Dans un entretien au Journal du Dimanche, le premier ministre s'engage à des "améliorations" de la loi Travail sur "deux points" contestés, la création d'un plafond pour les indemnités prud'homales et l'extension du licenciement économique.
"Concernant la barémisation pour les prud'hommes, disposition attendue par les chefs d'entreprise, des adaptations peuvent être possibles sans la remettre en cause. Nous allons en discuter", affirme-t-il.
"Il faut enrichir et compléter cet avant-projet de loi. Mais ce qui serait terrible, c'est le statu quo.
Plus encore pour les exclus du marché du travail [...] J'aurais pu dire : il reste quatorze mois, je vais lever le pied, ne prendre aucun risque…
Ce n'est pas ma vision de la politique, ni celle du président de la République.
Je ne donnerai pas une seule seconde à l'immobilisme."
Vos réactions
A quoi sert la ministre du travail si c'est lui qui parle de cette loi ? Bien la preuve qu'elle n'est qu'une "vitrine"
il va se le prendre en boomerang son projet la France va descendre dans la rue encore pendant 2 mois...
il va se le prendre en boomerang son projet la France va descendre dans la rue encore pendant 2 mois...
Quand va t'il se taire ?
Quand il parle, il annonne et ne dit que des absurdités et des contre vérités, quand il n'aboie pas. Il n'est pas digne de la fonction tant il est peu convaincu et pas convainquant.
il est bien évident que des contreparties ont été déjà négociées avec la CFDT, quelques modifications mineures permettront à ce syndicat de crier victoire et de signer l'accord au nom du réalisme économique comme elle l'avait déjà fait avec les retraites.
Allez, comme d’habitude une petite marche arrière; mais attention de ne pas renverser la poubelle du voisin, il faut tenir jusqu'en 2017 !
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