13h11: Les juges qui enquêtent sur les emplois présumés fictifs du FN (devenu Rassemblement national) au Parlement européen ont aggravé vendredi la mise en examen de la présidente du parti Marine Le Pen, requalifiée pour «détournements de fonds publics», a appris l'AFP auprès de son entourage.
Marine Le Pen était convoquée ce matin chez les magistrats financiers pour un premier interrogatoire au fond après sa mise en examen en juin 2017 pour «abus de confiance» et «complicité d'abus de confiance».
Au cours de cette nouvelle audition, elle n'a pas répondu aux questions, arguant qu'elle attendait une décision sur un recours devant la cour de cassation.
11h49: Marine Le Pen est arrivée ce matin au tribunal pour être entendue par les juges du parquet financier dans le cadre de l'enquête sur de possibles emplois fictifs du Front National au Parlement européen.
Dans le cadre de cette enquête, Marine Le Pen, Louis Alliot et Nicolas Bay sont poursuivis pour "abus de confiance" ou "complicité d'abus de confiance", des délits passibles de trois ans de prison et 375.000 euros d'amende.
Vos réactions
c'est fou comme la justice peut être rapide parfois
Le détournement de fonds publics c'est un classique chez nos politiques, mais là 7 millions d'euros, elle a fait fort. Dernièrement la socialiste Sylvie Andrieux s'est pris 3 ans de sursis et 1 an ferme pour un détournement de 750 000€, ce serait logique que Marine face un petit séjour au quartier VIP de la santé.
Elle est bien placée pour donner des leçons aux autres !
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