Zemmour acclamé au salon du livre: "Aucun regret !"

La France devrait un droit de regard sur l'education arabo-musulmane.
Quel que soit l'endroit du monde où elle est donnée, il y a des flambées de violence (Algerie, Moyen orient, banlieues françaises...)
Pourquoi pas installer une camera dans chaque foyer arabo-musulman?

Le nerf de la guerre : le pognon...supprimer les allocs...et cela responsabiliserait un peu les parents....qui s'inquièteraient alors peut etre que pourquoi le petit de 6ans n'est pas encore rentré a 22 heures !!!et moi la, je ne parle pas de couleur de peau....je parle pour tous !!!!

et pour la liberté d'expression!!!

tant mieux,cela signifie que tout ceux qui veulent interdire la liberté d'expression dans ce pays ne sont pas tous écoutés. Zemmour n'a vraiment rien dit d'extraordinaire qui merite un tel tollé. A qui profite la polémique ???

Ah maintenant "il n'a rien dit du tout" et bien, super comme tout ça évolue!
On dirait vraiment qu'il est protégé ; il peut dire les pires horreurs ça ne change rien à sa vie, il est toujours accueillit à bras ouvert dans ses émissions Tv et radios, à la rédaction d'un certain journal etc..

A vrai dire si Stéphane Guillon avait déclaré des propos identiques, il aurait été Li-SeN-SIé !
Selon les personnes, les mesures ne sont donc pas les mêmes.. Vive l’injustice!

Au jour d'aujourd'hui il dit (enfin) ce qu'il pense véritablement, c'est à dire :
"Qu’il n'y a pas eu de dérapage" ---> ah pardon c'est son frère jumeau qui a dérapé, on s'est totalement trompé de personne et on a blâmé un innocent, victime des dérapages de son frère!
"Qu’il ne regrette rien" et "qu'il n'a rien dit du tout" ---> de nouveau ce n'est pas lui mais son frère! Bien sûr qu’il n’a rien dit !

Au moins il est (enfin) honnête, mais ça n'a pas l'air de choquer qu'il n'en ait rien à faire et qu'il trouve ses proclamations ce qu'il y a de plus normales.

il ya 2 jours il regrette ses propos sur le plateau de ruguier, au salon du livre il annonce qu il ne regrette rien, pas trés clair dans ses idées et dans ses propos!

Monsenge, Lacheté, Racisme........ vive la republique!!

Il regrette pour éviter son licenciment et la, il annonce le contraire. Que dire de plus ? Pathétique !

Juste pout dire que je n'aime pas du tout Zemmour et çà depuis le début ............j'ai horreur de la méchanté gratuite ..

bon en resumé nous avons eu le droit hier a deux très belles démonstrations
Dans son edito Ruquier expliquant ne pas être d accord avec les propos de zemmour, ne pas être d accord avec les stigmatisations de zemmour tout en ne voulant pas l interdire de s exprimer.Ruquier a démontré contre l avis de tous les blogueurs extrémistes que l ont peut dire que les propos de zemmour sont stigmatisants sans vouloir le censurer ou l interdire.

La deuxième démonstration, zemmour la faite tout seul en démontrant son problème avec les chiffres et le quantitatif sur les sujets l obsédant . il a dit que dans tous les films français il y avait des personnages homosexuels , il n a même pas dit dans la plupart des films français , mais dans tous les films français. il ne pouvait pas être plus clair sur la mauvaise foie de ses utilisations de chiffres et du quantitatif

Par contre son intervention a la fin etait un bon soutien corporatiste ou zemmour a pu parler tout seul sans contradicteurs.
il a été intéressant aussi qu il ait confirmé face a rama yade qu il etait contre les statistiques ethniques qu il était contre partitionner les français par ethnie ou religion , se qui est effectivement contradictoire pour quelqu un étant contre les statistiques ethniques mais insinuant en connaitre quand ca l arrange .

En France, la délinquance a « une dimension ethnique » puisque les « deux tiers des mineurs délinquants sont d’origine étrangère » (Etude sur les dossiers des mineurs jugés par le tribunal de Grenoble (Isère) entre 1985 et 2000 par deux sociologues du CNRS, Sébastian Roché et Monique Dagnaud). Si les délinquants sont à une écrasante majorité d’origine étrangère et afro-maghrébine (« J’ai vu une liste de 3 000 auteurs de violences urbaines établie par les RG parisiens, et il n’y avait que 59 noms « gaulois » » Xavier Raufer, criminologue, in Le Point, 24 juin 2004), les victimes sont le plus souvent blanches, car « si auteurs et victimes ont souvent la même appartenance communautaire outre-Atlantique, ce n’est pas le cas en France. » (Le Monde 16/04/04).

Comme l’avouera Julien Dray, fondateur de Sos Racisme et porte-parole du PS, dans son livre Etat de violence : « Incendies de voitures, rackets, viols. Les violences prennent de préférence pour cibles “Babtous“, c’est-à-dire les Blancs. »

Il y a une dizaine d’années, le commissaire Lucienne Bui Trong, chargée des violences urbaines à la Direction centrale des RG, relevait que 85 % de leurs auteurs étaient d’origine maghrébine et qu’ils agissaient en raison d’une sorte de « paranoïa » vis-à-vis de la société française (Le Point, 24 juin 2004).

Les délinquants sont motivés par la haine : « Ils se disent « Toi, le petit Blanc, je vais te foutre le nez dans ta peur« .» (Libération, 16 avril 2005). Ils agissent par vengeance contre les colonisateurs, esclavagistes, racistes et riches que les Français de souche seraient, car « à tort ou à raison, il y a une mémoire collective d’un exercice de l’oppression française » (Sebastian Roché, Le Point, 24 juin 2004).

Des délinquants anti-Blancs se « disent qu’ils font la guerre à la France… Leur bannière de ralliement, c’est l’esclavage et le racisme anti-blanc » (Calixte Beyala, écrivain noir, Le Point, 10 novembre 2005).

Pour Dominique Doukhan-Zyngierman, « les gars de la cité n’aiment pas les “petits bourges blancs“ : Ils ne font pas partie du même monde. La société s’est vraiment coupée en deux, et on va vers des relations très dures » (Marianne 19 au 25 février 2005, n°409).

Le racisme anti-Blanc est présent partout en France et plus particulièrement dans 800 quartiers répartis sur tout le territoire (1,8 million de personnes) où il existe au vu de tous un « racisme antifrançais ». Huit critères ont été retenus par la Direction centrale des renseignements généraux (DCRG) pour définir un quartier sensible : un nombre important de familles d’origine immigrée, pratiquant parfois la polygamie ; un tissu associatif communautaire ; la présence de commerces ethniques ; la multiplication des lieux de culte musulman ; le port d’habits orientaux et religieux ; les graffitis anti-occidentaux ; l’existence, au sein des écoles, de classes regroupant des primo-arrivants, ne parlant pas français ; la difficulté à maintenir une présence de Français d’origine. Victimes de leur couleur de peau, les personnes « d’origine européenne – déménagent massivement et […] les commerces traditionnels ferment » (Le Monde, 06 juillet 2004), mais personne n’ose évoquer cet exode, cette forme de purification ethnique hexagonale : « On peut rien leur dire, sinon c’est les représailles. Ils vous cassent une vitre ou la boîte aux lettres. En trente ans, mes voitures ont toutes été fracturées et ma femme a été agressée trois fois » (Le Point, 10 novembre 2005, « La Grande Peur des Gaulois »)

Les ghettos sont des « parcelles de France où les comportements, les violences, l’engagement religieux, les rapports hommes-femmes s’éloignent des pratiques admises » (Le Monde, 06 juillet 2004). Ce sont des zones où les différentes communautés vivant sur le sol français se regroupent de façon homogène. Paradoxalement, les premiers opposants à la construction de logements sociaux, comme l’a constaté la sociologue Marie-Christine Jaillet lors d’une enquête dans le Sud de la France, sont « des syndiqués, des universitaires de gauche, des militants des droits de l’homme », comme elle le remarque « personne ne disait qu’il ne voulait pas d’Arabes sur la commune, mais on entendait tous les prétextes ». (Télérama, n°2806, « Ma part de ghetto »). Hypocrisie encore lorsque René Monzat, journaliste spécialiste des extrêmes droites, dénonce lors d’un colloque du Mrap, « les agressions de collégiens et lycéens par des bandes de jeunes banlieusards noirs du fait de leur look de “surfeurs“ blancs » (Différences, n° 260).

Christophe Guilluy, auteur d’un Atlas des nouvelles fractures sociales, définit parfaitement, quant à lui, cette mentalité bobo qui gangrène nos élites dirigeantes : « Dans bobo au contraire, il y a bourgeois […] Reste que le principe de générosité connaît ses limites. On peut soutenir les enfants de sans-papiers et contourner discrètement la carte scolaire. Par ailleurs, le bobo a beau se rattacher à la tradition ouvriériste du Paris faubourien, rien ne le déstabilise plus qu’un prolo blanc (…) Le pauvre du bobo, c’est l’étranger fraichement immigré qui vit à ses côtés dans les cités HLM du nord-est parisien. Contrairement au prolo, l’immigré est une personne éminemment sympathique, avec qui vous voudrez entretenir une relation placée sous le signe du rapport interculturel » (Le Nouvel Observateur, 29 mars 2007).

ben oui fircement autant renier un document que l on peut voir et ne parler que de documents inventés et invisible
la cretinerie n a pas de limite

si je te dis que 85% de francais sont racistes
ca ne veut pas dire que les racistes sont a 85% francais

avec les racistes tu comprendras mieux, c est des gens que tu connais bien
la langue francaise travesti n en ait pas pour autant la langue francaise
votre icone zemmour aurait honte de vous

forcement on ne peut pas rire au blague de dlepen est rire en meme temps au comique de bedos
au moins du reste coherent dans ton ideologie

d un cote le noyau, de l autre les extrêmes

il faut mettre les mots dans l ordre pour parler le francais
a force d etre obsedé par les musulmans vous lisez de droite a gauche, d extreme droite meme