05/06/2019 13:39

Ce jeune homme a passé 4 ans en prison par erreur... Il raconte son calvaire en direct tout de suite dans "Crimes" sur NRJ12

Youssef a grandi à Malakoff, un quartier populaire au sud de Nantes en Loire Atlantique. Issu d’une famille nombreuse, le jeune homme habite chez sa maman et fréquente les petits voyous de la cité. Mais à 20 ans, il préfère laisser derrière lui ses mauvaises fréquentations et se rapproche du centre-ville où il travaille en alternance dans un magasin de vêtements. Mais le 4 avril, à 6h du matin, il est brutalement arrêté par la police, qui vient de forcer la porte de l’appartement familial.

En garde à vue, les policiers lui parlent d’un braquage survenu le 1er novembre, soit 5 mois plus tôt. Ils l’accusent d’être l’un des malfrats, le plus violent de la bande. Et ils ont un témoignage à charge. Celui d’un des braqueurs qui est un ancien camarade de collège de Youssef. Tout porte à croire que le jeune étudiant de 21 ans est coupable.

Sauf un élément, une preuve précieuse de son innocence : son relevé téléphonique. Car à l’heure dite du braquage, le portable de Youssef indique qu’il se trouvait chez lui, en pleine conversation avec sa petite amie de l’époque. Pourtant, ce document ne sera pas pris en compte. En 2007, Youssef sera condamné à 10 ans de réclusion criminelle. Et il croupira 4 longues années en prison avant d’être finalement innocenté. Youssef sera en direct pour nous raconter ces années d’enfer !

Et puis direction le Sud-Ouest de la France.. où pendant près de 15 ans, un violeur en série a échappé aux filets des enquêteurs.. Les journalistes l’avaient surnommé « le chat » à cause de son mode opératoire si particulier. Il repérait ses proies lors de ses déplacements professionnels. Il les traquait pendant plusieurs jours avant d’entrer par effraction chez elles en leur absence pour repérer les lieux. Enfin, la nuit venue, il se glissait dans leur chambre après avoir coupé le compteur électrique. Il les réveillait et leur attachait les mains dans le dos avant de les violer. Terrorisées, les victimes n’osaient pas, pour la plupart, crier ou se défendre. Le tout dans la pénombre, et sans faire de bruit. Ses 36 victimes n'avaient d’ailleurs jamais vu son visage avant le procès.

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