Cette mère de famille a été retrouvée morte, vidée de son sang en plein Paris... En direct à 13h35 sur NRJ12 dans "Crimes et Faits divers: la quotidienne" - Vidéo

Nous sommes au coeur de Paris, dans le 20ème arrondissement, au sein d’un quartier populaire et animé. Le 8 septembre 2014 au matin, devant un petit parc pour enfants, des passants découvrent le corps d’une femme. Il s’agit de Rachel, 41 ans, une mère de famille. La quadragénaire est allongée sur le dos, sans vie. Elle a succombé à une hémorragie interne après qu’on lui ait inséré un objet tranchant à l’entrejambe.

Dès le lendemain, un suspect est identifié grâce à la vidéosurveillance, et interpellé. Il s’agit de Christian, un compagnon de Rachel. L’homme a de l’ADN de la mère de famille sous ses ongles et du sang lui appartenant sur ses chaussures. Pour autant, malgré les preuves irréfutables, Christian nie avoir tué Rachel. Et il est défendu par deux très bons avocats. Deux ans après les faits, son procès doit avoir lieu mais les faits ont été requalifiés en violences volontaires et non plus en homicide volontaire. Une terrible déception pour Laurine, la fille de Rachel, qui compte bien se battre pour honorer la mémoire de sa mère. Laurine sera avec nous en direct.

Dans le Rhône, au coeur d’un petit village de 500 habitants, Jean-Paul disparaît en avril 2008. Geneviève, sa compagne se rend à la gendarmerie pour signaler sa disparition. Elle explique que Jean-Paul était parti en voiture nourrir ses chiens dans un village voisin et qu’il n’est pas rentré depuis. Mais les gendarmes ne prennent pas tout de suite sa disparition au sérieux. La famille entreprend alors ses propres recherches. Mais Jean-Paul reste introuvable.

Après trois jours sans nouvelles du père de famille, coup de théâtre ! Geneviève se rend dans une autre gendarmerie en expliquant qu’elle a eu un accident de voiture avec son compagnon, et que le véhicule a glissé dans un étang. Elle aurait réussi à s’extraire. Mais le corps de Jean-Paul, lui, est retrouvé sans vie. Et les premiers éléments relevés sur la scène du drame sont loin de laisser penser à un accident : il n’y a pas de trace de choc et la pente n’est pas très prononcée. Les enquêteurs ont des soupçons, et Geneviève est placée en garde à vue.