"Sans remettre en cause le droit de grève, liberté fondamentale garantie par notre Constitution, on peut s'interroger sur les conséquences de ce blocage", écrit le journal, dans un texte signé de son rédacteur en chef, Frédéric Vézard, transmis mercredi soir à l'AFP.
"Peut-on espérer sauver la presse écrite en l'empêchant de paraître ? La réponse est évidemment non", ajoute Frédéric Vézard, soulignant que "la plupart des quotidiens d'information seront réduits au silence" au lendemain d'une grande journée d'action sociale qu'il aurait été "utile de raconter".
Vos réactions
il faudra nous expliquer messieurs les journalistes, comment on fait pour que vous parliez d'une grève comme une manifestation d'idées et non comme une ballades de feignasses si on ne bloque pas? parce que dans ce cas, tout le monde s'en fiche, et euh, ça sert vraiment à rien...
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