Closer répond à Jenifer: "Nous n'avons missionné personne. Nous maintenons nos infos"

Dans une lettre ouverte publiée sur Facebook, dont jeanmarcmorandini.com vous a fait part, Jenifer a fait part de sa colère contre Closer, et a affirmé qu'un paparazzi avait mis sa santé en danger.

Laurence Pieau, la directrice de la rédaction du magazine people, a décidé de lui répondre sur le site de l'hebdomadaire. 

Cette dernière affirme que, contrairement à ce que la chanteuse a déclaré, "à l’aéroport à Paris, comme à l’aéroport à Ajaccio, il n’y avait aucun photographe missionné par Closer. Il n’y en avait pas non plus à son départ de chez elle en taxi."

Laurence Pieau dément également la présence de ""chargés de mission", envoyés par le magazine pour suivre "depuis plusieurs semaines" la chanteuse "dans le moindre de ses déplacements"."
Et d'ajouter: "Nous n’avons reçu à la rédaction de Closer qu’une seule et unique photo, prise par un particulier à l’aéroport d’Orly, lors de son départ pour la Corse. On y voit Jenifer, coiffée d’un béret, et son compagnon posant de façon très décontractée, avec des particuliers faisant un selfie. Nous n’avons pas utilisé cette photo. Les photos illustrant l’article critiqué par Jenifer sont d’ailleurs des images posées, prises sur un plateau télé. La seule photo non autorisée de Jenifer a été publiée dans le Closer N°463, sorti il y a trois semaines. Rien depuis."
Dans sa lettre ouverte, Jenifer évoquait également un clash avec des photographes à l'aéroport, mais Closer affirme ne pas avori eu connaissance de cet incident "aussi bien au départ de Paris qu’à l’arrivée à Ajaccio. Et si tel était le cas, nous ne pourrions que le déplorer."
"A Closer, nous maintenons en revanche toutes nos informations. Le lundi 28 avril, alors qu’ils étaient attendus à Calvi sur le tournage de l’hommage à Jacques Dutronc, Jenifer et son compagnon passaient du temps dans ce qui pourrait être leur prochain pied à terre dans l’ile de beauté.", peut-on lire sur le site de Closer.

Et de conclure: "Si Jenifer le souhaite, nous lui donnons volontiers la parole pour qu’elle puisse exprimer sa version des faits dans notre prochaine édition"