Ce budget prend notamment en compte "le maintien de la publicité en journée" (prévu jusqu'en 2016).
Selon le groupe, ce budget va permettre de "couvrir un coût de grille en croissance de 3% sur 2010, permettant d'affirmer l'identité des chaînes" et "de marquer une nouvelle priorité en faveur du numérique, bénéficiant de moyens accrus de près de 40% (...) pour atteindre près de 50 millions d'euros".
Ce budget est en équilibre "pour la première fois depuis 2008, alors que le plan d'affaires prévoyait une perte nette de 36 millions d'euros pour 2011".
"Outre la bonne tenue des recettes publicitaires, précise France Télévisions, cet équilibre est atteint grâce à une maîtrise très affirmée des charges autres que de programmes, qui baissent de 5%, en particulier en matière de diffusion".
"Ce budget permet ainsi d'aborder dans les meilleures conditions, et dans un environnement publicitaire désormais clarifié, la négociation avec l'Etat d'un nouveau contrat d'objectifs et de moyens pour la période 2011-2015", conclut le communiqué.
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