L'ancien président du conseil de surveillance du Monde, Alain Minc, estime mardi dans un entretien au Figaro qu'un report d'un an de la recapitalisation du groupe entraînerait un durcissement du plan de départs volontaires prévu, qui pourrait totaliser 150 suppressions d'emplois.
M. Minc a démissionné lundi de ses fonctions de président du conseil de surveillance du Monde et a été remplacé à ce poste par l'ancien PDG de Renault, Louis Schweitzer.
Revue de presse / Source: AFP
Vos réactions
j'ai une amie proche qui y travaille, le truc c'est qu'elle est intouchable car elle a un poste de ouf et qu'elle est indispensable...
les autres le sont moins alors pourquoi les garder???
rrrahhh les patronats!!!
Des fois, les Capitalistes ont du bon. :mrgreen:
Et voilà...
Polllux, cette "info" ne va faire qu'attiser la haine des salariés envers leurs employeurs. Hors la plupart des patrons de PME sont très loin de ce que vivent ces "grands" patron. Pour un Universal, combien de patrons de petites entreprises qui ont du mal à joindre les 2 bouts ? Combien d'Artisans qui s'en sortent à peine ?
Pour un Carrefour, combien d'épiciers ? Pour un Filippachi, combien de petits éditeurs qui ont du mal à s'en sortir.
Ce genre d'info ne sert qu'à alimenter les fantasmes. La réalité économique des petits patrons est tout autre. Mais beaucoup de gens ne veulent pas voir la différence.
mais non pas pour tout le monde !!!!!
C/C
Les grands patrons ont gagné 40% de plus en 2007
Les PDG de l'Hexagone sont les patrons les mieux payés d'Europe.
Des patrons en or ! En 2007, 77% des grands patrons d'entreprises françaises ont vu leur rémunération augmenter fortement. C'est ce qui ressort d'une étude de Hay Group publiée par le quotidien « La Tribune »ce matin (1). Ainsi, la rémunération annuelle des grands patrons du CAC 40 dépasse 6 millions d'euros (salaire de base, bonus et stock-options compris). Celle des dirigeants des sociétés les moins importantes du CAC 40 et des plus grosses de l'indice élargi SBF 120, atteint 2,6 millions d'euros. Quant aux patrons des plus petites entreprises du SBF 120, leur rémunération atteint 882.000 euros.
La presse : le début de la fin ?
Ou faut-il devenir un Voici ou un Closer pour exister aujourd'hui ?
Il y a de moins en moins de demande, pour la réflexion et la beauté (la vraie)
L'apologie du rien, du superficiel et du vulgaire a pris le dessus.
Et c'est 150 personnes qui risquent d'en payer le prix...
Ha, la gratuité du net... Le net, des infos rarement vérifiées, la porte ouverte à la bassesse, et surtout le gratuit à tout prix...
Et votre avenir professionnel, gratuit sur le net aussi ?
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