C'est une interview d'une rare violence que publie TV magazine ce matin. Une interview dans laquelle Bernard Tapie insulte de façon violente l'agence CAPA et le magazine "Les infiltrés" de France 2.
Extraits
Question:On parle beaucoup des caméras cachées des Infiltrés sur France 2. Qu'en pensez-vous ?
Bernard Tapie: Il n'y a rien qui me gêne plus que ça. Toutes les agences qui pratiquent la caméra cachée sont des escrocs notoires.
Question: Mais l'agence Capa [qui produit l'émission NDLR] jouit d'une solide réputation...
Bernard Tapie: Je vous le redis : toute cette bande de chez Capa sont des escrocs ! Ils sont capables de monter des coups avec des acteurs. C'est hallucinant ! Huit fois sur dix, ils bidonnent. Leur objectif n'est pas de faire du journalisme ni de la justice mais du faux flicage et du spectaculaire.
De son côté l'Agence CAPA vient de nous faire parvenir le communiqué suivant:
"L'agence CAPA prend connaissance ce jour avec stupéfaction des propos
extrêmement violents tenus par Bernard Tapie au journal TV MAGAZINE,
relatifs à la série "Les Infiltrés" qu'elle produit.
Elle a demandé dès aujourd'hui à son Conseil, Maître William BOURDON,
d'engager une procédure en diffamation publique à l'encontre de Bernard
TAPIE et de solliciter des dommages et intérêts à la mesure de la très grave
atteinte portée ainsi à sa réputation professionnelle et à celle de ses
journalistes."
Vos réactions
d'utilité publique... de nos jours, hélas c'est là l'os !
La diffamation est l'allégation ou l'imputation d'un fait qui porte atteinte à l'honneur ou à la considération de la personne à laquelle le fait est imputé (article 29 de la loi du 29 juillet 1881 - en France).
Elle est définie juridiquement à l'article 29 de la loi sur la liberté de la presse du 29 juillet 1881 :
« Toute allégation ou imputation d'un fait qui porte atteinte à l'honneur ou à la considération de la personne ou du corps auquel le fait est imputé est une diffamation. La publication directe ou par voie de reproduction de cette allégation ou de cette imputation est punissable, même si elle est faite sous forme dubitative ou si elle vise une personne ou un corps non expressément nommés, mais dont l'identification est rendue possible par les termes des discours, cris, menaces, écrits ou imprimés, placards ou affiches incriminés.
Toute expression outrageante, termes de mépris ou invective qui ne renferme l'imputation d'aucun fait est une injure. »
Il n'est pas nécessaire que le propos soit calomnieux (donc faux) pour tomber sous le coup de la loi, la présentation des faits doit également ne pas être trompeuse. Par exemple, des faits exacts cités hors contexte peuvent être de nature à nuire à la réputation de la personne (« M. X a été mêlé en telle année à une affaire de vol de voiture » si la réalité des faits est qu'on avait volé à cette époque la voiture de M. X).
La diffamation constitue un délit ou une contravention suivant qu'elle est exprimée publiquement ou en privé. Des propos diffamatoires tenus devant un groupe de personnes partageant une même communauté d'intérêts est considéré comme privée (par exemple, lors d'un comité d'entreprise).
La reproduction ou la citation de propos diffamatoires constituent une nouvelle diffamation susceptible de poursuites.
Sommaire [masquer]
1 Différence entre diffamation et injure
2 Moyens de défense
3 Exemple
4 Notes et références
5 Voir aussi
6 Liens externes
Différence entre diffamation et injure [modifier]
L'invective ou l'expression outrageante qui ne renferme l'imputation d'aucun fait est une injure.
Ainsi, les termes « traître à la patrie », « repris de justice », « imposteurs », « maffiosos » ont été jugés diffamatoires. En revanche, les termes « couard », « homme vil », « lopette », « larbin » ont été jugés comme constituant des injures en l'absence d'imputation de faits précis.
Moyens de défense [modifier]
Parmi les principaux moyens de défense, il en existe deux distincts, que sont l’exception de vérité et la bonne foi. Dans un arrêt rendu le 6 juin 2007[1], la cour d'appel de Paris rappelle les conditions inhérentes à chacune de ces possibilités d'exonération. Ainsi "la preuve de la vérité des faits diffamatoires doit être parfaite, complète et corrélative aux imputations tant dans leur matérialité que dans leur portée et dans leur signification diffamatoire". Quant à la bonne foi, "quatre éléments doivent être réunis pour que [son] bénéfice (…) puisse être reconnu au prévenu : la légitimité du but poursuivi, l’absence d’animosité personnelle, la prudence et la mesure dans l’expression, ainsi que la qualité de l’enquête" Cependant, la preuve s'avère souvent difficile à produire, notamment si les faits concernent la vie privée ou un acte répréhensible non encore condamné au moment de l'allégation. La bonne foi s'applique lorsqu'en dehors de toute animosité personnelle, une personne fait état de faits qui bien que faux ou non démontrés, ont précédemment été imputés à une personne sans que l'auteur n'ait connaissance d'éventuels démentis. Les propos doivent être mesurés et poursuivre un but légitime. L'exception de bonne foi ne suppose pas la preuve de la vérité des faits.
La procédure de diffamation connaît des règles de procédure très particulières garantissant le respect de la liberté de la presse (prescription de trois mois), ce qui permet, en démontrant que les propos incriminés ne sont pas diffamatoires mais injurieux (ou vice-versa) d'échapper aux poursuites, aucune requalification n'étant possible en droit français[2].
Exemple [modifier]
Un procès en diffamation opposa ainsi Jean-François Kahn à un certain B., directeur d'un grand quotidien, le premier ayant écrit dans son hebdomadaire : « Si les cons volaient, B. serait pilote de Boeing. » Dans son jugement, la Cour rappelle l'étymologie du mot con et le replace dans le contexte d'une société misogyne, puis estime que « la phrase suggère que M. B. serait un con de qualité ; la volonté de nuire est ici évidente. » Le défendeur fut condamné au franc symbolique de dommages-intérêts.
Dans l'affaire « Placid », la cours de Cassation rappelle la différence entre l'exception de bonne foi et l'exception de preuve[3].
C'est vraiment l'hôpital qui se fout de la charité!!!Depuis quand Bernard Tapis est connu pour son éthique et son respect des lois?
capa et son directeur donneurs de lecon sont a la fete et c est bien merite
densons encore
Tapie aurait il ete victime de cette emission?
Tapie et escrocs dans la même phrase...
Désolée ça me fait mourir de rire :mrgreen: :lol: :lol: :mrgreen:
En même temps, il savait par avance qu'il serait poursuivit en diffamation, donc peut être qu'il peut prouver la véracité de ses propos?
S'il fait ça, c'est qu'il a réfléchi avant, non?
Moi qui aime beaucoup le théatre , je ne regarderai pas Oscar avec ce
"Môsieur"
Pauvre France..voilà qu'on demande l'avis de cet escroc professionnel à tout bout d'champs :roll:
mais il a le droit de dire ce qu'il veut nom d'un petit bonhomme!!!bon,ok, Bernard tapie entrain de débusquer les escrocs, ça fait bizarre...:shock:
Qu'est-ce qui vous dérange le plus ? La judiciarisation de la société ? ou le fait que Sarko nomme le PDG de France Télévision ?
Avec tous vos com alllez vous regarder sa pièce de theatre
pour ma part
NON
et vous:?:
Moi je le crois Tapie !! Je suis sûre que s'il dit cela c'est qu'il en est certain et peut le prouver ;)
Tu parles pour toi bien sûr !!!
:mrgreen:
Pauvre Bernard Tapie ! Il ne peut même plus s'exprimer sans qu'on lui colle des procès au ..... au ... sans qu'on l'attaque en justice !!!!
Il y en a qui veulent récupérer une part de son beau gâteau !!!!
Mais quelle bande d'envieux et de jaloux !!!!!!
et toi bernard tapie tu nen es pas 1 descroc ?? avant decauser il ferait mieux de reflechir.. mais c pas toujours evident pour certains..:lol:
si tapie veut pas recevoir de leçons il a CAPA venir lire ce qui se dit sur ce site
Ni à en recevoir de quiconque !!! Et surtout pas de toi!!!
dutronc va pouvoir ressortir la chanson " c'est le plus grand des voleurs " mais il faut arreter à cette phrase car le reste ne corespond pas au personnage en question tout le monde n'est pas arsène lupin , ni gentleman :p ;)
tapie 2 le retour il doit avoir besoin d'argent encore lui :roll:
Juste ! lolllll :)
quand tapie parle d'escrocs , il sait de quoi il parle , son expérience dans le domaine n'est plus à prouver .C'est un comble , l' hopital qui se fout de la charité , lui qui vient de nous soulager ( le peuple Français ) sans vergogne de quelques mullions d' euros avec la complicité de son nouvel ami sarko :mrgreen: :mrgreen: :mrgreen:
Il va bien Tapie !!! Traiter d'escrocs à tout va alors que lui il n'est pas un exemple en matière d'honnêteté.
C''est hôpital qui se fout de la charité.
tapie ferait mieux de se taire il n'a de leçon à donner à personne !
c est l epoque qui veut ca ,as tu remarqués qu on critiquer busch et sa clique et qu en france on a exactement la meme chose, stigmatisation de certaines minorités, retour en force du religieux ,delire securitaire a outrance ,et surtout glorification de la médiocrité donc le retour de tapie fait partie d une certaines logiques
L'hopital qui se fout de la charité.
ou filmer certains jardins ......................
le language et un peu rude mais le fond n est pas faux qui a poussé tapie a rentré en politique mitterand qui a fait cadeau a ce meme tapie de millions d euros sarkozy ,apres le jugement sur leur capacité ne releve que de l opinion normal ,chose acceptable en democratie donc je repete ce qui te choque c est que l on puisse dire que sarkozy n est pas un bon president mais c est le droit de marko on appel ca la democratie .
ouais ! l'hôpital qui se fout de la charité j'ai envie de dire...:mrgreen:
marko40a à 16h37 reitéré à 16h59
ah bon lequel ?
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