Otages France 3: Sarkozy ne donne pas d'échéances
Le président Nicolas Sarkozy, qui a reçu vendredi soir des membres du
comité de soutien aux deux journalistes de France 3 enlevés en Afghanistan,
s'est refusé à envisager une échéance pour leur libération, selon un des
porte-parole du comité.
Contrairement au chef d'état-major des armées
Edouard Guillaud, qui avait un peu plus tôt envisagé une libération d'ici
Noël, "le président de la République a été très très prudent et n'a pas
donné d'échéance pour la libération de nos amis", a indiqué à l'AFP Richard
Coffin, journaliste à France 3.
"Je ne m'engagerai pas à donner des
données de temps formelles, la France continue à travailler là-bas à la
libération de vos deux confrères", a dit le président, se disant "toujours
inquiet" de la situation, selon Richard Coffin.
Ce qu'il disait "collait
plus sans doute avec la situation actuelle", après "l'euphorie" de la
matinée, a noté le journaliste.
Stéphane Taponier et Hervé Ghesquière ont
été enlevés fin décembre 2009 avec leurs trois accompagnateurs
afghans.
Vendredi matin le chef d'état-major des armées Edouard Guillaud
avait indiqué à Europe 1 que les otages avaient "bon" moral et qu'il y avait
"un espoir raisonnable" qu'ils soient libérés avant Noël.
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Vos réactions
Là, je suis d'accord.
Mais le motif sécurité pour la masse n'était il pas pour prendre des voix au FN?
Quand on voit l'expérience "KARCHER" et ce que ça a coûté au contribuable, je pense que la méthode était à revoir.
De toute façon de tout temps la droite n'a jamais été au pouvoir pour faire progresser les conditions sociales et salariales des "masses".
Bon, désolé mais ce n'est pas le sujet de départ de cet article qui parlait d'otages.
Cdt
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