06/02/2009 14:08

GB: Scandale autour d'un titre sur l'avortement - VIDEO

La chanteuse américaine Amanda Palmer, en tournée mondiale après la sortie de son album "Who killed Amanda Palmer?" fait scandale en Grande-Bretagne où les radios et les chaînes de télévision musicales interdisent d'antenne une chanson sur l'avortement.

Dans le morceau intitulé "Oasis", l'artiste américaine raconte l'histoire d'une jeune fille qui décide d'avorter après avoir été violée au cours d'une soirée où elle était sérieusement éméchée. Et elle s'en moque, car elle a reçu par la Poste un autographe de son groupe préféré, Oasis.

Seule la station de radio BBC6, spécialisée dans les musiques alternatives, a accepté de diffuser cette chanson, mais une seule fois: dans le cadre d'un long entretien avec la chanteuse à l'occasion de son passage à Londres. "Quand je me suis fait avorter, j'ai emmené mon petit ami. On est arrivés avec une heure d'avance au rendez-vous. A l'extérieur, il y avait ces emmerdeurs de fondamentalistes chrétiens. On a essayé de les ignorer": ces paroles ont valu à l'artiste d'être accusée de banaliser l'avortement, de tourner en ridicule la religion et de cautionner le viol.

Sur son journal électronique (blog.amandapalmer.net), la chanteuse se défend d'avoir voulu choquer ou blesser quiconque mais elle revendique "la liberté de rire de tout". "J'ai écrit cette chanson en 2002, sans penser à mal mais juste en me disant que cette adolescente écervelée existait et que ce n'était pas un crime d'en parler", écrivait-elle mercredi, à la veille de son concert londonien.

Amanda Palmer, qui a mimé la chanson dans un clip vidéo, rappelle que BBC6 est une entité du groupe public BBC qui avait censuré dans les années 1980 des groupes britanniques comme les Sex Pistols ou Frankie goes to Hollywood. "Avec le monopole des canaux de distribution et le retour d'Oasis sur scène, il ne fallait pas s'attendre à ce que MTV nous déroule le tapis rouge", admet-elle.

Ancienne chanteuse du duo des Dresden Dolls, originaire de Boston, Amanda Palmer reste avec sa bande de clowns en bretelles et de poupées provocantes dans la veine du "cabaret punk brechtien" de ses débuts en 1990.

Refusant les compromis autant que d'être utilisée comme figure de proue d'un mouvement engagé, l'artiste espère que le public s'intéressera au reste de son répertoire, mélange de compositions et de reprises dans un esprit poétique et loufoque.

Artiste hors norme, elle a repris la chanson "Amsterdam" de Jacques Brel, arpentant les rues du quartier de cabarets et de magasins érotiques Pigalle à Paris, malgré sa béquille après une fracture.

Collants résille déchirés et tignasse hirsute, elle enchaîne les concerts. Elle devait se produire au Divan du Monde à Paris vendredi, puis à Toulouse le 11 février, avant de visiter plusieurs villes européennes et l'Australie à la fin du mois.

Lors de son concert à Londres, dans la salle de l'Electric Ballroom de Camden, la chanteuse a entonné la chanson à l'origine du scandale sur un ton triste et recueilli, contrairement à la version originale enjouée, avant de reconnaître au-dessus de son clavier: "Je ne peux pas le faire comme ça (...) Si on ne peut plus rire de la noirceur de la vie, c'est que la noirceur a gagné".

Au lendemain du concert londonien, la chanteuse s'étonnait tout de même de l'ampleur de "l'affaire Amanda Palmer": "Moi qui croyais que l'Angleterre était le pays de l'humour noir !"

Par Philippe SIUBERSKI

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Vos réactions

Portrait de tvm
13/février/2009 - 13h22

bla buh boua glou glou ? :8)

Portrait de tvm
13/février/2009 - 01h21

"Des ovocytes comparés à des graines de légumes...."

Si tu sais lire et réfléchir correctement, j'expliquais quelque chose derrière tout ça. Lire, c'est bien. Chercher à comprendre, c'est mieux, mais ce n'est manifestement pas à la portée de tous. Dommage.

"J'ai quand même beaucoup de chances, mes ovules sont à moi donc je les gratos et je peux en disposer comme bon me semble."

Là n'est pas la question.

"Je peux même faire un don pour aider des femmes qui VEULENT devenir mères."

Idem : là n'est pas la question.

"D'ailleurs, c'est quoi, pour toi, une femme stérile. Un jardin potager aride où rien ne pousse?"

Là encore, là n'est pas la question.

"Tu dis: "Une chose sans valeur ne peut pas évoluer en une chose ayant de la valeur. Faux, un billet de banque n'est qu'un vulgaire bout de papier mais c'est fou la valeur que l'on peut lui donner selon qu'il est américain, européen ou africain? A la base, c'est pourtant la même chose pour tout le monde: un bout de papier coloré. Un chose aussi anodine que cela fait tourner le monde depuis un moment."

Sauf que moi je te parle d'une chose vivante qui vit et qui se développe. Un billet, c'est une invention humaine. Les ovules et les graines de potager, non. Et jusqu'à preuve du contraire, 100% des êtres humains morts ou vivants sont issus d'un ovule, fécondé. Merci de suivre. Ce n'est certainement pas moi qui me ridiculise, là. Non, non.

"Enfin bref, évite les comparaisons aussi bêtes et douteuses qu'un utérus et un jardin potager."

Et toi, exploite les 10% de ton cerveau, chose que toute personne parvient en principe à faire. Tu n'as manifestement RIEN compris à ce que j'expliquais. Que dalle de chez que dalle.
... ou alors tu es de mauvaise foi. Aucune idée, je ne suis pas dans ta pensée. J'espère à la rigueur qu'il s'agit de la deuxième solution, car sinon je ne peux plus rien pour toi.

---

"Le Dieu féministe...."

Je n'ai pas écrit "Dieu féministe" mais "dieu féministe". Merci de lire et surtout de bien comprendre. "Dieu" et "dieu" n'ont pas la même signification biblique. Mais forcément, quand on parle de ce qu'on ne connait pas...

"Tes arguments n'ont aucun fondement, tu racontes tellement d'énormités que je sais pas par où commencer."

Et les tiens sont fondés sur quoi ?... Ou par qui plutôt. ^^

"Le plus drôle, c'est ta théorie conspirationniste des vilains lobbys ( ?)qui viennent corrompre le troupeau (de moutons? ) de Notre Seigneur. JE n'ai pas à culpabiliser de penser à moi mais aussi aux femmes en général."

Il n'y a aucune conspiration. Il suffit de regarder l'Histoire, de la comprendre et d'utiliser son cerveau.
Voici ce que dit Jésus, qui confirme mes dires : "Malheur au monde à cause des scandales! Car il est nécessaire qu'il arrive des scandales; mais malheur à l'homme par qui le scandale arrive! ".
Définition du mot "scandale" :
_ Effet fâcheux, indignation produits dans l'opinion publique par un fait, un acte contraire à la morale
_ Fait qui heurte la conscience, la morale
Je crois que c'est très clair.
Par contre, je n'ai pas compris la deuxième partie de ta dernière phrase. C'est pas très français. J'y réponds donc pas.

"Je ne suis pas l'incubateur d'une volonté mystique, je suis un mammifère qui se trouve en haut de l'échelle alimentaire grâce à des millénaires d'évolution et de brassage génétique"

Les mammifères sont cannibales pour la plupart. Certains abandonnent leur progéniture, la laissant aux prédateurs. D'autres la mange carrément.
Par conséquent, la femme doit le faire aussi ?

"Le contrôle des naissances et les avortements remontent bien avant la naissance de Jésus-Christ"

Et alors ? JC est venu donner une dernière chance à l'humanité. L'immoralité n'est pas venue avec son apparition. Si le mal n'existait pas, il n'aurait eu aucune raison de venir.
Je ne comprends donc pas ce que ta phrase vient faire ici. C'est décousu et je vois pas la morale de l'histoire.

"et culpabiliser les femmes avec de tels délires intégristes est tout sauf Chrétien."

Ce qui est chrétien, c'est de remettre les pendules à l'heure, pas de se laisser soumettre à l'immoralité, ni de l'accepter et de la banaliser. Si les femmes ne veulent pas être culpabilisées, elles ne tuent pas et c'est tout.
Lorsqu'un mec braque une banque et tue des gens, on le qualifie de voleur et de tueur. Et là, ça ne te gène absolument pas. N'est-ce pas ? On doit faire exception de manière arbitraire sous prétexte que tu l'as décidé ?
Un meurtre est un meurtre. Il faut appeler un chat un chat. Et on commet un meurtre quand on veut en commettre un. Un meurtre, par définition, ne peut pas être accidentel, c'est un acte volontaire.

"Tu ressembles à ses prédicateurs américains qui encouragent leurs ouailles à des dérives terroristes en leur promettant les feux de l'enfer s'ils n'accomplissent pas "la mission" que Dieu leur a donné..."

Tu ressembles aux gens qui répètent bêtement ce qu'on leur dit de penser, sans même chercher à comprendre ce qu'il en est vraiment. Ta remarque, totalement risible, reflète parfaitement ce que je pensais : des perroquets qui se racontent des histoires.

"Navrant..."

Tout à fait. Navrant. Je dirais même : effrayant.

"De toutes façons, rien ne sert de continuer à dialoguer avec toi si c'est pour obtenir un ènième prêche. Cela ne sert à rien, j'suis cliente..."

Si la vérité te fait peur, je ne te retiens pas. Mais la vérité court toujours plus vite que celui qui la fuit. C'est impossible de s'échapper. ^^

"Si tu veux réfléchir, pense plutôt à ton pêché d'Orgueil et va réclamer pénitence auprés de ton seigneur."

Dénoncer les choses immorales n'est pas de l'orgueil, c'est pour l'intérêt public et pour la dignité de l'être humain. L'orgueil, c'est s'obstiner à fuir Dieu et se contrefiche de savoir ce qu'il veut. La Bible dit : "Dieu fait grâce aux humbles, mais il résiste aux orgueilleux".

"Dis donc, tu serais pas non plus un petit créationniste tant qu'on y est? Un petit sermon sur le Darwinisme? "

La seule chose que je connais sur Darwin, c'est que son cousin était, parait-il, tout nu, poilu de la tête aux pieds et qu'il grimpait aux arbres à la recherche de bananes. Mais peut-être que Darwin était mytho... ou bien miro ? Aucune idée. Alors peut-être aurais-tu une photo de son cousin à me montrer (si tu connais Darwin, tu dois bien connaître son cousin, non ?), afin de m'éclairer ? Ou, à défaut, une photo des perroquets qui ont raconté cette histoire à d'autres perroquets me suffira. Merci d'avance.

Portrait de tvm
12/février/2009 - 22h24

"Comparez la longueur de vos messages aux miens, ou regardez dans le dictionnaire la définition de logorrhée."

Quand un auteur écrit un roman de 500 pages, on en fait un fromage ?
Moi, au moins, je parle pour dire quelque chose qui en vaut la peine contrairement à beaucoup de posteurs.
Mais tu peux toujours allonger la taille de tes messages en répondant à la question que tu esquives depuis deux ou trois reprises.

"Et vous aurez du mal à défendre le bon sens tant que vous confondrez comme vous le faute un embryon avec un réel être humain..."

Tu inverse les rôles.
Il n'y a pas de "réel" être humain (ce qui sous-entend qu'il existe des faux être humains), il y a être humain. Et l'origine de tout être humain, c'est un oeuf (ovule fécondé). Si un oeuf n'a aucune valeur, cela veut dire que tout ce qui en découle n'a aucune valeur non plus. Une chose sans valeur ne peut pas évoluer en une chose ayant de la valeur. En clair, quand on veut réellement réfléchir en arrêtant de s'obstiner (pas comme tu le fais, par exemple), cela veut dire que tuer un enfant ou un adulte n'est pas moins pire que tuer un embryon. Voilà là toute l'absurdité de la pensée des gens qui sont pour l'avortement.
La valeur d'une chose n'est pas forcément liée à sa taille ou à son apparence. Il faut savoir considérer les choses telles qu'elles le sont.
Quand tu plantes des graines de légumes dans ton jardin, t'es bien content d'avoir à manger quelques semaines plus tard. Si les graines n'ont aucune valeur, pourquoi t'en achètes ? Si tu les achètes, c'est parce que tu sais qu'elles font te donner des légumes. Elles ont donc de la valeur, bien que ces graines n'ont pas du tout la même taille et la même apparence que le fruit qu'elles génèrent !
Même topo pour un ovule fécondé. Si un ovule fécondé ne vaut rien, l'être humain qui nait 9 mois plus tard ne vaut rien non plus. Et le vieillard ne vaut pas plus non plus. Pas plus ni moins que toi ou moi, d'ailleurs.

Nier l'oeuf comme le stade premier de la vie humaine permet alors toutes les dérives et toute forme d'anarchie.

Et c'est encore moi qui manque de "bon sens" ? Question pertinence, t'es risible.

"je crois que ça résume tout. Bientôt le délit de blasphème, le bûcher de l'Inquisition ?"

Pour un anti-peine de mort comme moi, ça ne risque pas. Sois au minimum logique quand tu réponds des âneries.
Ceux qui allument les buchers seraient plutôt ceux qui sont incapables de considérer la vie humaine et ses différents stades.

"Quant à la suite, ce n'est que mysticisme délirant... "

Pas pire que l'athéisme qui rend l'homme absurde.

Portrait de tvm
12/février/2009 - 21h28

"Mon pauvre TVM, la vérité ne se mesure pas à l'hypertrophie de la logorrhée."

Un peu comme tu le fais, non ? :)
Au fait, tu as esquivé encore une fois ma question. Pas grave, cela ne m'étonne pas.

"Foutez la paix à ces pauvres femmes, vous et votre dieu, leur situation est déjà assez compliquée comme cela, sans que vous en rajoutiez."

Moi je veux surtout qu'on foute la paix aux êtres humains vulnérables, qu'on massacre par millions et contre leur gré. Il y en a marre de ce génocide organisé.

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"ça fait peur de lire ça à notre époque... Si son dieu existait vraiment il n'aurait pas besoin de faire des tartines pour justifier ses idées de commando anti IVG. Comme si une IVG était un jeu... On rêve!"

Moi, ce qui me fait peur, c'est que rares sont les personnes à notre époque pourvues d'un minimum de bon sens. Si l'IVG n'est pas un jeu, on n'y participe pas.
Les commandos les plus dangereux sont les lobbys antichrétiens, tels les féministes, eux qui sont en train de pourrir la société pour leurs propres intérêts.

C'est moi qui croit rêver.

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"Dans 5 min tu vas annoncer l'Apocalypse."

L'Apocalypse (dans le sens où tu l'entends, car cela a une autre définition) a commencé il y a deux mille ans, après que le Christ ait été crucifié, bien qu'on soit beaucoup plus proche de la fin que du début.

"Je ne crois pas en la fatalité pas plus qu'à l'existence d'un être supérieur."

Le fait de ne pas croire en quelque chose est une croyance. Par conséquent, on croit tous en quelque chose. Croire "en rien" est un non sens. Si tu ne crois pas en Dieu, tu crois forcément en toi, en tes principes, en l'humanisme ou en une quelconque philosophie ou en une chose équivalente. Tu crois bien aux mensonges des lobbys féministes, alors ne dis pas que tu crois en rien.

"Pour moi, il n'y a pas de Dieu qui me manipule comme une marionnette"

Pour le moment, ce dont tu peux être certaine, c'est que c'est le dieu féministe et toute sa propagande qui te manipule comme une marionnette.

"Chacun est libre de croire en ce qu'il veut tant que ses croyances n'entravent pas ma liberté individuelle à disposer de mon seul bien propre à savoir mon corps."

Non, je rectifie : tant que ses croyances ne tuent pas un être humain qui est dans son corps et à qui on n'a pas demandé son avis pour qu'on dispose de sa vie sans son consentement. Le "Je, Je, Je" exclusif, c'est le symptôme dominant du féminisme.
Tu dis ne pas croire en un être supérieur, et même croire en rien (chose impossible), mais tu te considères pourtant suffisamment supérieure pour te permettre de donner la vie ou la mort à un embryon. Quelle hypocrisie. Tout acte qu'on juge légitime découle forcément d'une croyance : tu crois à tes principes, tu les estimes justes. Tu fais donc de toi ton propre dieu. Tu ne crois pas "en rien", tu crois simplement en ton dieu à toi (dieu féministe, dieu humaniste, etc...) et tu lui obéis. Il y a un seul Dieu et une infinité de faux-dieux.

"Mon athéisme n'est pas un dogme, je ne cherche pas à imposer mon point de vue aux autres par la force ou la menace. "

L'athéisme est un dogme, dont tu te sers notamment pour prôner la légitimité de l'avortement. Plus généralement, ton athéisme détermine ta manière de penser et tes actions, ta manière de voir les choses, ta morale (ce que tu juges bon et mauvais), comme n'importe quelle forme de religion. Tout être humain est religieux et il s'accroche toujours à quelque chose pour penser et agir.
Dès lors que tu disposes de la vie d'un tiers comme bon te semble, tu imposes donc ton point de vue par la force (cf : les embryons, à qui on ne demande pas leur avis).

Il y a un truc qui doit être bien clair. Moi je veux bien respecter qu'une personne soit athée, tant qu'elle ne fait du mal qu'à elle-même, mais que son athéisme soit un prétexte fumeux pour disposer, comme bon lui semble, de la vie d'un tiers à qui on n'a pas demandé son avis, je trouve cela grotesque, hypocrite et honteux. A ce stade, ce n'est plus de la liberté, mais du fanatisme et de l'égoïsme.
Les "illuminés" ne sont pas forcément ceux qu'on croit. Moi, au moins, je suis contre toute forme de peine de mort... ce qui n'est pas le cas pour une bonne moitié de personnes dans notre société. On voit bien les gros dégâts qu'on fait les lobbys jusqu'à maintenant. C'est pas beau à voir... :arrow:

Portrait de tvm
12/février/2009 - 18h24

"Comme je ne suis qu'une vilaine athée, je sais qu'âprès la mort, je servirais juste de bouffe pour les asticots et que je nourrirais la terre qui m'a nourrie."

Non, ce sera pire. Notre corps est mortel, et une fois qu'il est mort, nous n'avons plus aucune sensation corporelle. Qu'il se fasse bouffer par les vers n'est donc plus un problème. Mais l'esprit de la personne défunte ne peut pas mourir, il doit aller quelque part : soit au paradis soit en enfer.
Tu es athée car tu as décidé d'être athée. Mais comme je disais à Reuillois, tant qu'on vit, on peut encore décider. Après, c'est trop tard. Alors fais le bon choix car il n'y aura plus aucune possibilité de faire marche arrière une fois que ton corps se fera manger par les vers.

"Genre, tu étais poussière, tu retourneras poussière"

Chrétiens ou pas chrétiens, notre corps à tous retournera dans la poussière. Là, il s'agit de la mort physique. Ce que je viens d'expliquer.

"Point final. Pas de jugement dernier pas de courroux divin."

Le point final appartient à Dieu. C'est lui qui met un point final à la vie de chacun, et qui mettra aussi un point final à l'existence de la vie dans ce monde.
Et pour le devenir de chacun, après sa mort physique, c'est encore lui qui prendra une décision et qui mettra le point final.
Quoi qu'on fasse, on ne peut pas échapper à Dieu. Personne n'est au-dessus de lui.

"Les illuminés de ton genre ne font que me conforter dans mon rejet de tous ses dogmes qui ne font qu'asservir le libre arbitre de l'individu."

Le salut est personnel. Tu ne fais du mal qu'à toi-même, pas à moi. Les illuminés, ce sont ceux qui transforment la vérité en mensonge et qui s'y perdent.
L'athéisme est aussi un dogme. On peut aussi dire qu'il asservit le libre arbitre de l'athée. Nous sommes tous des religieux. Dès lors qu'on met sa confiance en soi-même, en l'humanité ou en Dieu, on croit. Croire "en rien" est donc une croyance. Le fatalisme, c'est une croyance. Mais il y a des croyances qui sauvent et des croyances qui font périr. A chacun de faire le bon choix.

"Heureusement que tous les croyants ne sont pas aussi allumés que toi et même parmi les serviteurs de Dieu, qui à défaut d'approuver, comprennent qu'une femme fasse le choix de l'avortement."

Dieu n'a pas besoin de conseillers. Ce n'est pas à lui d'obéir à nos caprices ou à notre volonté, c'est à nous de lui obéir.

"Je le dis avec autant de facilité que j'ai fait ma scolarité dans des écoles privées et que j'ai pu en débattre avec des prêtres ou des religieuses.
Bizarrement aucun ne m'a traitée de meurtriere ou de suppôt de l'immoralité."

Qu'on soit prêtre, rabin, bouddiste ou athée, cela ne change rien à l'affaire. Un meurtre est un meurtre, et approuver un meurtre ne fait pas partie du christianisme.
Il y a des chrétiens qui se font dessus lorsqu'il s'agit de dire clairement leurs convictions, car ils savent que le monde est l'ennemi du Christ et ils ont peur de ne plus être aimé par le monde et ils ont peur pour leur vie également. Soit on est soumis à Dieu, soit on est soumis au monde. Chacun choisit son camps.
Jésus a dit : "Vous êtes dans le monde, mais vous n'êtes pas du monde".
Et il nous explique pourquoi le monde a une haine féroce du chrétien : "Si vous étiez du monde, le monde aimerait ce qui est à lui; mais parce que vous n'êtes pas du monde, et que je vous ai choisis du milieu du monde, à cause de cela le monde vous hait. Souvenez-vous de la parole que je vous ai dite: Le serviteur n'est pas plus grand que son maître. S'ils m'ont persécuté, ils vous persécuteront aussi; s'ils ont gardé ma parole, ils garderont aussi la vôtre. Mais ils vous feront toutes ces choses à cause de mon nom, parce qu'ils ne connaissent pas celui qui m'a envoyé. Si je n'étais pas venu et que je ne leur eusses point parlé, ils n'auraient pas de péché; mais maintenant ils n'ont aucune excuse de leur péché. Celui qui me hait, hait aussi mon Père. Si je n'avais pas fait parmi eux des oeuvres que nul autre n'a faites, ils n'auraient pas de péché; mais maintenant ils les ont vues, et ils ont haï et moi et mon Père. Mais cela est arrivé afin que s'accomplît la parole qui est écrite dans leur loi: Ils m'ont haï sans cause."

Le chrétien authentique doit dire clairement ce qui est bien et ce qui est mal, et le faire avec assurance. Autant les lobbys athées imposent leur vision du monde erronée, autant le chrétien doit y résister avec force et fermeté. Ce combat sera remporté par les chrétiens et ils savoureront leur victoire pour l'éternité. Dommage pour les autres, ils en ont décidé autrement, c'est leur problème et devront assumer.

Portrait de tvm
12/février/2009 - 17h42

Ne projette pas tes désirs sur ce qu'un enfant peut penser ou non. Et ce que Dieu en pense, t'en fais quoi ? Chaque être humain doit avoir droit à sa chance, tu n'as pas à penser à la place de celui qu'on tue cruellement, tu ne mérites pas plus de vivre qu'un autre. Ce n'est donc pas à toi de décider qui doit vivre et qui doit être épargné. Arrête donc tes projections à deux balles.
Tant qu'on ne remplit pas d'âneries mensongères l'esprit d'un enfant mais que, au contraire, on le remplit de principes basés sur des fondements solides, il est très heureux d'être en vie. Ce qui fait basculer les gamins à notre époque, c'est la perte de repères dans cette société où "on" a décidé que Dieu devait en être exclu. Un gamin a besoin de vivre dans l'ordre, pas dans le désordre. Le problème ne vient pas de Dieu mais de l'humanité, qui préfère vivre sans celui et le seul qui a des solutions pour elle.
Pour aller plus loin, tu crois sans doute que les enfants de divorcés sont heureux, pris psychologiquement en otage par leurs parents, trimballés à droite à gauche chaque WE ? On doit donc les supprimer car ils sont malheureux ?
Les gamins qui vivent dans des familles qui se tapent dessus, avec de l'alcool qui coule à flots, sont heureux, sans doute ? On fait pareil, on les supprime ?
Car toi qui prône un seuil arbitraire en deçà duquel il est possible de tuer, n'importe qui pourrait légitimement décider d'élever ce seuil à 18 ans ou bien à 34 ans et 41 semaines (et 2 jours et 17 heures, tant qu'à faire) voire même à 47 ans et 7 jours. Pourquoi pas, après tout ? Autant aller jusqu'au bout de l'absurdité. Si on raisonne en matière de seuil, le seuil de 0 jour après la fécondation n'est certainement pas plus débile que les seuils que tu proposes. Faudra sinon justifier.
Quoi qu'il en soit, avec ta manière de raisonner, on vit en anarchie. Tes arguments sont décousus et incohérents, et s'ils étaient en vigueur, on vivrait dans un véritable désordre où chacun pourrait tuer sous prétexte qu'il l'a décidé selon ses propres critères arbitraires. De plus, avec tes idées, on ne punit pas le coupable mais l'innocent.

Tu n'as toujours pas répondu à ma remarque pertinente, qui semble te déranger : "Si quelqu'un décide de mettre un seuil à ta vie, avec ses critères à lui (arbitraires, donc), sans te demander ton avis, tu n'y verrais donc aucune objection..."

"Les avortements ne se font pas par plaisir mais par nécessité."

C'est surtout un bon moyen de se débarrasser d'une charge trop embarrassante. Comme le dit l'expression : quand on veut se débarrasser d'un chien, on dit qu'il a la rage. C'est tellement plus simple de tuer... L'être humain de base ne croit que ce qu'il voit. Lorsqu'un embryon est tué, on ne le voit plus, il n'embarrasse donc plus la conscience du tueur car il est alors considéré comme "non existant".
Les accidents sont des accidents pour ceux qui veulent absolument considérer que c'en est un. Et l'orphelin, qui n'a plus de parents, qui se retrouve à 10000km de son lieu de naissance, tu crois qu'il est plus heureux ? On le tue aussi ? Sauf que cet orphelin peut être encore plus heureux qu'un gamin qui vit avec ses parents bourrés et violents; car s'il tombe dans une bonne famille adoptive qui a une éducation irréprochable, il va bien évoluer et sera heureux de vivre, de fonder sa famille. Pourquoi le priver d'une chance qu'il peut avoir ? Tout le reste, c'est simplement des prétextes fallacieux et mensongers visant à décider pour les autres ce qui est bien ou mal, une projection de ses fantasmes. Question d'orgueil.

"Mais je vois, mon pauvre TVM, que la cohérence et le sens, que vous demandez, n'est pas votre fort..."

Ne renversons pas les rôles, veux-tu. La vérité fait peur à certains, c'est manifeste. Elle les oblige à se remettre en question ; quand on est trop orgueilleux, on préfère l'évacuer, c'est tellement plus simple... :8)

"Et vas-y, promets-nous l'enfer, tu nous fais peur..."

Je ne vous promets rien, je vous explique simplement ce qu'il en sera, pour ceux qui ne veulent pas entendre parler de Dieu et qui ne veulent pas accepter son moyen (J.-C.) pour être sauvé. Tant qu'on vit, on peut toujours changer. Simplement, quand le jour J arrivera, personne ne pourra se défiler, ni toi, ni moi, ni personne.
Les gens ne pensent qu'à leur travail et leur argent, à leurs petites envies, à leurs problèmes terre-à-terre, de savoir ce qu'ils vont bien pouvoir manger à midi, mais ils oublient l'essentiel. C'est bien dommage, car la vie sur Terre n'est qu'une goutte d'eau par rapport à ce qui suit.
Toi aussi tu peux être sauvé. Mais il n'y a que toi qui peut décider si tu le veux ou pas. Et le choix se fait sur Terre, pas après. Car après, quoi qu'il en soit, tu ne pourras pas te justifier en disant "Merde, il avait raison, il m'avait parlé du jugement après la mort, mais je ne le savais pas que c'était vrai !...". :8)

A une époque, j'avais parlé de Christ à une fille, mais qui s'était ensuite rebellée. Elle ne voulait pas entendre parler de tout ça, elle avait une haine sans nom. Elle ne mettait sa confiance qu'en l'humanisme et qu'en elle-même. Hélas pour elle, un mois plus tard, elle est morte d'une maladie. Elle a eu sa chance d'être sauvée, elle l'a jetée à terre, mais bon, elle a fait son choix, c'est maintenant à elle d'assumer ce qui arrivera. C'est triste pour elle, mais l'enfer qu'elle a connu sur Terre n'est rien comparé à celui qui l'attend. Car Dieu est rempli de miséricorde pour ceux qui veulent vraiment le rechercher, mais il est aussi un juge impitoyable pour ceux qui le rejettent. Il nous a donné notre liberté de croire ou de ne pas croire, de faire le bien ou de faire le mal; en conséquence, il respecte ceux qui ne veulent pas de lui, et il les respecte tellement qu'il leur a même réservé un lieu pour eux, c'est ce que la bible appelle "la mort éternelle" ou bien "le lac de feu" ou même encore "le lieu des pleurs et des grincements de dents" : un lieu de désordre, de déchéance totale, loin de Dieu, où les gens vont vivre SANS FIN dans la misère, dans la souffrance, dans l'angoisse et dans la solitude les plus profondes, avec un regret terrible d'avoir rejeté Dieu, et ces gens-là sauront que plus jamais ils ne pourront être secourus, que jamais personne ne répondra à leurs cris désespérés et qu'il n'y aura plus aucun moyen pour eux d'échapper à leur réalité (le sommeil, les somnifères, le suicide, etc n'existeront pas). Pendant toute l'éternité, leur choix d'avoir refusé Dieu les persécutera, mais ils devront l'assumer, car ils sauront que s'ils se sont retrouvés ici, c'est de leur faute à eux seuls (sauf rares exceptions : les embryon, les bébés ou les enfants qui sont morts et qui n'ont pas encore pu faire leur choix), et ils sauront qu'ils pouvaient avoir mieux mais que leur orgueil leur a été fatale.
Maintenant, tu peux en rire ou en pleurer, tu peux considérer ça comme un conte pour enfants, c'est toi qui voit. C'est en tout cas comme ça que ça se passera, que tu le veuilles ou pas. Moi, je vis par la foi, c'est ce qui me distingue de ceux qui ne croient pas.

A chacun de faire le bon choix. Après, il est trop tard.

Portrait de tvm
12/février/2009 - 13h13

"Mon pauvre ami, il faut bien fixer un seuil au stade du développement,"

"Il faut !"... Ah ? En quel honneur, un seuil ? Et sur quels critères, on le fixe ? Et pour faire plaisir à qui ? Dans quel but ? Il faudrait quand même demander à celui à qu'on assassine s'il est ok avec tes critères, ce serait la moindre des choses. Si quelqu'un décide de mettre un seuil à ta vie, avec ses critères à lui (arbitraires, donc), sans te demander ton avis, tu n'y verrais donc aucune objection... lol
Bref. J'avais dit : une réponse COHERENTE et SENSéE ! Ta réponse n'est toujours pas à la hauteur de ce que j'attendais, elle est toujours aussi risible ! Tu me déçois beaucoup... mon "pauvre" ami ! :8)
Ce n'est pas à la vie qu'il faut mettre un seuil, mais plutôt à la quantité d'âneries incohérentes que l'être humain peut débiter dans sa vie.

"Irrécupérable, il préfère l'outrance et les propos diffamatoires."

Je préfère la vérité à vos mensonges. Nuance. Je sais que l'être humain se plait à pervertir la vérité en mensonge, mais moi je ne rentre pas dans ton jeu.
De même, les lois de la République, celles que tu défends avec zèle sans aucun esprit critique, n'auront pas leur place une fois que nous seront morts. Ce qui sera réellement ballot, ma chère, ce sont les gens qui auront pris toutes ces choses à la rigolade car c'est contre eux-même qu'ils auront fait du mal. La vie sur Terre a une fin, celle d'après n'en a pas. A notre époque, l'Homme veut la science mais se contrefiche totalement de Dieu. Le jugement post mortem est justement fait pour ce genre d'individus, qui rejette le seul moyen d'être sauvé et qui s'en moque (dans tous les sens du terme, d'ailleurs), ce sont ces gens-là qui pleureront, pas ceux qui seront sauvés. Vos délires ne me touchent donc pas personnellement, ce n'est pas moi qui sera sans avocat, qui sera accablé de toute part et qui devra rendre des comptes devant un juge incorruptible. Ceux qui se retrouveront, dans une détresse et une angoisse absolues, devant celui dont ils n'avaient rien à foutre pendant leur existence sur Terre se feront dessus et souffriront sans fin, car la fin n'existera pas; c'est ça qui est ballot. :8) Le salut est personnel et il est accessible à tous, d'où le fait qu'il n'y aura aucune pitié pour ceux qui n'en auront pas voulu; le purgatoire n'existe pas.

"A quand les foudres de l'Enfer?"

A ta place, j'irais molo avec ce genre d'ironie. Ceux qui iront, eux, seront irrécupérables, ce sera la déchéance la plus totale. Chacun choisit d'y aller ou pas. Mais le choix se fait sur Terre, pas après.
Moi, personnellement, j'ai choisi mon camps, ce n'est donc pas moi qui morflera. Par défaut, nous sommes foutus. Il faut donc choisir pendant notre vie sur Terre. Et en conséquence, les embryons qu'on tue, on les envoie directement en Enfer car ils sont morts avant d'avoir choisi leur camps. Très sympa pour eux, n'est-ce pas ?

L'être humain est bien plus qu'un tas de cellules. C'est avant tout un esprit (donc immatériel) qui vit dans un corps. L'embryon n'y échappe pas ! Mais le mensonge, qui tend à contaminer l'humanité tout entière, cherche avant tout à rendre l'homme captif, à le rendre indigne et à le priver du salut. Quand on est trop orgueilleux pour reconnaître qu'on ne peut pas se suffire à soi-même, mais qu'on a vraiment besoin de Dieu, on ne peut que vivre dans le mensonge. Et le mensonge rend l'homme indigne :
_ grosse faiblesse pour distinguer le moral de l'immoral
_ les sentiments remplacent le bon sens
_ perte de repères
_ acceptation et banalisation de l'immoralité
_ destruction progressive de l'ordre moral et de la moralité
_ Dieu est remplacé par l'Homme (Jérémie 17 : "Ainsi parle l'Éternel: Maudit soit l'homme qui se confie dans l'homme, Qui prend la chair pour son appui, Et qui détourne son coeur de l'Éternel! ").
_ l'Homme reste immature, instable et dépourvu de réflexion
_ l'Homme perd sa domination sur Terre, il est soumis à la vanité et à la déchéance
_ l'Homme se prive du salut

Une note finale qui confirme parfaitement l'état actuel de notre société : "Car la prédication de la croix est une folie pour ceux qui périssent, mais pour nous qui sommes sauvés elle est une puissance de Dieu" (1 Co 1.18)

:8)

Portrait de tvm
11/février/2009 - 21h53

En allant au bout de ta réflexion, on pourrait aussi se demander en quoi le meurtre d'un bébé ou d'un adulte serait plus dramatique que celui d'un embryon. CQFD Va jusqu'au bout de ta logique, veux-tu.

Par contre, la mort de milliers de globules rouges chaque jour dans ton corps ne t'empêche certainement pas de raconter des âneries. :8) Ce qui n'est pas le cas des embryons qu'on tue; là, on est certains que, eux, ne pourront jamais raconter d'âneries, vu qu'on les empêche de vivre. N'est-ce pas ?

Question subsidiaire :
Explique-moi pourquoi tuer un embryon de 11 semaines n'est pas un meurtre mais le tuer à 12 ou 13 semaines ou plus, c'en est un. Toi qui es si intelligent, je serais bien content que tu m'expliques ce qui se passe soudainement à la 12ème semaine pour qu'un être humain soit enfin reconnu comme un être humain et non comme un vulgaire tas de cellules sans statut. Je veux bien sûr une réponse cohérente et sensée, cela va de soi. Par exemple, comme tu t'en doutes, je ne veux pas d'une réponse du style "La loi le permet, donc si la loi le dit, c'est que c'est vrai". Bon courage à toi, tu vas en avoir bien besoin... :mrgreen:

Portrait de tvm
11/février/2009 - 20h24

Tant qu'il n'y a pas de fécondation, la vie ne peut pas exister. Tu es de mauvaise foi.
A la vue de tant d'arguments aussi risibles qu'incohérents que je peux lire, ce n'est certainement pas moi le plus "pauvre". J'aurais même plutôt pitié pour certains, vois-tu... :roll:

Portrait de tvm
11/février/2009 - 18h46

Chacun est libre de se perdre dans ses mensonges.
La vie commence à la fécondation. Le nier, c'est être aveugle. L'avortement est donc un meurtre. :8)

Portrait de tvm
11/février/2009 - 12h34

Toutefois, une petite note optimiste pour terminer : cette "lutte" pour le droit au meurtre aura un jour une fin. Car le mensonge ne peut pas triompher de la vérité. Les féministes se croient tout puissants et pensent tous les acquis éternels et inébranlables, mais il y a plus fort que ces mouvements de propagande. Les féministes (et tous les lobbys malsains, d'une manière générale) se battent contre du vent. Un jour, la justice, la vraie, viendra et balayera tous les faiseurs de mensonges et de scandales. :8)

Portrait de tvm
11/février/2009 - 12h17

Légitimer un meurtre, c'est le résultat de la propagande féministe. Rien de plus. Une lutte de meurtrières, tout simplement. Alors, tu sais, tes droits de la République... Je me marre.
Je préfère largement mes convictions pacifiques plutôt que la propagande de folles irresponsables qui ne pensent qu'à leur propre intérêt.
Croire qu'un embryon vaut moins qu'un foetus ou un bébé, c'est de l'aveuglement total et une remise en question totale de la valeur humaine. Les féministes sont folles mais suffisamment rusées pour séduire l'humanité avec leurs mensonges. Beaucoup tombent dans ce piège, car l'esprit humain est corruptible et c'est parfois plus facile pour certaines de se conforter dans un mensonge pour éviter de se remettre en question. Question d'orgueil.
De plus, les femmes ne raisonnent pas avec la logique mais avec les sentiments... Et les sentiments sont trompeurs, ce n'est pas un scoop.

Comme dit l'expression : il n'y a pas plus aveugle que celui qui ne veut pas voir.

Portrait de tvm
9/février/2009 - 17h31

Confirmation, donc : à cours d'arguments. :8)

Portrait de tvm
9/février/2009 - 01h38

Déjà à cours d'arguments ? ;)

Portrait de tvm
7/février/2009 - 18h36

Juger un acte, c'est une chose. Juger une personne, c'en est une autre.
Faudrait arrêter de cadenasser la réflexion et l'intelligence, ainsi que de nier la vérité.
C'est pas en cachant la vérité qu'on peut aider les gens. Pour être aidés, les gens doivent avant tout prendre conscience de la gravité de leurs actes. Sinon, c'est vain.

Donc, je persiste et signe : oui, l'avortement est un meurtre et il faut que ça se sache ! Au delà d'un quelconque jugement, c'est avant tout un constat. On doit appeler un chat un chat et non s'enfermer dans des mensonges ayant pour but la déresponsabilisation de nos actes.
Si des gens ont besoin d'être aidés, qu'ils sachent que ce n'est pas en tuant un être innocent DONT ON N'A PAS DEMANDé SON AVIS qu'on pourra de toute façon régler quelque problème que ce soit. Tuer ne règle absolument aucun problème. Celui qui tue n'a pas plus de mérite à vivre. Que dirait-il si on le tuer lui aussi sans pitié, sans lui demander son avis ? Il aurait bien l'air con... Qu'on ne me parle pas d'une quelconque liberté, il s'agit d'une dictature. Dès lors qu'on porte atteinte à une vie autre que la sienne, la liberté n'existe plus. Et il est totalement indécent de revendiquer la liberté de nos choix lorsqu'on agit comme ça !

Comme je disais dans mon ancien message : le mal se perpétue et n'a pas de frontières. En obéissant au mal, on lui donne encore plus de pouvoir.

A bon entendeur...

Portrait de T0n10
7/février/2009 - 14h08


Tu es donc pour ;) ... il faut avoir le choix et la seule possibilité de l'avoir c'est que l'avortement soit légaliser.
J'en rajouterai une couche en reprécisant un tant soit peu le contexte dans lequel cette loi est passé ... Avant le droit a l'avortement, faut pas croire que les femmes n'avortaient pas. Celles qui prenaient le risque d'avorter (pour des raisons personnelles, enfant hors mariage, honte pour la famille etc) le faisait mais dans des conditions (d'hygiène pour commencer) déplorables, mettant en danger jusqu'à la vie même de la femme. L'état a donc pris ses responsabilité en la legalisant et arreter ces actes qui faisait plus penser à de la boucherie qu'a de la medicine, alors que cette derniere pouvait parfaitement tenir ce role.
D'ailleurs ce debat de l'epoque me rapelle etrangement celui sur l'euthanisie plus actuel.

Portrait de manon2008
7/février/2009 - 11h28

Vous connaissez l'histoire de cette jeune femme qui été torturée violée et sequestrée pendant plusieurs jours par une dizaine d'hommes et qui est tombée enceinte????
Vous vous imaginez garder pendant 9 mois le cadeau de ce supplice?
Pensez-vous que durant sa grossesse cette femme va se nourrir correctement, ne pas sombrer dans les medocs, la drogue ou l'alcool???????
Quant est-il pour la santé du bébé, mentale et physique???
Mettre au monde un bébé en lui disant qu'on ne sait pas qui est son père, sauf que c'est la pire des ordures.
Comment cette femme peut-elle se reconstruire en voyant la graine de ses agresseurs grandir en elle comme si elle n'avait déjà pas assez souffert!!!!
Et une autre gamine dire à son fils: ton papa et ton grand-père c'est la même personne?, ton père et ton oncle de même???? C'est pour ça que tu as des malformations!!!!!!
J'ai l'impression qu'il y a des violeurs qui écrivent ici...

Portrait de abidjan80
7/février/2009 - 11h28

Un enfant doit être issu de l'amour entre deux humains et non pas d'un délir de l'un ou de l'autre . C'est tout .

Portrait de Raygirls
7/février/2009 - 10h55

Si une femme tombe enceinte après un viol, il faut qu'elle avorte (c'est movis), comment peut-on garde un enfant issue viol, ensuite chaque femme à la liberté de faire ce qu'elle veux de son corp, si elles veulent avorter c'est un droit

Maintenant c'est pas en angleterre ou il a un problème vu que le pays à legaliser l'avortement, le 1er pays à l'avoir fait est la tunisie

Le problème c'est certains états au US et des pays comme l'Irlande qui refuse l'avortement incroyable:shock:

Portrait de T0n10
7/février/2009 - 10h42

C'est vrai qu'il est un poil excessif le gredin ... :lol:

Portrait de cristovao60
7/février/2009 - 04h13

moi perso j'adore, je trouve sa décalé, c'est un moyen certe original de parler d'un sujet sérieu, par contre de là a le censuré, pas sur. Bref tant que les soldats a la croix de bois comme je l'ai appel et les aveugles de l'esprits seront en liberté, notre liberté a nous n'en sera que toujours limité.

Portrait de FabassX
7/février/2009 - 00h44

Euh franchement, je ne suis pas d'accord avec toi.

Avant un certain temps pendant la grossesse, le foetus n'est qu'un amat de cellules qui n'est pas doué de conscience ou d'émotion. Avant cette limite où le cerveau naît, ce n'est définitivement pas un "enfant" !

Autre point, je trouve ça vraiment énervant le manque de tolérance du catholicisme en général. Que vous ayez vos idées, vos croyances et vos démons, c'est normal tout le monde a besoin de croire en quelque chose, qu'il soit divin ou non. Mais s'il vous plaît arrêtez d'imposer vos idées aux autres !

C'est pour moi le plus gros problème des religions en général (pas seulement un ou 2 hein), la religion dans la définition que je m'en fait, est là pour rassembler les hommes, hors elles ne font que les diviser !!!

Stop !!! Croyez ce que vous voulez, mais faites le entre vous et sans condamner les actes qui ne rentrent pas dans votre "moule" de la vertue ! Soyez un peu plus tolérant !

Merci d'avance.

Portrait de T0n10
6/février/2009 - 22h52

En ce qu me concerne c'est pire qu'une indigestion, je frole la gastro :shock:

Portrait de O_o
6/février/2009 - 22h14

TVM t'es indigeste!!:roll:

Portrait de tvm
6/février/2009 - 19h51

"Il n'est un enfant que lorsqu'il est sorti du ventre de sa mère. Avant c'est un foetus voire un embryon."

Qu'il soit enfant, foetus ou embryon, il existe. Et ce, depuis la fécondation. Vous n'avez jamais été un embryon ni un foetus vous-même ? Et pourtant, vous êtes là aujourd'hui !
Un être humain ne commence pas sa vie à la naissance, ni même à 12 semaines après la fécondation, mais au moment-même de la fécondation. Tant que l'ovule n'est pas fécondé, il n'y a pas de vie; l'ovule non fécondé est ensuite évacué. Mais une fois fécondé, la vie entame son processus, la machine est lancée. Et à partir de là, le supprimer est un meurtre. Car un meurtre consiste à tuer une vie. Et si l'ovule fécondé n'était pas vivant, personne ne pourrait exister, car après la fécondation il faut absolument passer par toutes ces étapes : embryon, foetus, naissance, bébé, enfant, ado, adulte, vieillard. C'est le cycle de la vie, et supprimer la première étape n'est pas moins pire que supprimer la dernière. Qu'on supprime la première ou la dernière, c'est la même chose : on supprime la vie.
Tout le reste n'est que de la branlette pseudo-intellectuelle féministe, qui ne mène à rien, qui use du mensonge pour faire croire au vrai, dans le but de déresponsabiliser ses comportements, de trouver des vaines excuses, de laver leur conscience, de détruire l'ordre familial et social, de se rebeller contre l'autorité (car elles ont une haine absolue de l'autorité et de l'interdit), de se confronter aux hommes (car ils symbolisent l'autorité), de se prendre pour un chef, de soumettre les hommes (= soumettre l'autorité). C'est ça le féminisme : un renversement total de l'ordre, qui mènera de toute façon à la perte des repères et de la stabilité. Et d'ailleurs, c'est déjà commencé. Ces personnages prônent la paix tout en détruisant les seules choses qui peuvent justement maintenir la paix. C'est bien un comportement de folie. Lorsqu'on détruit l'ordre, on mène au désordre. Et il n'existe pas de paix dans le désordre; ça ne peut pas cohabiter, ça s'oppose.
De même, ce n'est pas parce qu'une loi légitime le meurtre qu'elle est morale. On pourrait citer des milliers de choses légitimes qui font pourtant gueuler le peuple. Se servir des lois humaines pour raisonner, c'est comme se mettre un bandeau sur les yeux : ça évite de réfléchir et ça permet de rester sur son piédestal ("moi, je décide, c'est moi l'chef !"). Sans doute que la vérité fait trop peur à certains pour y faire face.
Si on considère un embryon comme un simple tas de cellule sans valeur (qu'on peut donc supprimer sans pitié), qu'en est-il d'un adulte qui est lui-même constitué de boyaux et de cellules ? Pourquoi aurait-il plus de valeur ? Par conséquent, il serait donc également légitime que chacun puisse tuer tel ou tel adulte, selon ses envies et sans leur consentement ?
Quand aveuglement féministe, tu nous tiens... Le jour où ces individus comprendront enfin qu'un être humain n'est pas constitué que d'un tas de cellules et que de boyaux, on avancera peut-être...

"L'avortement est une épreuve douloureuse pas un tea-time ou unrdv chez le coiffeur."

C'est une épreuve qui est encore plus douloureuse pour l'embryon (qui est un être humain VIVANT, quoi qu'en disent les aveugles) qu'on assassine et qu'on envoie directement en enfer. Tuer sous prétexte qu'on est irresponsable et égoïste n'est pas une excuse valable. Personne n'a à décider de qui doit vivre ni qui doit mourir. Quand la vie existe, il n'existe aucune justification possible pour la supprimer.

"Chaque femme doit pouvoir décider en toute sérennité de ce que sera son choix."

Le choix de tuer... Quelles femmes vertueuses ! Un homme intelligent ne recherche heureusement pas ce genre de femme... charmante...
Si celles qui ont tué ne se repentent pas, leur jugement ne sera en tout cas pas du tout serein pour elles. Mais alors, pas du tout ! Il est très facile de vaincre et de corrompre les autorités terrestres, mais il existe aussi une autorité suprême au-dessus de chacun de nous, qui est totalement incorruptible, et absolument personne ne pourra y résister, ni moi ni personne. Chacun peut actuellement décider de la fuir et même de ne pas vouloir y croire, mais la fuite ne durera qu'un temps et personne ne pourra se défiler. Chacun devra assumer ses responsabilité. Il est donc encore temps de changer et de laver son passé (car le pardon divin existe pour ceux qui se repentent sincèrement du mal qu'ils ont fait), mais pour ceux qui refuseraient d'admettre la vérité, ils ne pourront pas dire : "Je ne savais pas" et n'auront aucune excuse.

"L'avortement est un choix comme un autre et un droit de la femme à ne pas mener une grossesse à son terme."

Il ne faut pas aveugler les gens mais plutôt leur ouvrir les yeux.
L'avortement est un crime contre l'humanité qui devrait être sévèrement puni. (Il le sera de toute façon un jour quand la vraie justice viendra, car elle viendra... et les féministes s'en mordront les doigts). On juge bien les femmes qui tuent leur nourrisson, et elles se font presque lapider en public. Admettons. Alors pourquoi ne pas punir aussi celles qui tuent leur embryon ? Car dans les deux cas, sur le plan biologique de la chose, on a de toute façon affaire qu'à des boyaux et qu'à un tas de cellules. Alors restons logiques ! Si on punit l'un, on punit l'autre aussi. Ou bien alors on ne punit aucun des deux et on dit "Welcome !" à l'anarchie. Mais dans tous les cas, on ne fait pas à moitié l'un, et à moitié l'autre, c'est ridicule et incohérent. Dans tout ce qu'on fait, faut aller jusqu'au bout des choses, soit dans une direction, soit dans l'autre.
Un autre problème du féminisme : "Moi je, moi je". Sauf qu'un enfant n'appartient pas à sa mère : il se développe dans sa mère, puis naît ensuite ! Nuance ! Après, il vole de ses propres ailes. C'est un être humain à part entière. Alors, les "Moi je, moi je", ça entre par une oreille et ça ressort par l'autre. Les femmes qui soi-disant "disposent de leur propre corps" et qui, par conséquent, se permettent de faire tout et n'importe quoi, devraient plutôt chercher à devenir intelligentes.
La femme ne crée pas, elle procrée ! Il y a une différence de taille entre créer et procréer ! Ce n'est pas elle qui créée, elle n'a donc pas le droit de détruire.
On peut pas d'un côté revendiquer la liberté de faire ses propres choix et en même temps de choisir de supprimer une vie sans son consentement, c'est de la débilité profonde. L'être humain qu'elles suppriment a-t-il le droit de décider lui aussi ou doit-il se soumettre à mourir parce que des irresponsables féminines "prônant la liberté" (mdr... c'est quoi leur définition de liberté déjà ? ^^) l'ont décidé ainsi ?
Quand on décide pour les autres, on évite de prôner la liberté, car ce n'est plus de la liberté, c'est de la dictature.

Absolument rien n'empêche une femme même violée de mener sa grossesse à terme, puis de faire adopter son gamin. Mieux vaut laisser une chance à un être humain plutôt que de décider à sa place s'il mérite de vivre sa vie sur Terre. Pourquoi n'aurait-il pas le droit d'être heureux, lui ? Pour les féministes, toutes les excuses sont bonnes pour justifier leurs actes. "Bah le pauvre, tu comprends, il sera malheureux, bouh bouh..." Elle sont devins ?
Franchement, qu'est-ce que c'est que ce lâcher de femmes New Age qui veulent décider de la vie et de la mort des autres ? Et si quelqu'un décidait pour elles et par la force si elles devaient vivre ou mourir, que diraient-elles hein... elles qui revendiquent la liberté ? Ne faites pas aux autres ce que vous n'aimeriez pas qu'on vous fasse.
On peut pas trouver le bonheur en pratiquant l'injustice. Ceux qui sont injustes se rendent eux-même esclave du malheur et font du mal à eux-même avant tout... même si les répercutions n'arrivent que bien plus tard. Quoi qu'il arrive, le passé poursuit toujours le présent de la personne injuste. Le mal et ses conséquences sont un fléau invisible qui n'a pas de frontière, pas de règles et qui se perpétue. Ceux qui se demanderaient éventuellement pourquoi il y a tous ces malheurs aujourd'hui sur Terre à notre époque ont déjà une pièce du puzzle.

J'ai vraiment honte de tous ces lobbys féministes... une horreur absolue de ces mouvements New Age, qui vivent dans le mensonge et qui aveuglent le monde entier pour leurs propres intérêts, par orgueil et par rébellion.

Portrait de oxenn
6/février/2009 - 17h53

Mais franchement des fois je me demande d'ou viennent ces "infos" ?

Je vis en Angleterre, je regarde la tele tous les jours et je lis les journaux, jamais entendu parler de cette chanteuse et sa chanson ? Je viens de traduire cet article a mes potes et me disent qu'eux non plus ne la connaissent pas.

Alors de la a parler de scandale.....

Portrait de olivier200
6/février/2009 - 17h10

ilanne a écrit :
" Un retour à l'ère victorienne de la part de nos amis anglais?
Faut pas se voiler la face sur certaines réalités.
Perso, je suis pour le libre choix de la femme à disposer de son corps.
Nous ne sommes pas des incubateurs, merci "

+ 5

Merci, ça fait du bien à mes yeux.

Et le bond en arrière continue en France on n a supprimé la moitié du budget du planning familial mais bon il parait que c est le progrés la reforme etc enfin tous le baratin pour revenir au temps de zola .................

Portrait de bigre
6/février/2009 - 16h10

je repondais a anfield j ai juste repris sa derniére phrase ;)

Portrait de bigre
6/février/2009 - 16h08

Au contraire, si cette femme décide de ne pas avorter malgré ce viol, ce sera pour l'enfant une marque d'amour immense ( et je sais de quoi je parle)

tout dépend qui est le violeur , s il sagit d un inceste vaut mieux avorté

Portrait de Titecaline
6/février/2009 - 16h05

+ 5

Merci, ça fait du bien à mes yeux.

;)