Jean-Marc Morandini à Tex: "Vous ne pensez quand même pas que France 2 vous a viré pour la blague ? Ils voulaient juste se débarrasser de vous..." - VIDEO

En décembre dernier, Tex a été évincé des "Z'amours" sur France 2 suite à une plaisanterie sur les femmes battues sur le plateau de "C'est que de la télé" sur C8 (voir la vidéo en cliquant ICI). La chaîne publique avait dit "ne pas accepter que des propos insultants et déplacés soient prononcés par ses animateurs". Tex avait alors été remplacé par Bruno Guillon à la présentation des "Z'amours" dès le 1er février dernier.

Ce matin, Tex était l'invité de Jean-Marc Morandini dans "Morandini Live" sur CNews et Non Stop People où il est notamment revenu sur son éviction. "Moi, à mon avis, vous n'avez pas été viré pour une blague. Franchement, je pense qu'ils cherchaient à vous virer depuis longtemps. Ils ont pris l'excuse de cette blague pour vous virer. Là, c'est plus simple de vous virer comme ça, parce qu'il y a une rupture. C'est vous qui êtes en faute, il n'y a pas d'indemnités à vous virer", a déclaré dès le début Jean-Marc Morandini.

Réponse de l'animateur : "Ils se sont débarrassés de l'un de leur fils, l'un de leurs enfants. C'est dommage. J'ai toujours pas compris. Je pense qu'elle [la blague] a été prise au premier degré. Je trouve inquiétant que, dans notre pays, on puisse prendre des blagues au premier degré. (...) Il n'y a pas de blagues pourries. C'est une blague. Elle marche depuis des années. Peut-être que ce n'était pas le moment de la faire. Il faut s'adresser à tous les publics". 

Jean-Marc Morandini lui a alors demandé s'il regrettait de l'avoir faite sur le plateau de C8. "Il faudrait être complètement idiot pour, à l'heure qu'il est, ne pas la regretter", a déclaré l'ancien animateur des "Z'amours".

Tex a révélé n'avoir jamais rencontré "même une seule fois" la directrice des programmes de France 2 ou la patronne de France Télévisions. "Dix-sept ans de maison, il n'y en pas un qui est venu sur le tournage de l'émission. Ils vont sur les primes mais pas sur les programmes de flux (...) Parfois, je prenais des rendez-vous. Fallait les prendre trois mois à l'avance, puis on vous décalait les rendez-vous. A un moment donné, tu arrêtes", a continué le présentateur avant d'être confronté à la chronique "Le Grand Choix".

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