En 2006, 56 journalistes avaient trouvé la mort, rappelle l'organisation établie à New York, qui continue à enquêter sur 22 décès pour déterminer s'ils sont ou non relatifs aux activités professionnelles des victimes.
Pour la cinquième année consécutive, l'Irak, où 31 reporters ont trouvé la mort, reste le pays le plus dangereux pour la presse. A une unique exception, tous étaient de nationalité irakienne. Neuf travaillaient pour des organes étrangers tels que Reuters ou Associated Press.
Viennent ensuite la Somalie avec sept morts, le Sri Lanka et la Pakistan, avec cinq tués chacun. /JPL (Michelle Nichols, version française Jean-Philippe Lefief)
Vos réactions
Ils étaient des vrais journalistes ! RESPECTS !!
d'autres restent dans leurs bureaux et critiquent ...
On nous ment !
Y travaillaient a point devue ou Closer ?...
Pourquoi aucune informartion sur le journaliste arreté (semble-t-il à tord) en FRANCE pour avoir réveler que la France savait que les attentats du 11 sept allaient avoir lieu?
Pourquoi faire croire que la presse FRANCAISE est exemplaire.
Avez vous peur que l'on vous remette en question?
Coucou le blog,
On pense à vous et aux disparus de ces dernières années.
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