dans son désir d’être mère et M. Daval (qui) a refusé ce rapport sexuel», a confié M. Manteaux.
Mobile inédit à l'origine. Habituellement on voit plutôt l'inverse. (Le viol conjugal est assez fréquent).
ok
il a enfin avoué! par contre la mère qui est prête à lui pardonné, la vache! En tout cas si çà devait m'arriver, je lui souhaiterai de mourir pas de pardons!
Tout dépend des valeurs de chacun ... Si cette dame est catholique , cela peut expliquer qu'un "pardon" puisse advenir un jour, histoire de ne pas être dévorée par la haine ...
J'avoue que personnellement , j'en serais incapable (pardon) ... ôter la vie de quelqu'un n'est jamais excusable , à mes yeux ...
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