22/07/2018 22:43

Affaire Benalla: Emmanuel Macron évoque des faits "inacceptables" et "pas d'impunité", selon son entourage

22h40: Selon Le Figaro, Emmanuel Macron a réuni ce soir plusieurs proches comme Edouard Philippe (le Premier ministre), Gérard Collomb (le ministre de l'Intérieur), Benjamin Griveaux (porte-parole du gouvernement) et Christophe Castaner (le patron de LREM).

Au cours de la réunion, d'après nos confrères, il a reconnu « des dysfonctionnements à l’Élysée » dans la gestion de l’affaire Benalla. Il a également évoqué l’attitude de son ancien garde du corps, qu'il a jugée "choquante et inacceptable". Pour lui, il "n’est pas question de laisser accréditer l’idée d’une quelconque impunité » à l’endroit d’Alexandre Benalla.

Alexis Kholer, le secrétaire général de l'Elysée, sera chargé de formuler des propositions de réorganisation afin que ce type d’incident ne se reproduise plus.

22h00: Le point ce soir sur l'affaire Alexandre Benalla

Alexandre Benalla ainsi que l’employé de LREM Vincent Crase, filmés en train de frapper des manifestants le 1er mai, ont été mis en examen notamment pour «violences en réunion». Trois policiers, déjà suspendus pour avoir transmis des images de vidéo-surveillance à M. Benalla, ont également été mis en examen, notamment pour «violation du secret professionnel». Tous les cinq ont été placés sous contrôlé judiciaire, conformément aux réquisitions du parquet.

La femme et l’homme frappés lors de la Fête du travail ont demandé à être entendus ultérieurement par les enquêteurs.

Alors que les révélations se succèdent dans ce dossier, notamment sur les avantages accordés à l’ex-collaborateur de 26 ans (d’un logement de fonction quai Branly à un badge pour accéder à l’hémicycle du Palais Bourbon), le chef de l’Etat, confronté à sa plus grave crise politique depuis le début du quinquennat, est jusqu’alors resté silencieux.

D’après le Journal du Dimanche, Emmanuel Macron a parlé au téléphone à son chargé de mission, licencié vendredi matin, depuis les révélations du Monde mercredi soir.

Alors que le porte-parole de l’Élysée Bruno Roger-Petit avait affirmé jeudi qu’il avait été, après le 1er mai, «démis de ses fonctions en matière d’organisation de la sécurité des déplacements du président», M. Benalla apparaît sur plusieurs clichés récents aux côtés de M. Macron ou du couple présidentiel, notamment le 13 juillet à Giverny (Eure). L’Élysée ne fait plus aucune communication.

Les ténors de l’opposition sont montés au front pour demander au président «des comptes», selon les mots de Laurent Wauquiez (LR). Pour le leader des Insoumis Jean-Luc Mélenchon, l’affaire est «du niveau du Watergate».

Mais selon le porte-parole des députés LREM Gilles Le Gendre, «le président de la République n’a pas à se prononcer, il n’est pas le responsable des enquêtes en cours». Il pourrait lui être reproché que sa parole «interfère», considère aussi Marc Fesneau, chef de file des députés MoDem.

Le premier à donner quelques explications devrait être le ministre de l’Intérieur, attendu lundi à 10H00 devant la commission des Lois de l’Assemblée, qui s’est dotée des prérogatives d’enquête. Les députés d’opposition, qui l’accusent d’avoir menti jeudi dernier devant le Sénat, ne vont pas manquer de le mettre sur le gril.

Le ministre sera aussi mardi devant la commission d’enquête sénatoriale, qui pourrait aussi entendre mercredi le directeur de cabinet du président de la République Patrick Strzoda, selon des sources parlementaires.

20h52: Alexandre Benalla et les quatre autres suspects ont été mis en examen, annonce le parquet de Paris. Tous les cinq ont été placés sous contrôlé judiciaire, conformément aux réquisitions du parquet

- Alexandre Benalla mis en examen pour "violences en réunion", "immixtion dans l'exercice d'une fonction publique", "port public et sans droit d'insignes réglementés", "recel de détournement d'images issues de la vidéo protection" et "recel de violation du secret professionnel"

- Vincent Crase (employé de LREM qui apparait sur les vidéos) été mis en examen pour "violences en réunion", "immixtion dans l'exercice d'une fonction publique" et "port prohibé d'arme de catégorie B"

- Les trois autres personnes (tous des policiers) mis en examen pour "détournement d'images issues d'une vidéo protection" et "violation du secret professionnel". Ils sont accusés d'avoir donné à Alexandre Benalla des images de l'intervention rue de La Contrescarpe.

18h21: Le commissaire Maxence Creusat mis en examen pour "détournement d’images issues d’un système de vidéo protection" et "violation du secret professionnel".

Le commissaire était en charge du dispositif déployé place de la Contrescarpe, le 1er mai, jour où Alexandre Benalla est soupçonné de s'être livré à des violences sur des manifestants.

Aux côtés d'un contrôleur général en poste à la préfecture de police de Paris et d'un commandant en poste à l'Elysée, il est soupçonné d'avoir remis mercredi au collaborateur de l'Elysée une vidéo de la scène, issue des serveurs de la préfecture. 

13h15: Le point complet sur la situation

La crise politique provoquée par l'affaire Benalla prend de l'ampleur, se nourrissant du silence d'Emmanuel Macron et de la progression de l'enquête, confiée dimanche à un juge d'instruction en vue d'une possible mise en examen de l'ex-collaborateur. À l'Assemblée, paralysée par l'affaire, la révision constitutionnelle a été suspendue.

Cinq suspects au total, pour lequel le parquet a requis le placement sous contrôle judiciaire, doivent être présentés dans la journée à un juge d'instruction.

Il s'agit d'Alexandre Benalla, filmé frappant ou malmenant des manifestants le 1er mai, et en garde à vue depuis vendredi matin, de Vincent Crase, employé de LREM à ses côtés lors de la Fête du travail, et de trois policiers soupçonnés d'avoir transmis à M. Benalla des images de vidéo-surveillance.

La femme et l'homme frappés le 1er mai ont demandé à être entendus ultérieurement par les enquêteurs. Alors que les révélations se succèdent dans ce dossier, notamment sur les avantages accordés à l'ex-collaborateur de 26 ans (d'un logement de fonction quai Branly à un badge pour accéder à l'hémicycle du Palais Bourbon), le chef de l'Etat, confronté à sa plus grave crise politique depuis le début du quinquennat, est jusqu'alors resté silencieux.

D'après le Journal du Dimanche, Emmanuel Macron a parlé au téléphone à son chargé de mission, licencié vendredi matin, depuis les révélations du Monde mercredi soir.

11h54: Une information judiciaire est ouverte. L'enquête est confiée à un juge d'instruction, indique le parquet de Paris

11h35: Selon Le Parisien, Emmanuel Macron a rencontré discrètement, hier, Gérard Collomb (le ministre de l'Intérieur) et Nicole Belloubet (ministre de la Justice) afin d'évoquer l'affaire Benalla.

"Ils sont entrés très discrètement sur les coups de midi par l’arrière de l’Élysée et en sont ressortis tout aussi discrètement, le déjeuner terminé", expliquent nos confrères.

Hier soir, l'Elysée démentait à nos confrères cette rencontre, pourtant confirmée par plusieurs sources proches des deux ministres.

11h31: Le gouvernement a décidé de suspendre l’examen de la révision constitutionnelle jusqu’à nouvel ordre, a annoncé dimanche la garde des Sceaux Nicole Belloubet, alors que l’Assemblée est paralysée depuis plusieurs jours par l’affaire Benalla.

«Le gouvernement a décidé de suspendre l’examen de la révision constitutionnelle et souhaite que celui-ci puisse reprendre ultérieurement dans des conditions plus sereines», a indiqué la ministre.

Dans la foulée, le président de l’Assemblée François de Rugy (LREM) a annoncé la levée de la séance jusqu’à lundi 16H00, horaire prévu de l’examen du projet de loi «avenir professionnel».

Les «rappels au règlement» se sont à nouveau succédé dans la matinée, depuis le début de la séance, l’opposition réclamant des explications de l’exécutif.

Mme Belloubet a dit «regretter» que les travaux aient été interrompus à la suite «des révélations concernant M. Benalla». Alors que, selon elle, le texte constitutionnel contient des «propositions extrêmement positives pour le renforcement de notre démocratie».

11h00: L’Assemblée nationale est encore dimanche matin le théâtre d’un bras de fer entre la majorité et les oppositions autour de l’affaire Benalla, qui bloque tout débat sur la Constitution, mais certains ont choisi, à l’instar de l’UDI-Agir, de ne plus participer à ce «triste spectacle».

A l’ouverture des débats à 9H30, une soixantaine de députés étaient présents lorsque le président de l’Assemblée François de Rugy (LREM) a rappelé que l’ordre du jour appelait l’examen du projet de révision constitutionnelle, totalement interrompu depuis jeudi soir.

Dans une atmosphère qui s’est très vite tendue, les orateurs de l’opposition ont repris la litanie des «rappels au règlement», réclamant la venue du Premier ministre ou «au moins» du secrétaire d’Etat aux Relations avec le Parlement.

Le patron du groupe LR Christian Jacob a réclamé de nouveau que l’exécutif vienne s’expliquer sur cette «affaire Macron-Benalla». Il a dénoncé l’absence de Christophe Castaner qui passe son week-end «entre les Quatre colonnes (salle attenante à l’hémicycle, ndlr) et la buvette».

Eric Coquerel (LFI) a dénoncé «la plus grave affaire d’Etat depuis des décennies», suscitant des protestation de la majorité, tandis que la cheffe de file des députés PS, Valérie Rabault, a demandé de mettre «en suspens» les débats sur la réforme constitutionnelle en attendant une réponse du Premier ministre.

«Je vois qu’on est reparti pour une nouvelle discussion pénible», a observé le communiste Pierre Dharréville. «On ne peut pas continuer de discuter de cette réforme constitutionnelle au milieu de cette crise profonde», a-t-il plaidé.

Socialistes et communistes ont aussi écrit à Edouard Philippe pour lui demander un débat.

08h00: Gérard Collomb sera entendu lundi à 10H00 par la commission des Lois, dotée des prérogatives d’enquête, a annoncé sa présidente Yaël Braun-Pivet (LREM). Le préfet de police Michel Delpuech sera, lui, auditionné à 14H00.

M. Collomb a aussi rendez-vous mardi devant la commission des Lois du Sénat.

Comme le réclamaient l’opposition à l’Assemblée, le groupe majoritaire a finalement accepté la publicité de l’ensemble des auditions, sauf dans le cas où un fonctionnaire demanderait le huis clos.

07h57: Au Palais Bourbon, les débats sur le projet de révision constitutionnelle n’ont pas avancé d’un pouce et la séance nocturne a été annulée samedi soir et reprendra dimanche à 9h30.

LR a demandé des explications sur un badge accordé à Alexandre Benalla, qui lui permettait d’accéder à l’hémicycle. Ce badge a été attribué sur «demande du directeur de cabinet» d’Emmanuel Macron, mais désactivé vendredi, selon la présidence de l’Assemblée.

Dans les couloirs, le ton est monté, entre Marine Le Pen et Christophe Castaner, dans une scène inédite devant la presse et quelques députés sidérés. La première a reproché au second son absence dans l’hémicycle déplorant que ses «amis de LREM refusent» de le convoquer devant la commission d’enquête parlementaire.

Le domicile de M. Benalla à Issy-les-Moulineaux (Hauts-de-Seine) a été perquisitionné dans la journée. Fâcheux téléscopage d’événements: il devait se marier samedi matin dans la commune, selon une source à la mairie.

Les trois policiers suspendus pour lui avoir transmis mercredi soir des images de vidéo-surveillance, ont à leur tour été placés en garde à vue samedi matin. C’est justement mercredi soir que cette affaire a été révélée par le journal Le Monde.

En plus de l’enquête préliminaire de la justice, ouverte jeudi à l’initiative du parquet de Paris, une autre, administrative, a été lancée par la «police des polices».

07h55: Au cœur de la tourmente, le chef de l’Etat est resté jusqu’alors silencieux. Il devait passer le week-end à travailler à Paris ou à La Lanterne près de Versailles. L’opposition a maintenu une forte pression sur l’exécutif pour obtenir des explications sur le rôle d’Alexandre Benalla. Invité comme observateur dans le dispositif policier encadrant les défilés de la Fête du travail, celui-ci a été filmé frappant ou malmenant des manifestants.

Licencié vendredi, M. Benalla «rendra des comptes à la justice, mais Emmanuel Macron, lui, va devoir rendre des comptes aux Français», a lancé le président de LR Laurent Wauquiez dans Le Figaro. L’affaire est «du niveau du Watergate», estime le leader des Insoumis Jean-Luc Mélenchon, qui accuse Emmanuel Macron de «s’organise(r) une milice personnelle».

07h50: Le séisme de l’affaire Benalla n’a pas fini de provoquer des répliques, jusqu’au sommet de l’Etat: le ministre de l’Intérieur sera auditionné lundi à l’Assemblée, tandis que l’ex-collaborateur de l’Elysée, un employé de LREM et trois haut gradés de la police doivent être présentés dimanche à un juge d’instruction.

Les gardes à vue des cinq suspects, dont celle d’Alexandre Benalla, collaborateur d’Emmanuel Macron, ont été levées samedi soir dans l’enquête sur les violences commises le 1er mai à Paris. Ils seront présentés dimanche à un juge d’instruction.

Outre M. Benalla, trois policiers soupçonnés de lui avoir transmis des images de video-surveillance filmées au moment des faits ainsi que Vincent Crase, gendarme réserviste et employé de La République en marche, qui se trouvait avec lui le 1er mai, seront déférés au parquet dans la perspective de l’ouverture d’une information judiciaire.

En outre, la femme et l’homme frappés par le collaborateur d’Emmanuel Macron Alexandre Benalla, lors des manifestations du 1er mai, ont demandé à être entendus ultérieurement par les enquêteurs.

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Vos réactions

Portrait de Capri
22/juillet/2018 - 22h30

La page Wikipedia du directeur de cabinet du président de la République (supérieur hiérarchique direct de M. Benalla) est manifestement mise à jour régulièrement en ce moment - comme toute page Wikipedia forcément smiley

Phrases qui viennent d'être ajoutées : "Le 5 juillet 2018, il est admis par limite d'âge à faire valoir ses droits à la retraite à compter du 6 octobre 2018. Le 20 juillet, il est entendu comme témoin dans l'enquête sur l'affaire Benalla".

Il avait pris soin de déclarer qu'il avait mis son chef (en visite en Australie) au courant de la vidéo dès le 2 mai (pas habituel de dire cela - en général, un directeur de cabinet est là pour faire "para-tonnerre"). Il se serait vu répondre : "s'il y a des fautes, il faut des sanctions". C'est le niveau de la sanction qui ne va pas. Le président de la République a-t-il "validé" ce niveau de sanction ? Si oui, c'est très embêtant.

Portrait de Capri
22/juillet/2018 - 22h11

M. Benalla avait un chef direct qui a eu connaissance des faits dès le lendemain, vidéo à l'appui. Il n'a pas fait ce que toute personne ferait dans ce cas là : licenciement pour faute lourde (quitte à avoir un problème de Prud'hommes derrière pour licenciement abusif). Pourquoi cette clémence ?

Pour moi, c'est la seule question qui vaille finalement : pourquoi ce type n'a-t-il pas été viré le 2 mai ? Qui est responsable de cette non-décision ? (une mise à pied de 15 jours au mois de mai plein de ponts... avec supervision de la sécurité à l'intérieur de l'Elysee n'est pas une sanction...)

Portrait de Capri
22/juillet/2018 - 21h47
avalon01 a écrit :

je pense que cette affaire est bien plus énorme  , ce qui m’inquiète le plus c est le ''gardes du corps de macron''   makao qui connait personnellement le logeur de Daech JAWAD

et que Makao connait parfaitement Benalla

Vous avez raison. Les journalistes n'ont pas vraiment approfondi ce sujet... et cette information incroyable.

Portrait de Capri
22/juillet/2018 - 21h46
Mosquitox. a écrit :

Et la il est tombé dans un piège, et un beau piège !!

Le Benalla,éminence grise non officielle de Macron, mais avec des pouvoirs "hors normes" !!, lui demande une copie de la video, si le commissaire avait refusé, il se serait fait tapé sur les doigts, voir muté et fin de sa carrière !

Il file la video, et se retrouve en justice et voit la fin de sa carrière.

Le gars n'avait aucune chance de se tirer de ce guêpier !

Oui, exactement. J'espère pour ce jeune commissaire qu'il sera "rattrapé" par sa hiérarchie une fois que tout ceci se sera calmé et que ce fâcheux épisode n'entamera pas sa carrière.

Portrait de Capri
22/juillet/2018 - 21h43
PTDR a écrit :

et alors ?

sa mise en examen n'a rien à voir avec cet épisode de sa vie

Oui bien sûr. Il s'agit d'un commissaire sans doute apprécié et brillant co-fondateur de la cellule Synapse (Synthèse, Analyse, Prospective, Stratégie et Etude) qui a pour objectif de mieux encadrer les manifestations et les possibles violences, située à la Préfecture de Police de Paris. La prochaine fois que quelqu'un dira "je suis l'adjoint du directeur de cabinet du Président de la République", il faudra que les policiers et les gendarmes se méfient ! Apparemment, sur le tarmac, à l'arrivée des Bleus de Russie, l'officier de gendarmerie supervisant l'opération a du sêchement recadrer M. Benalla qui s'immiscait dans le dispositif... Bref, tout le monde connaît le responsable de cette situation et les policiers mis en examen sont les dindons de la farce !

Portrait de Capri
22/juillet/2018 - 19h23
Hh 2307 a écrit :

d'après une revue officielle, macron aurait poussé benalla a accepté un poste de sous-préfet! (sources:valeusactuelles, poliiceetrealités, etc...). On marche sur la tête là.

"En marche... sur la tête" (de l'Etat)

Portrait de Capri
22/juillet/2018 - 19h21
Mosquitox. a écrit :

"Le commissaire Maxence Creusat mis en examen"

 

Ah ??? Voila le premier fusible ! smiley

"Le commissaire Maxence Creusat a reçu la médaille d'argent du courage et du dévouement, pour avoir sauvé, le 18 août 2014, une personne sans domicile fixe, qui était tombée sur les voies du métro parisien".

Portrait de fairytale
22/juillet/2018 - 13h36

encore une histoire glauque et le protégé du Président "Jupitérien"va encore bien nous "enfumé"! 

Portrait de laurent120
22/juillet/2018 - 13h34
The Wolf a écrit :

C'est effectivement ça, en même temps, tous les présidents argumentent sur le fait que ce n'est pas la rue qui gouverne, mais en revanche ces "pourris" sont bien contents de trouver la rue pour les élire.

#macrondemission

A chaque échéance électorale ils nous caressent dans le sens du poil, en ce qui me concerne il y a bien longtemps que je pratique des épilations intégrales !!

Portrait de laurent120
22/juillet/2018 - 13h22

Le pouvoir sera toujours le pouvoir, aucun des protagonistes de cette affaire n'ira en prison, il y aura certainement quelques règlements de comptes, voire même quelques regrettables accidents de la route..c'est le temps qui fera son oeuvre et c'est nous les sans grades, les laissez pour compte qui pourront toujours se dire qu'une fois de plus notre existence aux yeux de ces "salauds" n'est qu'une quantité négligeable tout au plus utile lors des échéances électorales.