03/10/2018 14:37

EN DIRECT - Démission de Gérard Collomb: "Il n'y a pas de crise politique" après son départ (Emmanuel Macron) - Le remaniement sera "une affaire de quelques jours"

14h34: La nomination d'un nouveau ministre de l'Intérieur pour remplacer Gérard Collomb est "une affaire de quelques jours", a assuré aujourd'hui le porte-parole du gouvernement Benjamin Griveaux.

"Comme le prévoit la Constitution, le Premier ministre formulera des propositions" au chef de l'Etat, "ce qui est une affaire de quelques jours", a déclaré M. Griveaux, pour qui d'ici là l'intérim assuré par Edouard Philippe est "parfaitement tenable".

13h59: La démission du ministre de l'Intérieur Gérard Collomb ne s'apparente pas à "une crise politique", a déclaré Emmanuel Macron durant le Conseil des ministres, selon le porte-parole du gouvernement. "Rien de ce qui se passe depuis 48 heures ne s'apparente à une crise politique. L'Etat fonctionne (...), le gouvernement est parfaitement à sa tâche", a déclaré le chef de l'Etat selon Benjamin Griveaux.

Emmanuel Macron estime que cette démission est "un choix qui appartenait à Gérard Collomb". "Depuis la fin de l'été, il s'était tourné vers Lyon et vers les Lyonnais, et ce faisant il s'était placé lui-même dans la position de démissionner", a-t-il ajouté, cité par le porte-parole.

10h25: Le point sur la situation

Emmanuel Macron réunit mercredi son Conseil des ministres sans Gérard Collomb dont le président a fini par accepter la démission dans la nuit, plongeant l’exécutif dans une nouvelle crise.

C’est le Premier ministre Edouard Philippe qui va assurer l’intérim du ministre de l’Intérieur, parti à la reconquête de Lyon, en attendant la nomination de son successeur place Beauvau.

Lors d’une passation de pouvoir sans chaleur et placée sous le signe de l’improvisation, Edouard Philippe, au visage impassible, a salué «la culture, le caractère direct de l’expression» du ministre.

Sans desserrer les dents, le Premier ministre, qui a dû annuler son déplacement prévu en Afrique du Sud, a également fait part de la «détermination» de l’exécutif «d’assurer le plus haut niveau de sécurité aux Français».

Avant une poignée assez polaire avec son successeur provisoire, Gérard Collomb a dit quitter «avec regret» un ministère «apaisé», tout en dressant un tableau sombre de la situation sécuritaire dans le pays.

Le désormais ex-premier flic de France a également félicité les forces de l’ordre pour l’arrestation dans la nuit du braqueur récidiviste Redoine Faïd. S’attirant les sarcasmes de Marine Le Pen sur le «beau doublé» de M. Collomb qui «endosse l’arrestation de l’évadé le plus célèbre et réussit sa propre évasion du gouvernement».

Le Conseil des ministres, à partir de 10h00, se déroulera ainsi sans Gérard Collomb autour de la table, actant définitivement la rupture entre Emmanuel Macron et ce soutien de la première heure, longtemps considéré comme un «fidèle parmi les fidèles».

Le N.2 du gouvernement avait remis mardi sa démission pour la deuxième fois en 48 heures afin de reprendre la mairie de la capitale des Gaules, qu’il a dirigée pendant seize ans avant de devenir ministre en 2017.

09h48: Après près de dix minutes de discours, c'est au tour d'Edouard Philippe de s'exprimer

Le Premier ministre a pour sa part salué sobrement «la très grande culture» de Gérard Collomb et le «caractère direct de l’expression».

«Nous vivons une époque difficile avec des menaces, à l’extérieur de notre territoire et parfois sur notre territoire (...). Il nous appartient à nous tous d’être à la hauteur de la tâche pour donner aux Français ce qu’ils attendent: la confiance, la sécurité, l’espoir et l’envie de faire vivre notre pays», a-t-il dit.

"Au moment où vous vous apprêtez à quitter Beauvau, je veux vous remercier des 16 mois de travail que nous avons passés ensemble au service des Français. j'ai pu apprécier la très grande culture qui est la vôtre, le caractère direct de l'expression"

"Le ministère de l'Intérieur c'est le ministère de la permanence de l'Etat, de la puissance et de la présence (...) Le Premier ministre ayant vocation à aller partout sur le territoire, il pourra arriver qu'il se rende à Lyon et il en sera très heureux"

"Nous vivons une période difficile (...) Il nous appartient à nous tous d'être à la hauteur de la tâche"

09h35: Gérard Collomb s'exprime aux côtés d'Edouard Philippe

Gérard Collomb a quitté «avec regret» mercredi un ministère de l’Intérieur «apaisé» mais confronté à des «problèmes immenses», lors d’une passation de pouvoir sans chaleur avec Édouard Philippe, dans l’attente de la nomination d’un nouveau ministre à ce poste stratégique.

«C’est toujours avec beaucoup de regret que l’on quitte le ministère de l’Intérieur», a déclaré Gérard Collomb dans la cour du ministère aux côtés d’Edouard Phillipe, la mine grave. Le ministre avait attendu seul sur le perron le Premier ministre, en regardant sa montre, pendant une vingtaine de minutes.

«Lorsque je suis arrivé, les choses n’étaient pas forcément faciles et on avait connu quelque temps avant une révolte de la police. Aujourd’hui je quitte un ministère apaisé et qui a su impulser un certains nombre de réformes mais il en reste bien d’autres à réaliser», a souligné le ministre démissionnaire.

Il a notamment insisté sur la situation «très dégradée» des quartiers difficiles. «Le terme de reconquête républicaine prend dans ces quartiers tout son sens. (...) Il faut assurer la sécurité dans ces quartiers mais il faut fondamentalement les changer. Quand les quartiers se paupérisent, se ghettoïsent, il ne peut y avoir que des difficultés», a-t-il mis en garde.

«On vit côte à côte, je crains que demain on ne vive face à face, nous sommes en face de problèmes immenses» a-t-il estimé.

Gérard Collomb est aussi brièvement revenu sur le sort des migrants, jugeant qu’il «faut accueillir mais en accueillant bien. Si c’est pour mettre ceux qu’on accueille dans les quartiers dont je viens de parler, on accroîtra encore les problèmes et la situation deviendra ingérable».

Il a néanmoins souligné «la continuité de l’État»: «On a vu que le ministre allait être remplacé. Cela n’a pas empêché les policiers d’arrêter Redoine Faïd», le braqueur multirécidiviste dont la cavale a pris fin dans la nuit dans l’Oise.

09h31: Le Premier ministre Edouard Philippe vient d'arriver dans la cour du ministère de l'Intérieur

09h30: Finalement, la presse est autorisée à rentrer dans la cour du ministère de l'Intérieur

09h10: La passation de pouvoirs entre Gérard Collomb et Edouard Philippe va avoir lieu ce matin au ministère de l'Intérieur... mais sans la presse

06h39: Le point sur la situation

En pleine crise gouvernementale, Emmanuel Macron réunit mercredi son Conseil des ministres sans Gérard Collomb dont le président a fini par accepter la démission dans la nuit. C'est le Premier ministre Edouard Philippe qui va assurer l'intérim du ministre de l'Intérieur, parti à la reconquête de Lyon, "dans l'attente de la nomination de son successeur" place Beauvau, a annoncé l'Elysée peu après minuit.

"Le Conseil des ministres", mercredi à partir de 10h00, se déroulera "avec le gouvernement ainsi constitué", a ajouté la présidence. En conséquence, et signe de la crise qui agite le plus haut sommet de l'Etat, le Premier ministre a annulé son déplacement en Afrique du Sud prévu jeudi et vendredi, a annoncé Matignon à l'AFP.

La rupture est ainsi définitivement consommée entre le chef de l'Etat et M. Collomb, soutien de la première heure et longtemps considéré comme un "fidèle parmi les fidèles". Le N.2 du gouvernement avait remis mardi après-midi sa démission pour la deuxième fois en 48 heures afin de reprendre la mairie de la capitale des Gaules, qu'il a dirigée pendant seize ans avant de devenir ministre en 2017.

"Si un successeur est trouvé dans la nuit (...), je lui aurais passé les pouvoirs au ministère de l'Intérieur et oui je pourrai revenir à Lyon", a-t-il déclaré dans une interview mise en ligne mardi soir par le quotidien régional Le Progrès.

L'actuel maire de Lyon Georges Képénékian a confirmé au Figaro qu'il lui rendrait les clefs de la ville. De source proche, il a envoyé sa lettre de démission au préfet du Rhône mardi soir.

Un vote du conseil municipal suffira désormais pour que M. Collomb reprenne son siège de maire de Lyon. Le départ de ce poids lourd du dispositif macronien a plongé le pouvoir, déjà fragilisé par une rentrée difficile, dans une nouvelle crise. A peine rentré de son voyage aux Antilles, Emmanuel Macron perd son troisième ministre d'État depuis son arrivée à l'Elysée après la démission de François Bayrou en juin 2017 et celle de Nicolas Hulot en septembre.

Lundi, M. Macron avait refusé la démission de l'ancien maire PS de Lyon. Mais le "premier flic de France", 71 ans, a continué le bras de fer en maintenant sa décision de quitter le gouvernement.

L'opposition s'est aussitôt déchaînée en fustigeant le "cirque" et le "grand-guignol" régnant au sein de la macronie. "Nous constatons aujourd'hui que c'est l'ensemble du pouvoir, l'ensemble de la macronie qui est en cause", a estimé la députée LFI Danièle Obono. "C'est bien la chute d'un régime, parce que tous les ministres d'Etat sont tombés les uns après les autres.

Le président de la République voulait être maître des horloges. Aujourd'hui il a perdu le fil du temps", a abondé Damien Abad, vice-président des Républicains.

La nomination provisoire d'Edouard Philippe à l'Intérieur souligne le manque de réservoir et la difficulté pour l'exécutif de trouver un remplaçant à Gérard Collomb à ce poste stratégique. Le ministre du Budget Gérald Darmanin, le secrétaire d'État aux Relations avec le Parlement Christophe Castaner, le porte-parole du gouvernement Benjamin Griveaux ou encore l'ancien patron de la police nationale Frédéric Péchenard sont cités comme successeurs potentiels.

Des six principaux ministres dans l'ordre protocolaire en place au début du mandat d'Emmanuel Macron, il ne reste aujourd'hui plus que Jean-Yves Le Drian, aux Affaires étrangères, dont le nom circule également pour prendre le relais de M. Collomb.

"Pour remplacer le numéro 2 du gouvernement, il faut une stature avec si possible un ancrage territorial", indique une source gouvernementale.

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Mardi 2 octobre

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21h06: Le ministre de l'Intérieur pourrait très vite retrouver son siège de maire de Lyon, comme l'annonce dans Le Figaro l'actuel patron de la capitale des Gaules, Georges Képénékian. 

"Dans les temps qui viennent, nous avons convenu depuis longtemps que je reviendrai à la tête de la mairie pour préparer les échéances futures", a expliqué Gérard Collomb au Figaro, lors d'un entretien mardi auquel assistait également Georges Képénékian.

Ce dernier, écrit le quotidien, a confirmé "qu'il s'apprêtait à rendre les clés" de la mairie, évoquant "un contrat moral" et "un engagement" entre lui et Gérard Collomb, dont il fut premier adjoint.

17h50: Emmanuel Macron "attend désormais les propositions du Premier ministre" après la décision de Gérard Collomb de maintenir sa proposition de démission de son poste de ministre de l'Intérieur, indique l'Elysée.

17h31: Nicolas Dupont-Aignan, député de l'Essonne et président de Debout la France, juge que Gérard Collomb "fait un bras d'honneur à Macron en maintenant sa démission contre l'avis du président de la République". Et de conclure : "Quand les plus fidèles en sont là, il y a de quoi s'inquiéter !"

17h21 : Olivier Faure, député de Seine-et-Marne et premier secrétaire du Parti socialiste, dénonce "un numéro inédit de grand-guignol" et "une débandade". "Après le numéro 2 du gouvernement voilà le ministre de l'intérieur qui claque la porte du gouvernement. Jupiter est tombé de l'Olympe", écrit-il sur Twitter.

17h15: Selon les informations de France 2, Gérard Collomb annule sa venue à une réunion de policiers dans le 20e arrondissement de Paris.

16h21: Dans un entretien au Figaro mis en ligne un peu après 16h ce jour, le ministre de l'Intérieur annonce qu'il entend se consacrer pleinement à sa campagne municipale à Lyon. Il souhaite donc quitter le gouvernement le plus tôt possible:

"Compte tenu des rumeurs et des pressions qu'il peut y avoir, je ne veux pas que le fait que je sois candidat quelque part demain puisse troubler la marche du ministère de l'Intérieur.

Il faut une clarté vis-à-vis de nos concitoyens et une clarté vis-à-vis des Lyonnais, donc je maintiens ma proposition de démission. (...)

On quitte toujours ce ministère avec regret, car c'est un beau ministère. Il y a des gens qui sont extraordinaires: les policiers, les gendarmes, les sapeurs-pompiers. J'ai pris énormément de joie à être à la tête de ce ministère."

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Vos réactions

Portrait de Harriet
3/octobre/2018 - 20h43
B612 a écrit :

"Jusqu'ici tout va bien... Jusqu'ici tout va bien... Jusqu'ici, tout va bien..." 

J'allais l'écrire !  

(Déni, quand tu nous tiens !)  smiley

 

Portrait de B612
3/octobre/2018 - 20h38

"Jusqu'ici tout va bien... Jusqu'ici tout va bien... Jusqu'ici, tout va bien..." 

Portrait de pierjack
3/octobre/2018 - 17h29
un bon poste pour Benalla.il en a le profil.
Portrait de Mosquitox.
3/octobre/2018 - 17h26
Philou.2 a écrit :

décidément ce gvt n'inspire pas la confiance !  Trois ministres qui ont démissionnés ce n'est pas normal ? 

Et pas n'importe quels ministres !!! , les 2 ministres d'Etat: Gérard Collomb (Intérieur) et Nicolas Hulot (Transition écologique et solidaire) !

Donc oui, malgré ce que pourra dire Macron qui a de plus en plus tendance à s'enfoncer dans une posture de déni chronique, c'est bel et bien une crise grave pour ce gouvernement !

Portrait de mestoutou
3/octobre/2018 - 15h42

Il n'y a pas de crise politique ?

Peut être, mais en attendant c'est un vrai bord.l , alors le bla bla ne passe pas et ne prenez pas les français pour des c.ns svp !!!!

Portrait de Micheldu17.02
3/octobre/2018 - 12h19

Peut être que depuis l' affaire Benalla, le foutage de gueule Elyséen  a continué, qu' il en a tellement gros sur la patate que c' est bon, il jette l' éponge smiley

Portrait de ajc21
3/octobre/2018 - 11h09

Perso je me pose une question, qu'est ce qu'il y a à Lyon de si important, ou quelle bombe va exploser concernant Collomb, pour qu'il soit aussi pressé de partir, a tel point que le Premier Ministre doit  assuré un intérim

Portrait de MikaHh2307
3/octobre/2018 - 09h30

ah, le bordel! çà fait 30 minutes qu'il poireaute le collomb! il pourrait fredonner: je marche seul de goldman

Portrait de MikaHh2307
3/octobre/2018 - 07h04

Enfin arrété! 4 mois de cavale! le gouvernement n'était pas pressé: faut dire : en juillet: la coupe du monde, l'affaire benalla! en aout, barbotage dans la piscine du fort, en septembre, la rentrée des classes!smiley Beatrice dalle pourra aller le visite son redouane! de là à ce qu'elle fasse la fille de l'air!smiley

Portrait de B612
2/octobre/2018 - 23h50

♫♪ Near, far, wherever you are... I believe that the heart does go on... ♫♪ smiley smiley

Portrait de Harriet
2/octobre/2018 - 19h38
geneva a écrit :
Qu'il mette quelqu'un de COMPETENT..... ça changera !

Compétent ou pas , si comme d'autres,  un ministre n'a aucun libre arbitre et doit se contenter de dire "amen" à tout ce qu'on lui impose ...  smiley

Portrait de Mosquitox.
2/octobre/2018 - 19h26

Manuel Valls doit se dire, "Ah saperlipopette !!!!", en cirant bien quelques pompes, j'avais peut-être encore une petite chance !!! smiley

Portrait de MikaHh2307
2/octobre/2018 - 19h16
2.louphi a écrit :

La diffamation, ton arme habituelle, quel que soit ton pseudo ! smiley

bisous!smiley quel ronchon tu fais!smiley

Portrait de Mosquitox.
2/octobre/2018 - 18h53
Leroy Jethro Gibbs a écrit :

Castaner ! C'est pas le synonyme de carpette, serpillière, Swiffer, faux-cul, menteur, polisseur de cruche à cracha, lèche-botte blues, langue de jambe de bois... ? 

 

Pourquoi vous êtes vous arrêté juste au début de son portrait ??? smiley

Portrait de MikaHh2307
2/octobre/2018 - 18h49

Plusieurs sites évoque une probable (conditionnel) séparation entre macron et brigitte! une vidéo circule d'ailleurs sur youtube évoquant cette rupture! depuis la dernière visite de macron seul à new york, puis aux antilles, les rumeurs vont bon train! à voir si c'est fake ou pas! seul le futur nous le dira! 

Portrait de Uranox
2/octobre/2018 - 18h30

Mdr !

Macron veut nous faire croire qu'il va laisser Rantanplan choisir le ministre de l'intérieur ...avril en octobre !

Portrait de Harriet
2/octobre/2018 - 18h13
geneva a écrit :

Mais qu'il se casse et que l'on passe à autre chose.

Il faut à ce poste un homme compétent qui ne pense pas à se faire réélire à la prochaine élection. Marre de ces politiques qui ne pensent qu'au bulletin de vote !

Pas certain que ce soit une histoire de réélection : à son âge , G . Collomb n'a plus rien à prouver , ça sent le prétexte pour reprendre sa liberté ...

A l'instar d'une Flessel, d'un Hulot, je vois plutôt un ministre qui ne cautionne plus la politique/attitude d'un président dans l'omnipotence ....

Portrait de Mosquitox.
2/octobre/2018 - 18h06
geneva a écrit :

Mais qu'il se casse et que l'on passe à autre chose.

Il faut à ce poste un homme compétent qui ne pense pas à se faire réélire à la prochaine élection. Marre de ces politiques qui ne pensent qu'au bulletin de vote !

Si c'est pour se payer l'arrogant et imbuvable  Castaner qui est déjà dans la cour du ministère en train de piétiner pour prendre la place de papy !!! smiley

Portrait de Linda09
2/octobre/2018 - 17h38

ew wet wet wet wet 

Portrait de Catalan
2/octobre/2018 - 17h10
jarod.26 a écrit :

mais quel cirque =)

Quelle finesse dans la réflexion et l'analyse politique ! 

Portrait de Mosquitox.
2/octobre/2018 - 16h46

Attention Macron, en droit français, la séquestration est un crime puni de 20 ans de réclusion hormis si la personne séquestrée est libérée volontairement dans les 7 jours auquel cas la peine est de cinq ans d'emprisonnement et de 75 000 euros d'amende. smiley

C'est dégueulasse de faire ça à un ptit vieux en plus ! smiley

Portrait de nina83
2/octobre/2018 - 16h31

Il lâche un ministère pour une mairie..... il a un drôle de sens du devoir smiley

Portrait de The-Kid
2/octobre/2018 - 16h29
Uranox a écrit :

 Un Collomb irrité devient toujours un Collomb paresseux , c'est contre productif  il vaut mieux le laisser partir

Pour le rendre plus ZEN ,il faut le traiter uniquement à la feuille de LOTUS.

Portrait de Uranox
2/octobre/2018 - 16h25

 Un Collomb irrité devient toujours un Collomb paresseux , c'est contre productif  il vaut mieux le laisser partir

Portrait de The-Kid
2/octobre/2018 - 16h21

A quoi ça rime de maintenir un ministre en exercice s''il veut partir? Il ne va pas en secouer une ,un peu comme un footeux muté en fin de saison ou un employé obligé de finir son boulot pour cause de préavis obligatoire.