09/03/2012 07:51

La journaliste Edith Bouvier raconte, ce matin, dans Le Figaro son séjour à Homs

L'envoyée spéciale du Figaro Edith Bouvier, rapatriée en France après avoir été grièvement blessée à Homs, publie vendredi dans son quotidien un long reportage sur l'hôpital de campagne de Baba Amr où elle a reçu les premiers soins.

La journaliste a été blessée en Syrie le 22 février et n'a été rapatriée que le 2 mars, "à la suite d'un dangereux périple à travers la Syrie en guerre", écrit Le Figaro en introduction à cet article qu'elle avait commencé à écrire sur place.

"Elle est toujours hospitalisée en France et a subi jeudi une longue et délicate opération de la jambe", précise le quotidien.

Dans son reportage, la journaliste décrit l'hôpital de campagne de l'Armée syrienne libre (ASL), "un immeuble quelconque" qui constitue cependant "une sorte de hâvre, un îlot d'humanité".

"Les blessés s'y entassent, on les soigne avec presque rien", tandis que les obus et les roquettes continuent de tomber sur Baba Amr, témoigne-t-elle.

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Vos réactions

Portrait de djceline
9/mars/2012 - 08h06

Le monde entier voit un peuple se faire tuer par un dictateur fou mais personne ne va agir. Car le peuple est une chose et le dollars une autre. Sur un bateau il y a deux étages, une classe riche et l'étage du bas classe modeste. Si les passagers de l'étage du bas venez à détruire le bateau du bas est ce que ceux du haut doivent laisser faire et arriver à un moment couler tous ensemble? Ou bien agir pour venir en aide à ceux du bas et ainsi se sauver eux même. L'ONU n'agit pas mais rien ne nous dit que dans le futur nous soyons aussi atteint d'une tragédie ( elle peut être d'origine naturelle ( séisme, inondation....)) et nous souhaiterons l'aide international