
22h00: Fin des incidents à Paris, après un contrôle de toutes les identités des personnes qui étaient encerclées par les forces de l'ordre.
21h00: Premières images des incidents postées sur Twitter
20h52: Les casseurs toujours sur place sont encerclés par les gendarmes mobiles.
20h51: Selon le Parisien près d'une cinquantaine de casseurs, protégés par des casques de motos, se sont mêlés aux 800 personnes venues manifester.
Peu après 20 heures, ils ont commencé à s'attaquer aux grilles en métal, avant de jeter des fumigènes et des pétards en direction des forces de l'ordre.
20h41: Selon une source autorisée, citée par l'Express, des "projectiles incendiaires" ont été envoyés sur les forces de l'ordre.
20h38: Un important dispositif de sécurité a été envoyé sur place pour contenir le rassemblement.
20h30: L'Hôtel de ville évacué à Paris ce soir alors qu'une manifestation en hommage à Rémi Fraisse menace de dégénérer selon l'Express.
Vos réactions
L'échappatoire?? C'est pareil pour tout le monde. La France va mal et la violence n'excuse rien. Chacun peut avoir ses idées, mais pourquoi les exprimer par la violence. Ces jeunes, ils peuvent chercher du travail au lieu de squatter le site du barrage ou même l'aéroport.... Ils vivent de quoi ces écolos? Ah oui d'amour et d'eau fraîche...... Écœurant tout ça !
et tout cela a cause d'un barrage !!!!, a croire que le chômage, la baisse du pouvoir d'achat, la misérè qui avance en grand pas dans ce pays, etc......... ne touche personne. c'est bien une mentalité a la française,
je me suis fait la même réflexion : pour un barrage ou un aéroport, on s'est se battre, mais pour défendre notre pouvoir d'achat, nos emplois, nos salaires, rien, on se laisse marcher dessus sans rien dire....
Seulement 800 personnes !!
Enfin, il va bien falloir, dans ce pays, savoir si la loi a une quelconque valeur, si les règles de vie commune résumées dans notre constitution ont encore un poids.
Il va bien falloir savoir si cinquante personnes peuvent s’opposer par la violence à la marche de notre démocratie, enfin de ce qu’il en reste.
Il va bien falloir dire qui fait la loi et qui la fait respecter.
Les gendarmes attaqués se posent aujourd’hui la question de la légitimité de ceux qui ordonnent leurs actions, de la responsabilité de ceux qui les placent dans des situations intenables.
800 personnes ?
c'est le debut de la fin de haricots .....
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