La membre du groupe Pussy Riot Maria Alekhina a dénoncé comme "une opération de communication" du Kremlin la loi d'amnistie qui a permis sa libération lundi du camp russe où elle purgeait sa peine.
"Je ne pense pas qu'il s'agisse d'un geste d'humanisme, mais plutôt d'une opération de communication", a déclaré la jeune femme de 25 ans à la chaîne de télévision Dojd, dénonçant une loi qui ne permet la libération que d'un faible nombre de détenus. "Si j'avais eu le choix, j'aurais refusé", a-t-elle ajouté.
Vos réactions
Juste avant les Jeux Olympiques, comme par hasard...
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Elle se victimise
Cette pouf ne voulait pas de son amnistie mais avait demandé sa libération anticipée !! Qu'elle aille se faire soigner la tête..
Dans la vie, on a toujours le choix
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