
Jean-Marie Le Pen va réclamer aujourd'hui sa réintégration mais aussi deux millions d'euros pour le "très grave préjudice" dont il a été victime.
À trois reprises, l'été dernier, la justice lui avait donné raison face au parti.
D'abord en annulant sa suspension puis, à deux reprises, en suspendant le congrès par correspondance censé supprimer son statut de président d'honneur.
Pour ce quatrième round judiciaire, Jean-Marie Le Pen demande au tribunal d'annuler son exclusion, "entachée d'irrégularités de forme et de fond" et ainsi d'ordonner sa "réintégration parmi les membres" du parti, selon l'assignation.
En outre, lui qui s'estime président d'honneur "à vie" du FN demande à la justice de dire "en tout état de cause" que son exclusion en tant que membre ne saurait le priver de ce titre et des prérogatives qui y sont attachées, et de lui permettre notamment de siéger à nouveau au sein des instances dirigeantes du parti.
Dénonçant "un grand nombre de voies de fait", il réclame enfin au Front national, qu'il a cofondé en 1972, deux millions d'euros en réparation d'un "très grave préjudice" porté à sa fonction de président d'honneur, mais aussi "à sa dignité, son honneur, sa notoriété et son action politique".
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Vos réactions
Notre belle famille...
Il les fera chier jusqu'au bout ! Quel vérole ce vieux débris !
bien en accord avec vous .Jean Marie a fait son temps s'il veut que le FN gagne qu'il laisse sa fille s'occupe du FN d’ailleurs c'est lui qu'il la mise en place
C est sa façon de protéger sa fille si le fn est élu les français se rendront compte de la supercherie du parti et de rester dans l opposition ça rapporte plus d argent (ils ont le château à entretenir )
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